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STANLEY MILGRAM SOMMAIRE l)Biographie Il)Détail de l’expérience Ill)Resultats I)BIOGRAPHIE Stanley Milgram est né à New York en 1933. Il est mort en 1984 mais sa courte vie a fortement marqué l’histoire de la psychologie sociale ! DAu lycée Milgram s’intéresse déjà beaucoup à la science, et reçoit Par la suite, il entre ? s’inscrire en sciences des cours de psychol étudier la psychologi niv PACF 1 or fi to nextÇEge or en biologie… où il choisit de 1954 il suivra er Harvard pour y n doctorat en 1960 et continuera d’enseigner Harvard pendant 7 ans, avant de etourner à New York en 1967 (source: http://projets. binzdinotti. com/inotti%20membres /redactionnels/stanley_milgram. tm) II)DETAILS DE L’EXPERIENCE a) experience de petit monde Pour cette expérience, un agent de change de Boston est choisi comme « individu-cible », et trois groupes de départ d’une centaine de personnes chacun sont constitués aléatoirement, l’un composé d’habitants de Baston choisis au hasard, le deuxième d’habitants du Nebraska choisis au hasard, et le troisième d’habitants du Nebraska aussi, mais qui présentent la particularité a profession en particulier), et a pour mission de faire parvenir ce dossier par la poste, soit directement à l’individu-cible s’il le connaît personnellement, soit à une personne qu’il connaît personnellement et qul a une plus grande probabilité de connaître personnellement l’individu-cible. Sur les 296 individus des groupes de départ, 21 7 ont accepté de participer à l’expérience et ont expédié le dossier à une de leurs connaissances, et finalement, 64 dossiers sont parvenus jusqu’à l’individu-cible, au terme de chaînes de connaissances de ongueurs variables, mais dont la longueur moyenne était de 5,2 intermédiaires. b) deroulement de l’experience Liobjectif réel de l’expérience est de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre même contraire à la morale de celui qui l’exécute.

Des sujets acceptent de participer, sous l’autorité d’une personne supposée compétente, à une expérience d’apprentissage où il leur sera demandé d’appliquer des traitements cruels (décharges électriques) à des tiers sans autre raison que de « vérifier les capacités d’apprentissage » L’université Yale à New Haven faisait paraître des annonces ans un journal local pour recruter les sujets d’une expérience sur l’apprentissage. La participation devait durer une heure et était rémunérée 4 dollars américains, plus 0,5 $ pour les frais de déplacement, ce qui représentait à l’époque une bonne affaire, le revenu hebdomadaire moyen en 1960 étant de 25 $2. L’expérience était présentée comme l’étude scientifique d hebdomadaire moyen en 1960 étant de 25 $2.

L’expérience était présentée comme l’étude scientifique de l’efficacité de la punition, ici par des décharges électriques, sur la mémorisation. La majorité des variantes de l’expérience a eu lieu dans les locaux de l’université Yale. Les participants étaient des hommes de 20 ? 50 ans de tous milieux et de différents niveaux d’éducation. Les variantes impliquent le plus souvent trois personnages : l’élève (learner), qui devra s’efforcer de mémoriser des listes de mots et recevra une décharge électrique, de plus en plus forte, en cas d’erreur l’enseignant (teacher), qui dicte les mots à l’élève et vérifie les réponses.

En cas d’erreur, il enverra une décharge électrique destinée à faire souffrir l’élève : ‘expérimentateur (experimenter), représentant officiel de l’autorité, vêtu de la blouse grise du technicien, de maintien ferme et sûr de luiMilgram 1. L’expérimentateur et l’élève sont en réalité des comédiens et les chocs électriques sont fictifs. Dans le cadre de l’expérience simulée (apprentissage par la punition), élève et enseignant sont tous deux désignés comme « sujets » (subject). Dans le cadre de l’expérience réelle (niveau d’obéissance, soumission à l’autorité), seul l’enseignant sera désigné comme sujet. Au début de l’expérience simulée, le futur enseignant est résenté à l’expérimentateur et au futur élève.

