Michel Foucault constate qu’il y a un siècle, la punition se faisait par le supplice et qu’à l’heure actuelle, elle se fait par la mise en oeuvre d’un emploi du temps. Il constate qu’il y a deux styles pénaux différents. On peut constater qu’à l’époque du supplice, le supplicié ne criait pas durant la torture alors qu’aujourd’hui, les délinquants se révoltent contre le corps de la prison. On peut aussi constater que le corps n’est plus une cible majeure de la répression pénale mais qu’il s’agit plutôt de la répression de l’âme. ?volution de la punition : au début, Michel Foucault nous parle de a torture comme étant la principale punition pénale. L’usage de la torture est fait de manière à ce que le peuple soit présent pour lui faire comprendre roi. Ensuite, on a l’ins mort égale à tous qui toujours corporelle physiques que la tort Sni* to View nextggge r la souveraineté du pour permettre une . Cette punition est s de souffrances prend la forme d’un enfermement dans une prison. Ici, ce n’est plus le corps qui est supplicié, c’est l’âme.
Afin d’affliger la peine, on prend désormais en compte la psychologie de l’individu. En somme, la punition est passée de la torture à un emprisonnement où les prisonniers se évoltent alors qu’ils disposent d’un certain confort. Le détenu n’est plus considéré comme quelqu’un à punir mais plutôt comme quelqu’un à éduquer. On peut en co page conclure que la punition est de moins en moins réellement punitive. Qu’est-ce que les évolutions révèlent sur le pouvoir?
Ces évolutions montrent que le pouvoir exerce de moins en moins un pouvoir punitif sur le corps mais qu’il l’exerce de plus en plus sur l’âme de l’individu. De plus, le pouvoir ne prend plus en charge la part de violence liée à son exercice. Les acteurs de la punition ne sont plus le souverain mais sont désormais des juges,des sychologues, des médecins… On peut voir que certaines images nous montre des choses semblables càd des bâtiments conçus comme des rossasses, avec un ponts centrale et 6 à 8 branches qui lui sont relié, ou encore comme les patios espagnol.
Ces documents illustres l’idée de pouvoir disciplinaire dans la mesure ou un pouvoir disciplinaire est un pouvoir qui engendre des sanctions en cas de non respect. on peut voir que peut importe la discipline il y toujours une certaine forme de hiérarchie ex: on peut voir que dans les documents proposés certaines images iconographiques représentent la prison et que ur le projet comme sur l’image réel il y a un panoptique qui vient de Faucault c’est un bâtiment de prisons avec une forme particulières qui permet de surveiller tout le monde en même temps. chaque détenue peut être surveillé sans le savoir.
Société disciplinaire s’exerce par l’application de norme de comportement que l’individus adopte sans être directement soumis à un pouvoir coercitif(- pouvoir de normalisation). De plus, l’image iconographiques représentent les caméras et les ordinateurs ns montrent que dan PAG » OF d ordinateurs ns montrent que dans notre société actuelle et avec ‘essor de la nouvelle technologie ns sommes « épié », et donc par conséquent pas libres car de manières indirectes les caméras et autres types de technologie exercent un pouvoir disciplinaires sur la population.
Présence du pouvoir dans toutes les institutions de la sociétè et non dans une institutions particulière comme l’assemblée antianale. C’est une sociétè normalisatrice où l’an transmet les normes venant du pouvoir à une échelle sociale assez proche de « micro ». C’est donc de par la discipline et les règles qui s’applique dans les institutions que le pouvoir s’exerce sur les individus (Foucault). D’après les documents, les nouvelles technologies sont les outils les plus adaptés pour transmettre les idées, elle permet la socialisation.
Les nouvelles technologies sont aussi un moyen de surveillance. Michelle Foucault propose une lecture en terme de rapport de force multiple d’ampleur microsociologie et structurant les activitès des hommes en sociétè, le pouvoir est donc omniprésent. Les nouvelles technologies sont un moyen de surveillance en effet on peut identifier les personnes grâce à une puce situé sur la carte d’identité ou les cartes de bus ou passeport.
On peut anctionner les personnes plus facilement grâce aux cameras de surveillance ou encore les puces pour localiser les personnes. La personne peut donc être « fichés » c’est à dire être reconnu si elle/il a un casier judicaire. Les nouvelles lois transforment c’est à dire être reconnu si elle/il a un casier judicaire. Les nouvelles lois transforment la vidéosurveillance en vidéoprotection puis en vidéotranquillité avec la loi Loppsi 2 autorisant les entreprises, les syndicats à placer des caméras où bon leur semble.
Internet est aussi un bon outil pour retrouver des infos sur ‘identité à travers les réseaux sociaux tel que Flickr, Facebook, twitter nous pouvons retracer l’individu comme ce qui est arrivé à Marc L sa vie entière était retracée dans la revue « Le Tigre » qui prend au hasard une personne et qui retrace sa vie entière a travers les réseaux sociaux. Internet permet un libre accés aux informations personnelles.
Cela peut s’avérer négatlf dans certains pays dldacturials comme la Lybien sous l’ancien régime de Kadhafi en effet vers les années 2006, 5 opposants lybiens ont raconté fin juin lihorreur de la détention sous Kadhafi devant des juges parisiens chargés ‘uneinformation judiciaire pour « complicité d’actes de torture » visant la sociétè française Amesys. cette sociétè avait vendu ? Kadhafi un système d’espionnage du Net.
La géolocalisation peut s’effectuer comme par exemple des puces de RFID qui est une puce informatique couplée à une antenne lul permettant d’être activée à distance par un lecteur et de communiquer avec ce dernier, les puces peuvent même être implantées sur des personnes comme en Espagne des puces RFID sont injectées sous la peau pour servir de moyen de paiement dans certaines dicothéques.