Lors de la réunion des Etats généraux le 5 mai 1789 le débat politique se développe et la caricature s’en fait l’écho. Elle est d’abord allégorique et met en scène les trais ordres sur le mode de la comédie : l’ecclésiastique, le noble et le représentant du tiers-Etat. Il s’agit d’une allégorie du « peuple brlseur de ses chaînes’ : un noble et un abbé fuient, horrifiés à la vue d’un homme du tiers- Etat qui se réveille de son « cauchemar ». Il échange les chaînes qui l’ont opprimé contre des armes. Le moment du réveil s’identifie à la destruction de la Bastille que l’on voit au loin.
Le réveil se veut énergique et violent. Au fond on aperçoit deux têtes portées au bout de piques, qui rappellent la force et la brutalité Sni* to vieu Sw p to n ext page du peuple qui se relè pamphlet provocate comme « l’homme ro enchaîné’ . En somm constitue un pouvoir or 3 ue un passage du ntant le tiers-Etat un bras est encore rmer que le peuple celui du roi. Au bas de l’image, l’homme du tiers-Etat s’exclame : « Ma feinte, il ?tait tems que je me réveillisse car l’oppresslon de mes fers me donnions le cochemar un peu trop fort ».
Lorsque la réunion des états généraux a eu lieu, il y avait de nombreuses controverses et elles ont été représentés dans les caricatures. Comme celle-ci qui est fait par un peintre anonyme. On peut voir dans un premier plans trois groupes sociaux, l’ecclésiastique, les nobles et le tiers état. La manière dans laquelle ils sont placés montre une « pyramide social». La noblesse t l’Église sont debout, c’est-à-dire qu’il sont dans la pointe de la pyramide différence du tiers état qui est sur le sol, cela montre la différence du pouvoir. ar ailleurs le personnage du tiers état prends les armes pour ce révélait contre le despotisme. Dans un deuxième plans on vois la prise de la bastille (1789) qui était ressentie par le peuple comme symbole d’une justice arbitraire et qui marque considérablement la manière de gouverné et de prendre les décision À la veille de la Révolution, l’Anjou, province paisible, s’éveille a t de prendre les décision À la veille de la Révolution, l’Anjou, province paisible, s’éveille aux discussions qui agitent alors le royaume.
La créatlon dune assemblée provinciale en 1787 suscite des réflexions sur la représentation institutionnelle du tiers état, mais également sur la reconnaissance d’une entité juridique et politique pour la province. La commission intermédiaire de cette assemblée, sous l’influence d’une partie de la noblesse angevine, se saisit de ces questions à partir d’octobre 1788. Des écrits politiques alimentent ensuite les débats sur le « rétablissement » des États particuliers.
La bourgeoisie « éclairée » et les corps municipaux des principales villes de la province appellent, non sans succès, le Tiers à réagir. Grâce à ce débat, la campagne des États généraux a été plus qu’amorcée. L’analyse des différentes interrogations sur ce projet permet d’apporter un nouvel éclairage sur la pré-Révolution en Anjou et au-delà sur les origines provinciales de la Révolution française.