Il ui décrit les conditions de l’expérience, il est informé qu’après tirage au sort il sera l’élève ou l’enseignant, conditions de l’expérience, il est informé qu’après tirage au sort il sera l’élève ou l’enseignant, puis il est soumis à un léger choc électrique (réel celui-là) de 45 volts pour lui montrer un échantillon de ce qu’il va infllger à son élève et pour renforcer sa confiance sur la véracité de l’expérience. Une fois qu’il a accepté le protocole, un tirage au sort truqué est effectué, qui le désigne ystématiquement comme enseignant. L’élève est ensuite placé dans une pièce distincte, séparée par une fine cloison, et attaché sur une chaise électrique. Le sujet cherche à lui faire mémoriser des listes de mots et l’interroge sur celles-ci.

Il est installé devant un pupitre où une rangée de manettes est censée envoyer des décharges électriques ? l’apprenant. En cas d’erreur, le sujet enclenche une nouvelle manette et croit qu’ainsi l’apprenant reçoit un choc électrique de puissance croissante (15 volts supplémentaires à chaque décharge). Le sujet est prié d’annoncer la tension correspondante avant de l’appliquer. Les réactions aux chocs sont simulées par l’apprenant. Sa souffrance apparente évolue au cours de la séance : à partir de 75 V il gémit, à 120 V il se plaint à l’expérimentateur qu’il souffre, à 135 V il hurle, à 150 V il supplie d’être libéré, à 270 V il lance un cri violent, à 300 V il annonce qu’il ne répondra plus.

Lorsque l’apprenant ne répond plus, l’expérimentateur indique qu’une absence de réponse est considérée comme une erreur. Au stade de 150 volts, la majorité des su PAGF e 150 volts, la majorité des sujets manifestent des doutes et interrogent l’expérimentateur qui est à leur côté. Celui-ci est chargé de les rassurer en leur affirmant qu’ils ne seront pas tenus pour responsables des conséquences. Si un sujet hésite, l’expérimentateur lui demande d’agir. c) variantes Au total, dix-neuf variantesMilgram 4 de l’expérience avec 636 sujets furent réalisées, permettant ainsi en modifiant la situation, de définir les véritables éléments poussant une personne à obéir à une autorité qu’elle respecte et à maintenir cette obéissance.

Ces variantes modifient des paramètres comme la distance séparant le sujet de l’élève, celle entre le sujet et l’expérimentateur, la cohérence de la hiérarchie ou la présence de deux expérimentateurs donnant des ordres contradictoires ou encore l’intégration du sujet au sein d’un groupe qui refuse d’obéir à l’expérimentateur. La plupart des variantes permettent de constater un pourcentage d’obéissance maximum proche de 65 %. Il peut exister des conditions extrêmes allant d’un comportement de soumission ? l’autorité élevé (près de 92 %) dans le cas de chocs administrés ar un tiers à un comportement de soumission faible (proximité du compère recevant les chocs) ou nul (décrédibilité de l’autorité). source : wikipedia ) III) RESULTA S Lors des premières expériences menées par Stanley Milgram, 62,5 % (25 sur 40) des sujets menèrent l’expérien expériences menées par Stanley Milgram, 62,5 % (25 sur 40) des sujets menèrent l’expérience à terme en infligeant à trois reprises les électrochocs de 450 volts. Tous les participants acceptèrent le principe annoncé et, éventuellement après encouragement, atteignirent les 135 volts. La moyenne des hocs maximaux (niveaux auxquels s’arrêtèrent les sujets) fut de 360 volts. Toutefois, chaque participant s’était à un moment ou ? un autre interrompu pour questionner le professeur. Beaucoup présentaient des signes patents de nervosité extrême et de réticence lors des derniers stades (protestations verbales, rires nerveux, etc. ).

Milgram a qualifié à l’époque ces résultats « d’inattendus et inquiétants Des enquêtes préalables menées auprès de 39 médecins-psychiatres avaient établi une prévision d’un taux de sujets envoyant 450 volts de l’ordre de 1 pour 1000 avec une endance maximale avoisinant les 1 50 volts3 Les expériences ayant eu lieu avant 1968, à une époque ? laquelle il était donc donné à l’autorité un poids qui ne lui fut plus autant reconnu par la suite, il était ensuite espéré, de ce fait, une amélioration du pourcentage de résistants aux pressions. Il n’en fut rien. Le pourcentage d’environ 10 % de réfractaires aux presslons, le même qul fut constaté aux lavages de cerveau pendant la guerre de Corée, resta sensiblement le même Tal MARCIANO ; Noam ATTIA ; eden COHEN ; keren SIMEONI