forgé par l’epreuve

Dynamique humaine des organisations Travail de groupes Synthèse du livre : or7 Sni* to View Travail réalisé par : Kevin Canepa, Samuel Gertsch, Mathias Gauthier INTRODUCTION Par ce livre, Danilo Martuccelli essaye de nous donner des éléments pour comprendre comment Pindividu est formé l’individu portera pour le reste de sa vie. Cette emprunte scolaire représente le résultat d’une sélection de l’institution basé sur une interprétation du statut social de la personne formée.

En plus d’une influence exercée par les acteurs présents, l’école permettra à l’individu de développer plus ou moins la fondation e soi-même, plus concrètement l’estime de soi. Le travail ou le génie des temps moderne Après avoir vécu une période scolaire plus ou moins longue selon le parcours de formation, l’individu est confronté à une nouvelle étape : celle du travail. Le travail consideré comme lieu dans lequel nous avons la possibilité de faire nos preuves et confronte l’individu à valoriser son propre travail et la récompense qui lui est attribuée par rapport à sa contribution.

L’apport de l’indlvidu implique la valorisation de la société sous forme de récompense qui est confrontée à la valorisation de l’individu concernée par sa ontribution, plus concrètement la vertu du travail. La valorisation du de l’employeur n’est souvent pas adéquate à la valorisation de l’individu face à son propre travail. Dans les rues de la ville Si dans un premier temps, nous faisons référence à deux périodes de la vie limitée dans le temps, nous devons également garder en vue deux autres lieux relativement présent dans la vie de l’individu, dont la ville.

D’un point de vue géographique, la ville est comparée à une représentation de la répartition du statut social. Plus concrètement, la ville fait référence à une répartition des quartiers qui PAG » rif 7 statut social. Plus concrètement, la ville fait référence à une répartition des quartiers qui regroupent des habitants de la même classe sociale. Si dans un premier temps, nous parlons d’enracinement, il ne faut pas négliger la notion de mobilité. Cette notion peut être considérée sous l’angle du sens physique et symbolique.

Etre mobile est pour certains la capacité de devenir une nouvelle personne si celui-ci n’était pas comblé à travers l’enracinement. En effet certaines villes offrent éventuellement une vie plus excitante (culturelle, économique) que certaines villes satellites ont éclipsée par le rayonnement de ville voisine. La mobilité est plus ou moins un lieu social, la mobilité à différentes Slgniflcatlons. La notion de statut social joue également un rôle important dans le choix de l’habitation.

Vies de famille Ce lieu d’interactions sociales fortement prononcé en termes de rôle implique une conscience morale vis-à-vis des autres membres familiaux. Dans la famille chaque membre à un rôle bien défini qu’il doit tenir avec une organisation propre. L’épreuve est de pouvoir assumer les obligations fournies par le rôle dans la famille. L’orientation donnée par les parents aux enfants, permet de comprendre leur propre perception par rapport à leur statut social.

La perception de l’éducation mène à un conflit familial, alors que l’éducation représente un des rôles principal collectif des parents. DIMENSIONS L’histoire des individus L’histoire de l’individu est une notion à prendre en considération dans la compréhe PAGF3C,F7 des individus dans la compréhension de la fabrication de l’individu. L’histoire de l’individu représente la série d’événements passés qui seront comme référence d’influence dans la compréhension des ?vénements à venir.

La construction de l’histoire est influencée à différents niveau. En effet, même si l’histoire représente l’ensemble des événements passé qui ont une considération pour l’individu, son histoire ne représente pas que son ressenti par rapport aux événements vécus mais également toute une série d’influence à travers l’histoire ressenti de proches ou encore de collectivité lié à l’individu. Le présent représente une influence du passé. Certains acteurs tels que les médias ont une telle influence que les individus s’approprient leurs récits.

Les événements mportants du passé font que le présent n’a que peu de signification. Notre quotidien se limite à une routine que l’individu cherche à briser à travers l’urgence. Le rapport au collectif L’individu est confronté à une certaine contradiction dans ses valeurs en termes d’adhésion. D’une part la personne semble prête à adhérer aux valeurs et aux objectifs de la collectivité, d’une autre part une certaine méfiance semble s’intégrer lors de la perception de la collectivité. (Différentes formes de méfiances sont relevées selon les circonstances). ne fois de plus, il est mportant de tenir compte de certaines notions, notamment celles qui sont propres à l’individu comme la classe social qui joue certaines notions, notamment celles qui sont propres à l’individu comme la classe social qui joue un rôle important dans la perception de l’estime de soi, comme lorsque nous faisons appel à l’aide social. Le labyrinthe de l’altérité Chaque personne est différente, par nature la communication entre elles est parsemée de défis. L’individu cherche à garder une certaine indépendance tout en gardant une certaine civilité vis-à- vis des autres personnes.

