sur l’arc et il tira droit les haches, la flèche jetant ses vieux vête flèches de l’archer ? est fini maintenant d Theate Premium gy Argoetkiara ceHTRôpR 01, 2014 S pages La vengeance d’Ulysse Ulysse débarque enfin dans son royaume d’Ithaque, déguisé en mendiant. II y trouve les prétendants qui volent ses richesses et cherche à épouser sa femme Pénélope. « Pénélope monta sur une planche haute et dit : » -Eh bien, ô prétendants, voici pour vous l’épreuve : Oui !
Voici le grand arc de mon divin Ulysse : s’il est ici quelqu’un dont les mains sans effort, puissent tendre la corde et, dans les ouze haches, envoyer une flèche, c’est lui que je suivrais ! » . Tous les prétendants échouent. Ulysse prit l’arc, le tourna, le retourna. ll prit une flèche, l’ajusta Swp to page ors re, passant toutes autre bout. Alors, tui renfermant les étendants : » C’en maintenant une autre cible, voyons si je l’atteindrai ! « Contre Antinoos il dirigea la flèche amère. Celui-ci soulevait une belle coupe d’or et la portait ? ses lévres : la pensée de la mort était loin de son coeur.
La flèche d’Ulysse lui traversa la gorge, la coupe s’échappa de ses mains ; un flot de sang jaillit de ses narines et il omba à la renverse. Une clameur formidable s’éleva dans la salle. Les prétendants s’élancèrent de leurs sièges cherchant des yeux sur les murallles épaisses les armes dont ils puissent se servlr. Ulysse dit aux prétendants : « -Ah ! Chiens, vous pensiez donc que du pays de Troie, jamais je ne devais rentrer en ce logis ! Vous pilliez ma maison ! Et vous faisiez la cour, moi vivant, à ma femme. Vous voilà maintenant dans les nœud de la mort.
Ulysse et le cyclope Ulysse remarque une grotte et, poussé par la curlosité, décide de l’explorer. Il part avec douze de ses compagnons et arrive rapidement à la caverne. Là, ils découvrent des fromages énormes, des vases de métal regorgeant de lait et de nombreux agnelets. – Sentons-nous et partons disent les compagnons d’Ulysse. – Non ! Voyons qui est « habitant de ces lieux. Ulysse et ses compagnons s’installent, font du feu et attendent. Quelques minutes plus tard, la terre tremble et une ombre gigantesque se profile sur le sol. Polyphème, le cyclope, est de retour chez lui. Un frisson de frayeur saisit les grecs.
Ils ont entendu parler des cyclopes, fils de Poséidon, dieu de la mer. Poussant son troupeau devant lui, Polyphème entre dans la cyclopes, fils de Poséidon, dieu de la mer. Poussant son troupeau devant lui, Polyphème entre dans la grotte qu’il referme à raide d’une énorme pierre. Soudain, il aperçoit les Grecs terrorisés. – Qui êtes-vous étrangers ? – Nous sommes des guerriers revenant de Troie. Les dieux nous ont jetés sur la côte et… Nous, les cyclopes, ne craignons pas les dieux ! Nous leur sommes supérieurs. Disant cela, Polyphème attrape deux des compagnons d’Ulysse leur fracasse la tête et les dévore.
Rassasié, il se couche et s’endort. Ulysse s’interroge alors : « Vais je le tuer avec mon glaive ? Mais comment ensuite sortir de cette caverne ? La pierre d’entrée est si lourde que jamais nous ne pourrons la pousser… Je dois trouver un autre moyen… » La nuit passe. L’aube se lève. Polyphème s’éveille. En guise de déjeuner il dévore deux autres compagnons d’Ulysse puis sort faire paître son troupeau. Le soir deux grecs lui servent encore de dîner. Ulysse s’approche alors du cyclope : – Cyclope, accepterais-tu de ce délicieux vin ? Le géant avale le breuvage d’un seul coup. Que c’est bon ! Donne-m’en encore. Comment t’appelles-tu ? -Je me nomme personne. – Et bien personne, moi aussi je vais te faire un cadeau ; je te mangerai le dernier, voici mon cadeau. personne, moi aussi je vais te faire un cadeau ; je te mangerai le dernier, voici mon cadeau. Puis, ivre, le cyclope s’allonge et s’endort. Ulysse et ses compagnons se précpitent sur le pieu qu’ils avaient taillé en l’absence du géant. Il est mis dans le feu, chauffé au rouge et enfoncé dans l’œil du cyclope. Ulysse et Nausicaa Ulysse ,rejeté par la mer, échoue sur une plage. Fatigué, il s’endort.
II est réveillé par les chants d’une jeune fille et par les cris d’autres jeunes filles en train de jouer. Quand Ulysse apparait devant ces filles, elles s’enfuient tous sauf une qui se baignait. Elle nourrit Ulysse et lui donne des vêtements propres. Ensuite, elle l’enmène voir son père. -Mon père, pendant que je me baignais, j’ai trouvé cet homme naufragé au bord de la mer tout à l’heure. Alcinoos-30njour mon hôte. Je suis Alcinoos, roi de Phéacie, venez-vous asseoir autour de notre table. Ulysse- Merci, mon roi, de neer. *AGF êtes-vous arrivé ici ? J’ai quitté Ithaque pour participer à la guerre de Troie.
Là-bas, nous avons passé dix ans à essayer de passer les immenses remparts de Troie. Nausicaa-Comment as-tu fait pour passer les remparts ? -Au bout des IO ans, j’ai eu l’ingénieuse idée de construire un cheval en bois dans le but de faire croire aux Troyens que c’était une offrande mais nous étions cachés à l’intérieur. Ils ont fait entrer le cheval dans la cité et ont organisé une fête, ils ont bu puis se sont endormis. Moi et mes compagnons grecs, nous sommes sortis du cheval, nous avons tué les gardes puis nous vons donné l’alerte aux autres et ouvert les portes.
Toute l’armée grecque est entrée dans la ville et nous avons anéanti les Troyens. -Mais qu’as-tu fait après toutes ces années ? Après toutes ces années, j’ai perdu mes compagnons puis je suis arrivé chez Calypso qui m’a retenue deux ans puis je suis arrivé ici naufragé. -Mais, vos compagnons ? Où sont-ils ? Que leur est-il arrivé ? Pourquoi êtes-vous seul ? Ulysse raconte alors à Alcinoos et aux Phéaciens les aventures qu’il a vécu avec ses compagnons à son retour de Troie, une fois la guerre terminée.