Or, il a été démontré que la consommation d’alcool peut nuire au développement physique et mental, en particulier l’adolescence et au début de l’âge adulte, bien que certaines habitudes de consommation soient plus risquées que d’autres. Cest pourquoi les DCAFR recommandent aux jeunes d’attendre le plus longtemps possible avant la première consommation d’alcool, au moins jusqu’à ce qu’ils aient atteint l’âge légal pour boire. S’ils choisissent de boire, les jeunes devraient respecter les directives de consommation sous-mentionnées. l’alcool en 2012.
En moyenne, les jeunes onsomment de l’alcool pour la première fois à l’âge de 16 ans. Les DCAFR du Canada pour les personnes entre l’âge légal pour boire et l’âge de 24 ans recommandent de ne jamais dépasser : 10 verres par semaine chez les femmes, à raison d’un maximum de 2 verres par jour; 15 verres par semaine chez les hommes à raison d’un maximum de 3 verres par jour. es DCAFR générales ne s’appliquent pas aux jeunes qui ont atteint l’âge légal, puisqu’ils doivent respecter les limites recommandées même lors d’occasions spéciales.
Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Page 1 Résumé lié aux DCAFR : Les ‘eunes et l’alcool 2 est grand peut avoir de graves répercussions sur la santé et la sécurité des jeunes. Autres méfaits potentiels de la consommation d’alcool chez les jeunes Les adolescents s’exposent sans le savoir aux risques associés l’alcool, dont l’intoxication alcoolique et les blessures. La plupart d’entre eux n’ont pas une consommation régulière et modérée, mais alternent plutôt entre abstinence et calage d’alcool.
La consommation d’alcool peut mener les jeunes à prendre de mauvaises décisions, comme onduire un véhicule après avoir bu ou monter à bord d’un véhicule avec un conducteur ayant consommé de l’alcool. Parce que l’alcool affaiblit le jugement, le raisonnement et l’habileté évaluer les risques, sa consommation est également associée l’augmentation des risques de suicide, dhomicide et de noyade, ainsi que des risques de commettre des agressions physiques ou sexuelles, ou d’en être victime.
Jusqu’à 30 % des élèves Les mélanges d’alcool et de drogues ou d’alcool et de boissons déclarent avoir bu cinq énergisantes contenant de la caféine semblent avoir la cote auprès verres ou plus en une es jeunes. Combinées, ces substances peuvent encourager les même occaslon. comportements à risque et avoir des effets dangereux et imprévisibles sur le corps humain, comme l’intoxication alcoolique, la surdose et la mort. Centre canadien de lutte c 3 comanies • Canadian plus élevé de maladies chroniques comme le cancer, les accidents vasculaires cérébraux, et les maladies du cœur ou du foie.
Les jeunes devraient retarder l’usage de l’alcool L’alcool est en cause dans 50 % des accidents de la route impliquant le décès d’un jeune. Il n’y a pas d’âge « normal » pour commencer • En 2009, 31 % des personnes onsommer de l’alcool, bien que l’âge légal pour décédées dans un accident de la route en acheter varie de 18 à 19 ans selon la lié à l’alcool étaient des jeunes. province, une mesure qui vise à retarder l’âge de la première consommation d’alcool chez les jeunes.
Dans bien des cas, plus l’usage de l’alcool débute tôt chez l’adolescent, plus il aura tendance à consommer fréquemment et à développer une dépendance à Palcool ou d’éprouver des problèmes liés à l’alcool. Les DCAFR recommandent aux jeunes de repousser le plus longtemps possible leur première consommation d’alcool. Le rôle des parents Les parents peuvent jouer un grand rôle dans le rapport de leurs enfants à l’alcool, en abordant avec eux les effets et les risques ainsi qu’en s’assurant qu’ils sont bien informés, afin qu’ils puissent prendre des décisions éclairées.
Les arents qui formulent des attentes claires et bien lus 4 tel choix varient en fonction du contexte. Dans certaines cultures, par exemple, les parents jugent acceptable d’offrir un petit peu de vin à leur enfant lors d’une occasion spéciale. Dans les cultures qui adoptent cette pratique, le taux de problèmes liés à l’alcool peut être plus faible. Toutefois, des problèmes peuvent naître lorsque des parents fournissent de l’alcool aux enfants sans offrir d’encadrement ou de supervision.
Cest pour cette raison que si les jeunes commencent à boire de l’alcool – ce qui n’est pas recommandé — il est préférable que ce soit en petites quantités et en compagnie de leurs parents, à condition que ces derniers adoptent une consommation à faible risque. Message à retenir pour maintenir une consommation à faible risque, les jeunes doivent respecter les limites quotidiennes et hebdomadaires correspondant à leur sexe. Néanmoins, ils doivent garder à l’esprit u’une consommation dans les limites préconisées par les DCAFR n’est pas sans risque. s lignes directrices axées sur des préoccupations de santé spécifiques varieront en fonction du risque individuel selon la personne concernée. Il n’est pas possible de produire des directives correspondant à toute maladie ou situation. Cela dit, les jeunes qui se préoccupent du risque de maladies liées à l’alcool devraient consommer en dessous des limites préconisées par les DCAFR. Les adolescents peuvent consulter leur fournisseur de soins de santé pour comprendre l’incidence de leurs habitudes de consommation d’alcool.