Notre façon de nous comporter en société, nos valeurs morales, sont influencées par l’Etat et la société qui régule les règles de savoir vivre en communauté et qui vont orienter notre conduite. L’individu considère ces règles comme des prlncipes et non des contraintes. Ces règles de bonnes conduites sont garant de la bonne réussite dans la gestion de la distance. L’épreuve de soi L’épreuve est d’exister, c’est-à-dire la conscience d’appartenir à un environnement social et le sens qu’on lui donne (épanouissement personnel, la prospérité, la lutte) et trouver une individualité ‘après nos expériences qui nous sont propre.

Exister peut être pourvoyeur d’épreuves difficiles à vivre (décès, divorce… ). Les supports permettent d’y faire face. L’utilité des supports peut être cernée plus ou moins facilement par l’individu et ils ont différemment conscience de leurs supports, d’après leurs capacités réflexives. Parfois les supports ont des effets secondaires, il touche d’autres aspect de leurs autres que le problème premier que le support est censé agir. Enfin, les supports sont leurs autres que le problème premier que le support est censé gir. Enfin, les supports sont parfois extérieur aux individus, ils n’ont pas totalement le contrôle.

Mals attention les supports peuvent se retourner contre la personne si cette dernière en est trop dépendante. Concernant le renforcement l’individualité comme épreuve, il peut être effectué à travers deux moyens. Premièrement les autres peuvent se trouver des similarités à nous part notre comportement à une situation. Deuxièmement la personne peut se trouver des similarités aux autres en les fréquentant. TOPOGRAPHIES ET TEMPORALITES Déclinaison des épreuves Ce chapitre a pour but de mettre en avant que l’analyse du processus de l’individuation doit tenir compte de toute une série d’éléments.

Dans cette optique, l’auteur nous propose de considérer 3 notions qui chacune fait appel à une catégorisation, afin de dégager une certaine base théorique. Dans un premier temps, Danilo Martucelli nous propose de considérer l’individu comme acteur économique qui a des besoins plus ou moins fort en terme économique et qui seront la base de l’orientation de son comportement. En effet, le fait de tenir compte de la classe sociale ne suffit pas, et par conséquent il est important e comprendre l’individu dans ses perspectives économiques afin de pouvoir se faire une idée des différents éléments qui pourraient l’influencer.

D’un point de vue contextuel, une notion « d’amortisseurs » est utilisée pour mettre en avant les possibilités/limitations d’actions qui sont réperto est utilisée pour mettre en avant les possibilités/limitations d’actions qui sont répertoriées selon 4 catégories : Infrastructure collective (règles, décisions, culture), les différents types de ressources ou capitaux (possession de l’individu), aides (support ui fait appel à une notion de solidarité) ou encore supports (dimension existentielle, ATTENTION NOTION REPRISE TELLE QU’ELLE DE GERALDINE).

En comparant ces deux notions, une Be notion est relevée. On parle notamment de 4 états sociaux dont la présence est la confrontation entre la conscience plus ou moins forte et Putilisation des amortisseurs à disposition (2e notion) avec le besoin d’intervention dans la société (1er notion). Conclusion du livre La société est pourvoyeuse d’inégalités sociales. L’indlvidu les accepte, mais ce qu’il refuse, ce serait le caractère irréversible e ces inégalités. ar exemple, si Findividu est malheureux dans son travail, qu’il soit systématiquement malheureux dans son nouveau travail s’il décide d’en changer. CONCLUSION DE LA SYNTHESE L’auteur donne les éléments les plus importants, car il serait trop complexe de faire une liste des éléments exhaustive. De plus, il est important de relever que l’étude de Danilo Martuccelli prend en considération une série d’informations qui n’a pas été prise en compte par ces prédécesseurs sociologues, qui ont utilisé une optique plus restreinte dans le cadre de leur méthodologie de travail.