Conducteur de transport en commun Rome N4103 1 Le métier Le métier : conducteur de transport en commun Au volant d’un car ou d’un bus, il sillonne les routes pour des trajets urbains ou internationaux. Soucieux de la sécurité de ses passagers, le conducteur est aussi une personne avec laquelle les passagers peuvent créent un lien et qui représente son entreprise • il doit être à l’aise dans les Conduire un bus, un l’étranger, en ligne ré pour le tourisme…. rs rance, ou ? Le conducteur urbain ou interurbain conduit un autobus ou un autocar pour assurer le déplacement des oyageurs, en ville (urbain), ou entre 2 villes du département ou plusieurs villes de la région (interurbain). Ces trajets sont le plus souvent réguliers, organisés selon des horaires auxquels peut se reporter le passager qui veut se déplacer. On parle de lignes régulières.
Le conducteur de transport en commun peut aussi réaliser un trajet ou un voyage occasionnel dans le cadre d’un déplacement touristique : emmener un groupe pour une journée de ski, accompagner des touristes pour un circult de plusieurs jours à l’étranger… Les circuits sont variables, et on arle d « occasionnel » les règles de sécurité, la réglementation routière, et réaliser que tout accident peut mettre en jeu la vie de ses passagers. Il doit être à l’aise avec la conduite par temps de pluie, brouillard… Une Formation Continue à la Sécurité : la « FCOS » devra être suivie en cours emploi (prise en charge par l’entreprise).
Accepter de l’irrégularité dans les horaires de travail ou dans les périodes de travail La conduite sur ligne régulière est le plus souvent réalisée à plein temps et permet de prévoir ses horaires, ncore qu’en milieu urbain, la ponctualité soit difficile à respecter. Mals l’activité peut être à temps partiel ou saisonnière : c’est le cas par exemple du ramassage scolaire, des circuits de voyages orgnaisés, Des exigences physiques et nerveuses • Comme pour tous les métiers de la conduite routière, une visite médicale de la préfecture est obligatoire pour valider le permis.
La vision, l’audition, l’absence d’antécédents épileptiques seront notamment contrôlées. Souvent seuls conducteurs à bord, … mais pas tout à fait seuls dans la conduite En urbain et interurbain, le conducteur de car est seul à bord. En tourisme, ils peuvent être à 2. En ramassage scolaire, il peuty avoir un accompagnateur Mais, les conducteurs ne sont jamais vraiment isolés pour conduire : le chauffeur de bus est relié à son terminus avec lequel il échange constamment sur le trafic, les retards, les aléas. Le conducteur de car a à son bord, échange constamment sur le trafic, les retards, les aléas.
Le conducteur de car a à son bord, le chronotachygraphe ou enregistreur électronique qui contrôle son activité : ilomètres parcourus, vitesse, temps de repos. En cas d’accident le chronotachygraphe est le 1er élément de vérification du respect de la vitesse, des temps de pause, etc.. 2 Le marché du travail Sur quels postes débuter dans le métier ? Un démarrage dans le métier sur les lignes régulières Les nouveaux embauchés, démarrent en général à des postes de : conducteur en transport scolaire, à temps partiel puis évoluent vers des lignes régulières, à temps complet puis vers l’occasionnel.
Cest seulement avec de l’expérience que les emplois dans le ourisme (national et international) seront accessibles : les métiers liés au transport occasionnel du tourisme (accompagner un groupe pour une journée de ski.. ) et au grand tourisme (accompagner un groupe dans un circuit à l’étranger d’au moins 5 jours) font appel ? des compétences supplémentaires par rapport au métier de base (capacité à être totalement autonome, connalssance d’une langue étrangère, bonne expression orale et culture minimale de la région visitée lorsqu’il commente le parcours, etc.. ) Et demain ? Des besoins de conducteu PAGF3C,F6 stabilisés