for my life

HARPAGON — Description et Réflexion Acte C décrit la situation générale: « cette rigoureuse épargne qu’on exerce sur nous ». L’avarice de H a déjà des conséqences graves pour sa famille, puisque C est prêt à fuir spn père. H est veuf. II devient seul et isolé et les enfants manquent leur mère: « il nous donne de plus en plus sujet de regretter la mort de notre mère…  » H suspecte la Flèche ne fasse rien de sou domestiques et, de maître: « je n’ai jamais vieillard ».

Ceci mène or 13 to View en que la Flèche confiance en ses tellement leur ue ce maudit H fouille la Flèche jusqu’à un degré extrême. H a peur des autres et est paranoïde. H interroge la Flèche d’une manière ridicule et il dit exactement ce qu’il ne veut pas dire: « … que j’ai chez moi de l’argent caché. > Vous avez de l’argent caché? ‘ H ne comprend pas les autres et a un pauvre rapport avec eux. H suspecte ses enfants de l’avoir entendu parler de son argent. H a un pauvre rapport aussi avec ses propres enfants, et n’a point de confiance en eux.

II est vraiment seul, prisonnier dans un monde unique de paranoïa. H ne ne comprend pas pourquoi C porte des vêtements raffinés. Pour lui, l’argent ne doit pas être dépensé. H croit que l’on ne doit qu’entasser de l’argent et l’épargner: « vous en devriez profiter et mettre à honnête intérêt l’argent que vous gagnez…  » H suspecte même C d’avoir volé de l’argent de lui: « il faut bien que vous me dérobiez ». Il ne suffit pas que H soupçonne son fils, il l’accuse aussi, sans se rendre compte comment cette impolitesse et hardiesse pourrait détruire sa famille faible.

H veut une belle, jeune fille pour lui-même, mais il a choisi « une certaine veuve » pour son fils et « un homme mûr, prudent et sage » pour sa fille. Il ne demande jamais l’inclination de ses enfants, t ne pense pas à la possibilité que de tels mariages pourraient rendre ses enfants vraiment malheureux. Il est un mauvais père car il manque de compassion pour ses enfants. Il est aussi égoiÈte. Quand E n’accepte pas sa proposition, H ne sait pas comment répondre ou comment parler à sa fille, et répète seulement les structures qu’elle utilise, sans écouter sa fille et sans essayer de la comprendre.

H est si isolé qu’il ne peut pas même avor une conversation naturelle avec sa fille. H n’écoute pas le raisonnement poli de V en ce qui concerne le mariage de E, et ne peut que répéter « sans dot!  » Pour lui 3 raisonnement poli de V en ce qui concerne le mariage de E, et ne peut que répéter « sans dot!  » Pour lui le mariage de ses enfants c’est du commerce et il ne pense qu’à comment il pourrait en tirer un bénéfice financier. Il n’est pas du tout raisonnable et est obsédé par l’argent.

H part quand un chien aboie et il croit que quelqu’un essaie de le dérober. H est paranoïde. H ne reconnaît pas la duplicité et la flatterie de V: « voilà parlé comme un oracle! « . H est aveugle, en ce qui concerne le caractère des autres, vain et arrogant. H est prêt à prêter de l’argent à des taux d’intérêt excessifs et ous des conditions ridicules. H est malhonnête et avare. H apprend que c’est C qui veut emprunter de lui, mais leur dispute est superficielle, puisque H ne demande jamais pourquoi C a besoin de Hargent et n’offre pas de l’aide.

Le rapport entre père et fils empire et H ne s’en inquiète point: « ôte-toi de mes yeux, coquin!  » et H n’a aucune honte d’être un prêteur si malhonnête: « qui est le plus criminel… ou celui qui achète un argent dont il a besoin, ou bien celui qui vole un argent don’t il n’a qui faire? « . La Flèche décrit H: « le mortel de tous les mortels le plus dur et le plus serré ». H est seul et isolé et personne ne le respecte. Frosine flatte H alsément jusq est seul et isolé et personne ne le respecte.

Frosine flatte H aisément jusqu’à un degré évidemment ridicule, mais H ne comprend pas ce manque de slncérité: « par ma foi, je disais cent ans, mais vous passerez les six-vingts ». H est vain et, dans cette scène, assez stupide. Ceci a un effet comique, mais cette comédie ne masque guère le caractère malade et tragique de H. H n’accepte pas le rente virtuel de douze mille livres proposé par Frosine, grâce aux goûts simples de Mariane: « il faut bien que je touche quelque chose ». Il faut que H ait un rapport physique avec son argent, ce qui montre de nouveau son obsession.

