La mort est un concept qualifiant l’état d’un organisme biologique ayant cessé de vivre (même si ce terme s’utilise également au sens figuré pour désigner par exemple la dégénérescence d’une étoile[l], ou d’une langue ayant perdu ses derniers locuteurs[2]). Cet état se caractérise par une rupture définitive dans la cohérence des processus vitaux (nutrition, respiration… nécessaires au maintien homéostatique de l’organisme considéré, ce qui distingue la mort d’une altération temporaire comme dans le cas de l’hibernation ou certaines congélations. Au niveau cellulaire, la mort désigne l’arrêt des fonctions de base d’une cellule. Au sein de communautés pluricellulaires, cette mort peut être accidentell (apoptose). Toutefois remettent en cause c immortelle car elle p de fois illimité.
Les or exl PACE 1 or2 to View ore programmee èglements qui Ilule est alors dite filles un nombre qui se reproduisent uniquement par scissiparit sont en principe immortels, bien qu’après marquage il apparaisse que ces cellules vieillissent elles aussi, ce qui altère leur capacités homéostatiques et eproductives. Chez les organismes pluricellulaires, les cellules sexuelles, dites germinales, sont potentiellement immortelles dans le sens décrit précédemment.
Par contre les cellules de l’enveloppe somati Swipe to View next page somatique finissent irrémédiablement par mourir sous l’influence des facteurs pathogènes extérieurs, ou à cause du phénomène de vieillissement. L’enveloppe somatique forme alors ce qu’on appelle un cadavre, qui se décompose ensuite sous l’action de l’oxydation, des bactéries et de divers organismes nécrophages et étritivores, contribuant au recyclage de la matière organique et minérale. À l’échelle des organismes, la mort peut être vue comme la fin de la vie par opposition à la naissance, ou comme l’absence de vie.
Dans le premier cas, le fait que le cœur puisse arrêter de battre pendant un moment avant d’être réanimé pose la question de la limite, ou de la transltion entre vie et mort. Face à cette question, l’organisation mondiale de la santé animale considère la mort comme « la disparition irréversible de l’activité cérébrale mise n évidence par la perte des réflexes du tronc cérébral »[3]: elle adopte ainsi une définition de la mort en tant que mort cérébrale, par distinction avec un simple arrêt cardio-circulatoire, état qualifié de « mort clinique P. ? une échelle biologique plus historique et spatiotemporelle plus large, SI l’indivldu disparait en tant qu’entité unique au moment de la mort, une partie de son patrimoine génétique persiste dans sa descendance (si elle existe) et la vie de l’espèce et des écosystèmes dans lesquelles elle s’intègre se perpétue, tout en évoluant.