L’animateur fait rentrer une autre premier volontaire a l’histoire. Quand le p renter une troisième e mime que la premi S. v. p page a regarder ce le a pas expliquer on mime, on fait personne, refait fait rentrer un quatrième volontaire qui va regarder ce que le troisième a vu. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’on arrive à faire passer tout le groupe. Qu’en tirer ? Faire parler les participants, comment les gestes se sont modifiés voir même supprimés. Que peut-on en tirer sur la communication ?
L’exagération : Tout le monde se met en ligne, le premier propose un geste et un bruit simultanément. Le deuxième doit reprendre ce geste et ce bruit en exagérant les deux. Le troisième encore un peu plus, le quatrième encore plus. Le but c’est qu’en fin de ligne le geste et le bruit soit poussé à son maximum possible ! to next page possible ! ATTENTION : difficulté, bien écouter les propositions de celui qui le fait juste avant. Le refaire autant de fois nécessaires pour arriver à fond, les participants changent de place pour tester plusieurs intensités.
Animaux gradués : Tout le monde marche dans l’espace en prenant toute la place et en évitant de tourner en rond. Ils choisissent dans leur tête un animal. Au signal du meneur ils eviennent cet animal (corps et sons) sur une échelle de O à 5. O étant, qu’ils soient eux mêmes, et 5 1’animal à part entière. Le burlesque : Une personne sur scène en train de raconter une histoire (connue ou Inventée pu importe) et une autre personne se met derrière et « mime » l’histoire. Changer de personnes dès que l’énergie retombe.
On peut ajouter aussi le publique qui fait les bruitages, la personne jouant, doit les prendre en compte. Jacques et Hélène : Deux chaises sur scene en mode « canapé », deux volontaires, Jacques et Hélène. Jacques, n’a le droit de ire que le mot « Hélène » et Hélène ne peut dire que le mot « Jacques Le but n’est pas de remplacer la parole par la succession des jacques ou hélènes, mais bien de mettre les intentions de jeu derrière les prénoms. Le meneur donne des situations aux joueurs, ils doivent la jouer et trouver une fin.
Ex : Hélène a trompé Jacques, elle lui avoue. Jacques est un gros bof tu canapé télé foot, Hélène en a marre de toujours tout faire à la maison alors qu’elle est la seule travailler. Hélène attend un b 2 à la maison alors qu’elle est la seule à travailler. Hélène attend un bébé de Jacques mais lui avoue qu’elle n’est pas prête, qu’elle n’en veut pas. Jacques ne connaît pas Hélène, il essaye de la draguer, Hélène est très difficile à atteindre. L’ Ascenseur : délimiter un espace de jeu type ascenseur mais suffisamment grand pour jouer.
Demander a 4 ou 5 volontaires de jouer une situation. Les personnages Un petit garçon qui doit faire pipi Un homme d’affaires en retard pour la réunion la plus importante de l’année un claustrophobe Un sourd Un aveugle Une femme enceinte Mamie ou papi bougonneux jeunes très amoureux Un prof de yoga Le touriste (soit typé américain, soit asiate prenant des photos) L’agent de service Une fois que le meneur a distribuer les rôles en soufflant l’oreille de chacun ce qu’ils sont , ils peuvent prendre place dans l’ascenseur qui descend.
Au signal choisi par le meneur, l’ascenseur bloque, le jeu commence. Une fois que les personnages ont pu s’exprimer un peu, que le public comprend qui est quoi, le meneur propose une situation à gérer pour alimenter le jeu. Situations : Proposition de mariage.