Pont du gard

ly a un 31 ans de ça, j’étais avec ma femme, Maria, dans ma grande villa située sur la côte ouest des États-Unis. Cétait une maison idéale pour un couple qui voulait fonder une famille, mis à part le fait qu’elle se situait en face du plus grand cimetière du pays, ce qui le soir, donnait une atmosphère sombre et inquiétante. Ce soir là, nous nous préparions à manger quand un sujet nous fit nous quereller: nous n’étions pas d’accord sur le fait d’héberger Pascal, un de nos amis, qui venait de perdre tous ses biens.

Il était pour moi absolument hors de question que cet homme dorme ous le même toit que Maria étant donné son amour fou pour elle. De nature nerveuse, ‘ gestes et à hausser I escaliers. Je fis un ge et tomber la tête la p fus obliger de dire qu OF4 p g ire de grands en haut de grands aler les escaliers , ce qui la tua. Je tte explication ne suffisait pas et j’étais le principal suspect. Le soir suivant, je fus arrêté pour meurtre et condamné à 30 ans de prison ferme. Le corps d Suipe to View next page de ma femme avait bien évidement était enterré dans le cimetière qui se trouvait au pied de ma villa.

Cest donc depuis ce soir, que je fus l’homme le plus misérable et désespéré du monde. Je passais toutes mes soirées seul, dans ma cellule, la mort de ma femme sur la conscience et avais parfois une petite pensée pour mon ami que j’avais lâchement abandonné et qui, sans doute, devait me haïr pour ce que j’avais fait à Maria. Quand je fus sorti de prison, j’étais isolé, toujours dans cette villa, sans personne car toute la ville me craignait et me haiSsait d’avoir tué la belle Maria aimée de tous. Cette nuit là, 31 ans après cette tragique histoire, je décidais de archer pour m’aérer et me changer les idées.

Je sortis donc marcher sur la route sombre et angoissante sur laquelle se trouvaient ma maison et le cimetière. Je pleurais énormément, ma femme me manquait tellement quand, tout ? coup, je sentis comme une présence. J’entendais aussi des pas dans le cimetière situé en contre bas, et je sentis une odeur qui m’était autrefois si agréable , celle de ma femme! Je ne vis qu’une seule explication à ce qui venait d’arriver, ma femme était un fantôme et se trouvait ici, tout près de moi 2 explication à ce qui venait d’arriver, ma femme était un fantôme t se trouvait ici, tout près de moi!

Cela me semblait irrationnelle et complètement impossible mais mis à part le fait qu’une personne veuille me jouer un tour, je ne voyais aucune autre explication. Je voulais au plus vite renter chez moi, mais intrigué, je décidai tout de même d’entrer dans le cimetière. Imaginons que cela soit vrai, je pourrais enfin parler à ma femme et lui présenter les excuses que je n’aurais jamais pu lui faire… J’ouvris donc le portail rouillé et grinçant.

Aveuglé par l’amour que je portais à ma bien aimée, je poursuivis le pas sans même ésiter pour rejoindre sa tombe quand, soudain, j’entendis un hurlement, aussi perçant qui celui poussé par Maria lors de sa chute. Je m’arrêtai. Et si elle m’en voulait? Si elle m’attirait dans un piège pour enfin pouvoir se venger du crime que je lui avais fait? La hantise commençait à s’emparer de moi. Je claquais des dents, regardais partout autour de moi, j’étais terrifié, angoissé, l’ appréhension de ce qui aller m ‘arriver me fit perdre tout moyens de bouger.

Je criai alors: Le claquement du portail, le vent et les crissements de feuilles ne e laissère 3 alors: e claquement du portail, le vent et les crissements de feuilles ne me laissèrent pas finir ma phrase. Je courus alors le plus vite possible mais mon pied fut pris dans une racine. Je levai la tête pour me relever quand je vis une silhouette située en face de moi sans voir qui c’était. Celle-ci tenait une couteau et me donna une dizaine de coups. Le lendemain, on retrouva mon corps sur la tombe de Maria. Cela fit la une des journaux. Beaucoup de gens du pays dont les explications étaient rationnelles pensaient que c’était un meurtre.

Mais la ville entière qui connaissait l’histoire de ma femme ne pouvait croire que c’était le cas. La légende dirait que le fantôme de Maria voulait s’emparer de son époux pour le tuer afin de se venger, et, enfin, pouvoir se retrouver ensemble. Les autorités ne trouvèrent jamais d’explication à ma mort tragique et laissèrent mon corps et celui de ma femme côte ? côte, car c’est ce que nous avions toujours voulu… Vous vous demandez sûrement comment je peux vous raconter tout cela alors que je suis mort, mais sachez que je me le demande aussi… 4