« Que gagne t— on à travailler ? » INTRODUCTION Quand vint la supposition d’un gain que l’on obtiendrait quelque chose en plus de travailler. Mais alors, quel gain ferions-nous en travaillant. D’abord nous savons que gagner, c’est triompher, c’est aussi le fait d’accéder à quelque chose dont on ne disposerait pas avant. Alors dans ce cas, qu’obtient ont de plus en travaillant ? Que pourrais nous apporter le fait de travailler ? Le mot travail vient de « tripalium » en latin et signifie un instrument à 3 pieux destiné à la torture. A la lecture de son étymologie, ce mot nous en dit plus sur le travail.
Celui si serait quelque chose de douloureux, peut implique de faire. Ma quelque chose de pl souffrance dans le tr ce que ron perd quel or7 alo oub ar l’effort qu’il nous nous apporte se ment un gain de re, sans travail, est Dans un premier temps nous verrons le gain du travail dans l’hypothèse, ou il nous permet de gagner notre vie. Dans un second temps nous verrons que le travail nous permet de nous sentir homme, à la différence de l’animal. Et pour finir nous verrons que certains gains du travail nous permettent de ne pas être oisifs. l. Travailler pour « gagner sa vie 1 . Satisfaire nos besoins, la première nécessité du travail.
Swlpe to vlew nexr page Le travail est depuis longtemps dure, fatiguant, douloureux, et nécessite un effort. Le premier travail exercé était le travail d’agriculteur, il s’agit de celui qui cultive la terre. Il la modifie donc, afin de pouvoir récolter plus tard le fruit de son travail. C’est donc un homme qui cherche par son travail la satisfaction de ses besoins. Nous savons aussi que « l’homme est l’animal qui travail » et que si celui — ci trouvait dans la nature la possibilité de satisfaire nos besoins sans fournir d’effort, le ferait. Nous ‘aurions donc dans ce cas aucunes raisons de travailler.
Mais c’est diffèrent, dans la nature on ne satisfait pas tous nos besoins. Actuellement nous travaillons afin de gagner un salaire (argent), qui nous permettras de consommer (nourriture), afin de récupérer des forces et enfin celles – ci nous permettrons de travailler. 2. Gagner sa vie prend du temps. Nous venons de voir que ce travail est une activité de nécessité à la satisfaction de nos besoins. Cependant ce travail prend du temps. Nous sommes occupés un moment à effectuer cette tâche avant de pouvoir accédé à nos besoins, en l’occurrence n salarié attend 1 mois avant de recevoir son salaire qui lui permettra de se nourrir.
On peut donc dire que le travail dépend de la nécessité, et que un homme qui travail n’est pas libre car elle dépend de la satisfaction de ses besoins. On ne peut pas forcément dire que l’homme qui travail gagne sa vie puisque PAG » rif 7 satisfaction de ses besoins. On ne peut pas forcément dire que l’homme qui travail gagne sa vie puisque celui – ci doit plutôt survivre. Il doit en effet donner pour recevoir. Le gain de la satisfaction des besoins entraine une perte du temps, le travall ntraîne donc aussi une perte.
T : Nous pouvons dire que l’homme travaille pour gagner sa survie, mais finalement le but du travail est de m’apporter quelque chose qui pourrais être autre que la réalisation de mes besoins (la nourriture par exemple). Le travail pourrais t — il me faire gagner autre chose ? Il. Gagner ce qui fait de moi un homme. 1. un homme différent d’un animal dans sa nature. Le travail est une activité seulement humaine, comme dit précédemment « l’homme est l’animal qui travail en effet dans son travail Vhomme modifie la nature, il la transforme.
L’animal ui dispose de l’instinct, une sorte de sixieme sens qui répond à la question « que faire ? Dans ce cas l’homme est l’animal sont différent. Pourtant l’homme est un animal qui se refuse, et cherche à s’éloigner de son animalité naturelle, l’homme va donc pour cela chercher à se différencier de l’animal en commençant par transformer le monde qui l’entoure. Il va donc par exemple se cultiver, c’est-à-dire prendre soin. Cela va modifier sa manière d’être et d’agir, son intelligence va être différente, voir même plus importante. Et encore, un travail intellectuel va permettre ? l’homme de déloi PAGF3C,F7