Synthèse Culture générale et Expression Le corpus étudié est composé de quatre documents. une fable, un extrait de magazine et deux extraits de romans dont l’un du XXème siècle puis l’autre du XXIème siècle. Le thème commun à tous ses documents est le rêve au cœur de la société de consommation. Cela nous amène à la question suivante, comment percevons-nous le rêve au sein de la société de consommation ?
Dans un premier paragraphe, je développerai une idée sur la sociét paragraphe, une idée terminer, un troisièm next page umain n’est jamais s dans un deuxième gère et pour idée que retre La société de consommation nous incite à l’achat par le rêve. Cette idée est soutenue par deux des quatre documents. Frédéric BEIGBEDER dans le deuxième chapitre de son roman 99 Francs publié en 2000 via les éditions Grasset et Fasquelle critique fortement la société de consommation notamment le fait qu’elle sorte toujours plus de nouveautés toujours plus alléchantes qui nous donnent envie d’ache ShAipe to Wew next page d’acheter.
Cest également ce que confirme Richard BORNIA dans a Dépêche du Midi, édition du 19 avril 2013 dans son article Lasgraisses » Malfaçons, mauvaise isolation… édité par Tarn en mettant en avant une proposition de rêve, un logement à la campagne écologique pour un loyer très faible, incitant ainsi les hommes à acheter. La société de consommation nous incite donc à l’achat, mais faut- il croire à toutes ses propositions de rêve ? La publicité ne serait que mensonge.
Frédéric BEIGBEDER confirme cette idée dans le deuxième chapitre de son roman sur la critique de la société de consommation, la publicité nous donne ue du rêve que nous n’aurons jamais. Pareillement Frédéric BEIGBEDER dans son article paru dans la Dépêche du Midi dénonce cette publicité mensongère en écrivant les témoignages de gens qui ont été trompés par ce soi-disant rêve de pavillon en pleine campagne qui est en réalité lugubre, dangereux et inachevé. La publicité serait en partie, mensongère mais alors pourquoi à-t- elle toujours autant de succès ? ‘homme veut toujours plus.
Cette idée est affirmée par Frédéric BEIGBEDER toujours en critiquant la société de consommation en est affirmée par Frédéric BEIGBEDER toujours en critiquant la société de consommation en argumentant sur le fait qu’une fois que l’homme a une chose, il s’en lasse et il lui en faut une autre et cela toujours et toujours, c’est ancré dans la société de consommation. C’est également se que pense Jean de la FONTAINE dans une de ses fables La Laitière et le pot au lait écrite en 1668 en mettant en scène une fille qui en allant vendre son lait rêve de pourvoir s’acheter des poulets puis des porcs toujours plus.
Enfin, c’est aussi ce que pense Georges Perec dans son roman Les Choses de 1965, Editions Julliard en citant des lieux évoquant le rêve que deux personnes ont apparemment visité mais en n’ayant jamais assez ils continuent en voulant toujours plus découvrir le monde sans jamais s’arrêter. La société de consommation incite donc à l’achat en proposant du rêve mais qui lui n’est apparemment pas garanti, fiable ? 100%. Cependant l’homme, tel est sa nature, n’est pas rebuté et continu de toujours vouloir d’autres choses sans jamais être complètement satisfait… 3