H ne veut pas aider Frosine, malgré tout ce qu’elle vient de faire pour lui. H est égoiSte. Acte Ill H est strict et presque cruel envers ses domestiques: « … qu’il se casse quelque chose… je le rabattral sur vos gages » Bien que l’extrémité de son avarice puisse le rendre comique aux yeux des spectateurs, il est évident que H est un maitre dur, qui manque de compassion, à cause de son obsession. H ne veut presque rien dépenser sur le repas: « Quand il y a ? manger pour huit, il y en a bien pour dix ».

Ceci peut aussi avoir un ffet comique, mais quant à son caractère H est non seulement un mauvais hôte, qui ne fait aucun effort pour plaire à ses invités, mais aussi un m 3 seulement un mauvais hôte, qui ne fait aucun effort pour plaire à ses Invités, mais aussi un mauvais père, puisque ce repas sera important et spécial pour sa fille et il devrait être généreux afin de la rendre heureuse. H ne se fait aucun souci des sentiments des autres. H n’achète pas de nouvaux vêtements pour ses domestiques et suggère qu’ils doivent essayer de cacher les trous et les taches.

Sa vie bourgeoise avec des domestiques et des chevaux est idicule, car la vérité montre une vie de souffrance et pénurie pour chacun, qui habite chez lui. Ses chevaux sont: « des fantômes, des façons de chevaux ». H est aussi cruel envers les animaux, à cause du fait qu’il ne veut rien dépenser. Ceci ne pourrait que provoquer des sentiments de colère parmi les spectateurs. H est, selon Maitre Jacques: « la risée de tout le monde » et il raconte d’autres exemples de son avarice extrême, y-compris: « on vous surprit une nuit en venant dérober vous-même l’avoine de vos chevaux ».

H est ignorant de l’avis des autres, parce que sa perception du monde est tellement bloquée par son obsession t sa maladie psychologique. En plus, il ne s’inquiète pas des opinions du monde et, au lieu de remercier Maitre Jacques pour son discours honnête, il lui donne des coups de baton. H devient un amoureux ridicule quand il PAGF s 3 H devient un amoureux ridicule quand il s’approche de Mariane, tout en portant des lunettes, et s’essaie au discours amoureux. Cette scène est comique, ce qui est souligné par les réactions différentes de H et de Mariane et le fait que H ne comprend pas ce que Mariane pense de lui.

Sur le plan sérieux, H est vain et arrogant – un vieil homme méchant et égoiste qui convoite une eune, belle fille. H cite le proverbe: « … mais mauvaise herbe croît toujours », qui se dit pour expliquer la croissance rapide d’un enfant de mauvais caractère. H dit les paroles mais ne comprend pas leur sens et le fait qu’il insulte Marlane, ce qui montre de la bêtise. H ne comprend pas aussi le discours à double sens entre C et M, où ils se comprennent parfaitement et décrivent leur amour l’un pour l’autre. H est isolé et n’a aucun rapport avec les autres, y- compris son fils.

H ne veut pas que C donne son diamant à M au nom de lui, mais, au moins, se rend compte qu’il ne peut pas l’empêcher. Cette cène est aussi comique et les spectateurs ont de l’empathie avec C, qui a, cette fois, le dessus sur son père. Cependant, cette scène aussi révèle l’égoïsme de H. Acte IV H suspecte C d’être amoureux de M, après l’avoir vu baiser sa main. Soudain, H démontr 6 3 H suspecte C d’être amoureux de M, après l’avoir vu baiser sa main. Soudain, H démontre une perception astucieuse et une intelligence rare.

On pourrait prétendre que, dans cette scène, cet aspect du caractère de H montre de l’inconsistence, bien que la froideur et la cruauté de H envers son fils soient encore consistentes. Dans les autres actes la bêtise de H et le anque de rapport avec les autres est une source de comédie, mais dans cette scène H manoeuvre son fils jusqu’à un degré impardonnable et la comédie devient plutôt le drame. H n’est plus ridicule – il devient vilain. H feint d’avoir renoncé à Mariane pour inciter son fils à lui confier ses véritables sentiments.

