1- La socialisation primaire selon le genre « Il est vif, elle est mignonne. Cela commence dès le berceau… et ne s’arrête plus. Aux garçons le bleu, les pirates, les combats, le charmant désordre. Aux filles, le rose, les loisirs d’intérieur et les cahiers bien tenus[… ] » Cet extralt de présentation de l’œuvre de Christian Baudelot « Quoi de neuf chez les filles ? » marque une socialisation différenciée.
En deux phrases, de nombreux stéréotypes sont révélés : la beauté at ors le bleu et l’esprit co Sni* to View En effet, la socialisati se, face à la vivacité, equel un individu apprend et intériorise tout au long sa vie les valeurs (respect, liberté, égalité… ) et les normes (politesse, code de la route, législation… ) de la société ou du groupe social dans lequel il vit.
Il existe trois types de socialisation : par entraînement : c’est une socialisation par imitation d’activités répétitives par agencement : en fonction des lieux (ex : dans un établissement scolaire, les adolescents sont réunis dans un même endroit au lieu d’être mêlés aux adultes lors d’un apprentissage) par inculcation : c’est l’apprentissage pour modifier le n leur enseignant quels sont les objets pour les filles, et ceux pour les garçons. On parle d’ici de socialisation différenciée selon le genre. L’éducation d’un garçon ne sera donc pas smilaire à l’éducation d’une fille.
C’est ainsi l’un des facteurs d’inégalités hommes/femmes, car la socialisation primaire est majoritairement en continu avec la socialisation secondaire. Une cuisine rose, de marque « Hello Kitty » qui vise une clientèle bien précise : les petites filles. Ce jouet montrent aux petites filles qu’elles sont programmées pour faire la cuisine. un garçon, braquée par cette couleur, élevé ar le bleu, ne voudra pas se l’approprier. Un filet de but avec un garçon sur l’affiche révèle l’un des gros stéréotypes « le foot c’est pour les garçons ».
On ne verra pas un filet de but rose avec une fille par exemple. (Source photos : http://vvw es. com) tandis que leur apparence est davantage mise en avant et remarquée par les adultes. A l’opposée les activités physiques concernent majoritairement les garçons. Les jouets également connaissent une inégallté : les jeux des garçons sont plus nombreux et diversifiés que ceux des filles et sont le plus souvent es jeux assimilés à l’extérieur alors que les jeux des filles, sont plus limités en nombre et réduits au champ domestique et maternel.
Ces jouets sont sujets à des compétences plutôt verbales pour les filles, et plutôt mathématiques et scientifiques pour les garçons. Les stéréotypes sont aussi présents dans la littérature enfantine, les personnages féminins sont décrits avec des attributs physiques, propres à leurs sexes (telle que la beauté de Blanche Neige) alors que les personnages mascullns représentent la bravoure, la force (Batman). Cette étude a été émontrée d’après un rapport de lilnspection générale des affaires sociales remis à la ministre du Droit des femmes en 2013. Najat Vallaud-gelkacem) En conclusion . Les normes sont en réalité construites et transmises par des agents de socialisations, (famille, groupe de pairs, école), qui sont différenciés selon le sexe et interviennent dès notre jeune âge. Elles préparent aux rôles futurs des enfants, et participent ainsi à la construction de notre société car la socialisation différenciée selon le genre se poursuit pendant tout le cycle de VIe.