PLAIDOIRIE

PLAIDOIRIE Il n’est Français que depuis six ans mais, depuis quelques semaines, Stephan Turk, Mustapha de son vrai prénom, partage la France en deux. Héros pour les uns, criminel pour les autres, le désormais célèbre « bijoutier de Nice » est sous les feux des projecteurs depuis le 11 septembre 2013. Rappel des faits : Le 11 septembre 2013, un bijoutier niçois, Stephan Turk, se fait braquer par deux jeunes gens casqués et vêtus de noir en ouvrant sa boutique le matin.

Sous la menace d’un fusil à pompe, ils lui portent des coups de poing et de pied, lui demandant d’ouvrir le coffre. Le commerçant obtempère et les deux malfaiteurs un scooter volé de gr se org hauteurs de Nice. Le à la disqueuse en 201 et, depuis le seuil de ant de repartir sur retrouvé sur les ad é ait l’objet d’un vol semi-automatique trois reprises, deux fois pour immobiliser le deux-roues et une troisième fois « parce que le passager l’aurait menacé directement de son arme », a-t- il expliqué lors de sa garde à vue.

Des tirs fatals puisqu’un des deux braqueurs, Antony Asli, décède de ses blessures. La justice a décidé de placer le bijoutier sous surveillance en lui obligeant de orter un bracelet électronique dans l’attente de son jugement. Monsieur Turk : Monsieur Turk est un honnête cit page citoyen possédant un casier judiciaire vide jusqu’à ce jour, il est naturalisé français en 2009 et avant de devenir ce bijoutier aux 1 millions de likes sur Facebook, il a été tour à tour pharmacien et chef d’une faction combattante pro-palestinienne.

Mustapha Turk (son véritable nom) était le chef d’une petite faction combattante qui s’appelait : Les Compagnons de la Révolution. Exilé politique du Liban, c’est comme ça que Stephan Turk débarque à Nice, en 1983. Au 23 rue d’Angleterre, la bijouterie La Turquoise devient une adresse très courue dans ce quartier populaire. Pour ses bijoux et pour ses coups de pouce. Après avoir analysé le profil du bijoutier, nous allons analyser le profil des braqueurs : Anthony Asli : Il possédait un casier judiciaire déjà bien fourni, au regard de son jeune âge.

Ainsi, la victime avait déjà été condamnée à quatorze reprises (dont treize fois par le tribunal des mineurs) entre janvier 2006 et octobre 2011. Le jeune homme aurait effectué son dernier séjour en prison à Grasse ntre les mois d’octobre 2011 et d’août 2013, avant de bénéficier d’un placement sous bracelet électronique. Une surveillance qui a pris fin moins de quinze jours avant le braquage dans lequel le jeune homme a perdu la vie. Ramzi Khachroub : peu d’informatlons sont fournis au sujet de Ramzi Khachroub.

C’est un jeune niçois âgé de 20 ans, qui a été appréhendé quelques temps après le braquage. Cet individu était lui aussi connu des services de police et a quelques temps après le braquage. Cet individu était lui aussi connu des services de police et a été placé en examen pour « vol ? main armé » Avant de pouvoir parler de légitime défense dans cette affaire très complexe, nous devons nous assurer que la légitime défense est bien reconnue et respecte toutes les conditions stipulées par la loi afin de pouvoir les appliquer dans cette affaire et faire ou non état de la légitime défense. / Les arguments Rappelons l’un des premiers éléments qui nous semble essentiel, SI ces deux braqueurs n’avaient pas commls ce délit qul rappelons-le est sévèrement puni par la loi, il n’y aurait pas eu de mort. En effet, pas de braquage pas de mort. Ces deux individus sont de plus des multirécidivistes, âgés seulement de 20 ans ils sont connus des services de police et de la justice pour diverses affaires et l’un d’entre eux a même eu de lourdes peines.

Lorsqu’on a 20 ans on est censé être à l’école ou être inséré dans la vie active et travailler honnêtement et non pas vivre dans le délit, la délation et le crime. Le sérieux problème qui se pose est le problème de la récidive, rappelons-le, le 7 Janvier 2015, paris essuie les tirs de deux hommes, déterminés et prêt à tout pour aller au bout de leur onviction et de leur valeur extrémistes. En effet, les frères Kouachi étaient très connus des services de police et pourtant ils étaient en libertés et ont pu commettre leur attentat en tout impunité et sans encombre.

Tout comme libertés et ont pu commettre leur attentat en tout impunité et sans encombre. Tout comme ces deux jeunes individus qui deux semaines seulement après la libération de l’un dentre eux commettent un nouveau délit qui s’avéra être fatal pour Anthony Asli. Le bijoutier a dû faire face à deux jeunes gens déterminés, armés t sans foi ni loi qui avait prémédités leur coup, rappelons que le scooter était volé et qu’ils étaient deux pour commettre ce vol et qu’ils étaient armés d’un fusil à pompe, une arme de catégorie C.

Ici, on peut donc parler de vol avec préméditation pour un préjudice de 140 000 euros. Rappelons également que ces deux individus s’en sont pris physiquement au bijoutier afin que ce dernier leur livre la marchandise il y a donc eu une attaque physique envers le bijoutier. Dans ce contexte de peur, d’agressions et de multiplication des braquages (augmentation de des braquages de bijouteries epuis 2008) le bijoutier a répliqué en tirant à plusieurs reprises sur le scooter des agresseurs afin de l’immobiliser.

Certes, l’un d’entre eux est décédé mais d’après les sources policières, et d’après les propos du bijoutier, le braqueur, à l’arrière du scooter l’aurait menacé directement avec son arme. Compte tenu du passé du bijoutier, ce dernier savait tirer et n’aurait pas dû certes détenir d’arme à feu, mais combien de commerçants possèdent une arme à feu afin de se protéger de ce fléau que sont les braquages ? Le bijoutier a de plus reçu un soutien PAGF