Sébastien Japrisot de son vrai nom Jean-Baptiste Rossi, est un romancier, scénariste, traducteur, réalisateur et parolier français. Il grandit à Marseilles et suit l’enseignement des Jésuites. Très tôt, il développe un goût prononcé pour l’écriture et écrit à l’âge de dix-neuf ans, « Les Mal Partis’, son tout premier roman. Son bac en poche, il monte à Paris afin de faire ses études ? la Sorbonne mais surtout tenter de faire publier son livre. Il y parvient en 1950 lorsque son roman charme la maison d’édition Robert Laffont, malgré le sujet sulfureux qu’il traitait.
Ce livre lui alut un succès destime en France. Et aussitôt traduit à l’étranger, le livre connut un succès foudroyant aux États-Unis. Par la suite, il exerce publiciste. Il revient ? l’anagramme de Séb ien. , „ ‘Compartiment tueur en quelques jours, sa raducteur ou n publiant, sous uittera plus, llon’ écrits à la suite ant le succès qu’ils allaient avoir, et que le cinema s’emparerait de ses livres. Conforté par ces succès, Japrisot alterne par la suite entre son métier d’écrivain et celui de scénariste. Il réalise ainsi le scénario d »Adieu l’ami’ en 1968 ou celui La Cours Swipe to page
Course du lièvre à travers les champs (1972) ou encore des ‘Enfants du Marais’ en 1998, tourne sa propre adaptation des ‘Mal Partis’ en 1975. D’un autre côté, des romans tels que ‘L’ Eté meurtrier’ connaissent un succès international (États-Unis, Japon). Le Passager de la pluie (1992) dont il publie les réécritures romanesques. Cherchant à revenir à la littérature, il publie en 1991 Un long dimanche de fiançailles, histoire d’amour durant la guerre de 14-18 qui se transforme en une véritable enquête policière et que couronne le prix Interallié et que Jean-Pierre Jeunet adaptera au cinéma en 2003. ??crivain confirmé, Sébastien Japrisot dest aventuré dans de multiples domaines de l’art et y excella. Ces œuvres furent le résultat d’une quête permanente, d’une constante recherche de différentes techniques d’écriture. Ses principaux arguments étaient la maîtrise de l’écriture comme de l’intrigue. Tout était négocié avec une science innée de l’application. Les sujets était forts, recherchés. La langue concise, très travaillée. Cette recherche permanente du plus juste équilibre fait de Japrisot un écrivain aussi rare que déterminant. Mais il Sest éteint à Vichy, le 4 mars 2003. 2