Les révélations d’August BOUKANGA à l’occasion de la célébration du 12ème anniversaire de I’LJRD Le parti politique Union pour la Renaissance et le Développement (URD) a été créé le 1 Imai 2002 dans un contexte de crises militaro-politiques opposant les feux présidents KOLINGBA et PATASSE, ensuite le feu président PATASSE et François BOZIZE. Ce parti avait pour ambition principale la conquête démocratique du pouvoir en 2003, année qui devait marquer la fin du mandat présidentiel.
L’IJRD célèbre ce jour 14 juin en ifféré son douzième anniversaire de naissance à [‘occasion duquel une conférence de presse a été organisée dans la salle de conférence de l’h dit parti AUGUST BO essentiellement focal évoqué la question d s’est prononcé sur la pr tra le président du s, ce dernier s’est aine. Il a d’abord enne, ensuite il de la RCA pour finir avec des recommandations.
En ce qui concerne la guerre islamo-chrétienne, fhistoire des religions qui se sont implanté successivement en Centrafrique a permis au conférencier de démontrer qu’ « il n’y a en RCA aucun arabe ou musulman de sou Swipe to page souche Même si Plslam ne s’est implanté qu’après l’Église catholique et les Eglises Baptiste Mid Mission et Evangélique des Frères, la cohabitation islamo-chrétienne était conviviale. Jamais il n’y a eu un conflit interreligieux en RCA.
La guerre islamo-chrétienne n’est qu’une pure imagination ou une pure instrumentalisation de la France qui joue au chaud et au froid, qui fait et défait les crises centrafricaines, aidée par certains compatriotes du réseau maçonnique français, le Tchad et le Soudan. Pour ce faire, il ajoute que la France, le Tchad et le Soudan doivent répondre de leurs actes devant un tribunal international compétent. Pour ce qui concerne la question de la partition de la RCA, August BOUKANGA y a encore dénoncé l’implication directe de la France. our lui, c’est la France qui a fait comprendre à certaines ethnies centrafricaines (Rounga et Goula) qu’elles sont marginalisées, c’est le France qui les a incités à prendre les armes pour revendiquer leur droit au développement. Sur cette question, le bilan des cinquante quatre 54) années d’indépendance a permis au conférencier de conclure qu’il n’ya pas que la partie nord-est du pays qui est restée sous développée, mais bien au contraire tout le territoire. En effet, le constat est qu’au lendemain de l’indépend PAG » OF d mais bien au contraire tout le territoire.
En effet, le constat est qu’au lendemain de l’indépendance, aucune politique de développement n’a été engagée, les infrastructures routières qui datent des années 1 960 sont restées telles quelles, ou du moins se sont davantage détériorées, l’enclavement n’est pas ? émontrer, le système éducatif est paralysé à travers un manque chronique de personnel qualifié, ce qui traduit une baisse totale de niveau, l’appareil judiciaire est démoli, la destruction des édifices publics et privés et l’escalade des violences ne sont que regrettables.
Mais dans toutes ces situations, la France ne fait que régner en maitre sur les richesses de la RCA. Ainsi, face ? ce tableau noir, comment faire comprendre aux Goula et les Rounga que leur région est marginalisée ? La France ne fait que e servir d’eux pour obtenir la partition de la RCA, autrement dit, elle se sert des centrafricains pour diviser les centrafricains afin de régner en maître sur leurs richesses. De ce fait, au regard de tout ce plan maquiavelique de la France, l’IJRD, par la voix de son président dit non à la partition de la RCA.
Par ailleurs, l’URD exhorte taus les centrafricains à un devoir national et à s’unir dans un seul combat : dire non à la France et à la partition de la RCA, e national et à s’unir dans un seul combat : dire non à la France et à la partition de la RCA. t dénoncer les accords viciés du 12 juillet 1960. « L’idéal pour tout centrafricain serait de quitter le giron français, car la RCA peut bien devenir un pays anglophone à l’instar du RWANDA, victime du génocide orchestré par la France en 1994. Et de cette manière les centrafricains éviteront le génocide en RCA. ? Enfin, dix points ont constitué les recommandations faites par le parti URD par la voix de son président August BOUKANGA, entre autres points le retrait pur et simple de l’opération SANGARIS non seulement pour son refus ‘appliquer à la lettre la résolution 2127 relative au désarmement volontaire ou forcé des forces non conventionnelles (Séléka et anti-balaka), mais aussi pour son implication directe dans la crise centrafricaine, la réhabilitation des forces de défense et de sécurité centrafricaines, la convocation d’un dialogue vérité et réconciliation, pour ne citer que celles là.
Ainsi, main dans la main, tous les centrafricains, en dépit de leurs diversités politique, religieuse ou culturelle, doivent œuvrer de concert pour sortir la RCA de ce bourbier. Joffre AGAPAMAKO