Huis clos Après la lecture de «Huis clos», une pièce de Jean-Paul Sartre mettant en scène trois personnages (un homme et deux femmes) enfermés en enfer pour Péternité et qui vont avoir une discussion sur la vie et leurs actes, nous pouvons démontrer le caractère dramatique de cette pièce et sa conclusion : «l_’enfer c’est les autres». Dans cette pièce chaque personnage va constamment être sous le regard des deux autres.
Ils n’ont aucun moyen d’y échapper et ils vont sans cesse se demander ce que pense les autres d’eux : e leur apparence, d Inès, Garcin et Estelle connaitre et se référ . … «Inès : Je te autres questions. Aucun mir e leurs paroles. fiance sans se ensonges) des Pose-moi des On peut aussi remarquer que dans cette pièce, malgré l’impression que les personnages ne se supportent pas, qu’ils font tout pour se plaire l’un l’autre. Estelle veut se faire belle pour Garcin, même si il ne lui plait pas, la présence d’un homme veut qu’elle se fasse coquète.
Inès quant à elle montre son côté homosexuelle envers Estelle qui la repousse. Inès deviendra donc méchante envers Garcin en lui soulignant sa lâcheté et en l’oppressant de son regard. pour terminer avec Garcin, lui, n’en a guère Swipe to vlew next page affaire d’Estelle mais il va se rapprocher et lui faire croire qu’il a des sentiments pour elle afin d’ennuyer Inès. II sera pris dans son ego par le rappel constant d’Inès sur sa lâcheté et fera en sorte que ses actes passent pour tout autre que pour lâcheté.
Ce jeu entre eux nous montre à quel point l’avis du monde qui nous ntoure est important à nos yeux et que souvent nous vivons pour les autres et pas pour nous. … «Inès : Tu es un lâche, Garcin, un lâche parce que je le veux. Je le veux, tu entends, je le veux! Allons, tu n’as pas le choix: il faut me convaincre. Je te tiens. » . «Garcin : C’est pourtant vrai, Inès. Tu me tiens, mais je te tiens aussi. (Il se penche sur Estelle. Inès pousse un cri. )» Que ce soit Garcin, Inès ou Estelle, aucun ne veut s’avouer, avant la fin, la fatalité qu’ils vont rester ensemble jusqu’à la fin es temps.
C’est quand Garcin se met à frapper sur la porte en hurlant qu’il veut sortir … «Ouvrez! Ouvrez donc! J’accepte tout: les brodequins, les tenailles, le plomb fondu, les pincettes, le garrot, tout ce qui brûle, tout ce qui déchire, je veux souffrir pour de bon. Plutôt cent morsures, plutôt le fouet, le vitriol, que cette souffrance de tête, ce fantôme de souffrance, qui frôle, qui caresse et qui ne fait jamais assez mal. (Il saisit le bouton de la porte et le secoue) Ouv