Le rapport entre H et C empire encore: « Je te renonce pour mon fils » et H est prêt à détruire sa famille pour ses propres désirs égoÉtes, ce qui est déplorable. H apprend qu’on a volé son argent. D’abord H est ridicule, presque fou: « (II se prend lui-même le bras) Rends-moi mon rgent, coquin!… Ah! c’est moi.  » Puis son caractère devient tragique pendant qu’il personnifie son argent et parle de lui comme d’une personne qui vient de mourir: « mon pauvre argent, mon cher ami… sans toi, il m’est impossible de vivre.  » Ensuite il devient paranoïde et suspecte tout le monde: « tout me semble mon valeur ».

En 7 3 Ensuite il devient paranoïde et suspecte tout le monde: « tout me semble mon voleur’. Enfin il est évident que sa vie a moins d’importance pour H que son argent, ce qui est vraiment tragique: « si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après! (ceci a un effet comique grâce à ses réactions exagérées, mais on ne peut pas nier l’aspect sérieux de sa maladie). Acte V H a « dix mille écus bien comptés ». H était obsédé par son argent et sait exactement combien il en a. H soupçonne tout le monde et veut punir tout le monde: « Je veux que vous arrêtiez prisonniers la ville et les faubourgs ».

Ceci pourrait être comique, mais il montre aussi la paranoïa de H et le fait qu’il a lâché la réalité. En plus, son isolation du monde est complète. H accuse V et un quiproquo s’ensuit, par lequel H parle de son argent et V parle de son amour pour Élise. H n’écoute pas ce que V dit et bien qu’il trouve une personnification de l’argent un peu bizarre: « les beaux yeux de ma cassette!  » c’est logique que le quiproquo peut continuer parce que H a personnifié son argent lui-même auparavent. H se rend compte que V parle de l’amour et que ce domestique aime sa fille. H le trouve « autre disgrâce! ce qui pourrait montrer son préjugé. H apprend que V a sauvé la vie de sa fille, mais au lieu de I 3 montrer son prejugé. H apprend que V a sauvé la vie de sa fille, mais au lieu de le remercier il dit: « il valait bien mieux pour moi qu’il te lalssât noyer que de faire ce qu’il a fait. H dit « pour moi », comme s’il a de l’honneur ou de la respectabilité, dont il n’en a rien. En plus, il est encore égoïste et ne pense point aux autres. Il est un mauvais père de pouvoir dire une telle chose. H aide, en effet, Maître Jacques à accuser V et ne réalise pas le fait clair que MJ. e sait rien de l’argent volé. Son obsession le rend aveugle à la réalité, et presque fou, bien que cette scène puisse avolr aussi un bon effet comique. Après avoir écouté l’histoire merveilleuse de la famille d’Alburcy la réaction de H est incroyable qu’il ne pense qu’à son argent et ne fait aucune remarque sur cette situation unique. H est dur et méchant. Son obsession et son amour pour son argent ont remplacé l’amour et les sentiments qu’il devrait avoir pour les autres gens et, après tout, ses enfants. II est devenu déshumanisé par son avarice.

H ne demande pas une explication comment C a son argent et il ne réagit point au chantage désespéré de C. La vue de H est limitée jusqu’à un degré extrême par son obsession par l’argent. Il ne se rend pas compte que le rapport entre lui et son fils est entièrement bris PAGF 13 par l’argent. Il ne se rend pas compte que le rapport entre lui et son fils est entièrement brisé et ne pourrait guère guérir. Son avarice a fait un criminel de son fils et a détruit sa famille. H ne veut rien payer pour le double hyménée. H est encore égoÉte, un mauvais père et sans coeur.

H donne le Maître Jacques au Commissaire à pendre: « pour votre payement’. Cette scène peut être comique, mais aussi peut montrer que H est sans pitié et cruel. A la fin H est le dernier personnage à parler « Et moi, voir ma chère cassette ». Les évenements et les révélations de la pièce n’ont point changé le caractère de H. Dans le théâtre du dix- septième siècle ce dénouement aurait été probablement omique, et les spectateurs auraient ri de ce personnage ridicule et exagéré, un vieux sot qui n’a plus d’importance en comparaison avec l’avenir joyeux pour les quatre jeunes amoureux et leur nouveau père.

Mais, selon le metteur en scène, ce dénouement pourrait aussi être tragique, puisque le caractère de H devient enfin accablé de son obsession au prix de sa famille et sa dignité. A la fin on pourrait prétendre que H est un petit vieil homme, qui est presque fou et perd tout ce qui doit être important pour une cassette d’argent. Harpagon est mauvais père, prêteur malhonnête, mauvais maitre et mauvai