Convictions vitales

Edouard Bellefeuille, Justine Costello, Sophia Garrel Travail de session présenté Francine Gagnon philosophie et ration PHIGOIIO or 8 Sni* to View Collège JeandeBrébeuf Département de philosophie 15 avril 2015 Au courant de l’histoire, plusieurs être humains ont réussi à changer les choses dû à leur point de vue unique et révolutionnaire. Socrate figure p armi l’un d’entre eux. Dans le passé, certaines des convictions de Socrate pouvaient choquer et être perçues négativement, par contre de nos jour, elles de penser et de s’interroger; soit que la liberté de croyance et la defense de son identité personnelle.

Premièrement, il vaut la peine de mourir pour ses convictions, car il faut défendre notre liberté de penser avec courage et il faut rester intègre ? soimême. On peut examiner plusieurs concepts entourant cet argument. Tout d’abord, pour faire le sacrifice de sa propre vie, il faut extrêmement de courage et de passion (« coeuW). Ces qualités font partis des éléments clés pour former un individu équilibré.

Le courage est une des 4 vertus (sagesse, justice, courage et tempérance) qui composent les individus dans une cité idéale et nous rapproche à Pharmonie entre la vertu et l’âme. Ensuite, la signification e la vie et de la mort, une personne qui est prête à sacrifier sa vie pour ses convictlons a une opinion sur ce qu’est la mort et ce qu’est l’âme,principe de vie qui explique la présence de vie et de mouvement dans un etre. La mort peut etre representé de différente facon, pour certain elle est la fin de la vie et pou d’autre il y a une vie après la mort.

Le sacrifice de la vie est quelque chose de si irréparable qu’il faut s’assurer de sa validité. La liberté de la penser est un aspect important de la liberté en soi, la liberté de penser conditionne toutes les autres aspects de la liberté et caracterise l’ho I l’etre humain à la liberté de penser permet aux hommes d’etre egaux, l’importance de l’opinion de chaque personne est égale, homme et femme, riche et pauvre, de toutes nationnalité. Le philosophe Socrate a sacrifié sa vie pour la liberté de penser et d’agir.

Les Athéniens l’accusa de corrompre la jeunesse et autres, car il ne croyait pas en la religion de l’époque et il poussait les citoyens à mettre en cause ce qu’ils considèrent comme des vérités acceptées par tous. Quand il refusa d’arreter de faire ceci, c’est à ce moment qu’il mis ses convictions avant sa propre vie et se fit tuer. Oui, il faut ourir pour ses idées, mais à certaines conditions. Il faut s’assurer que SI on meurt pour une cause ou une conviction notre vie a valu le sacrifice.

Tout cela dépend du motif qui nous fait défendre cette idée. Par exemple, si notre mort ne provoque aucunes consequences ou changements en lien avec nos convictions, elle ne vallait pas la peine. De plus, par ce qu’on ne peut pas revenir sur la mort, il faut etre certain que se sacrifice aura un impact quelque compte après votre mort. Finalement, le sacrifice de la vie est valable pour défendre la liberté de penser et aussi pour défendre l’integrité de soimeme. Deuxièmement, il vaut la peine de mourir pour certaines convictions vitales.

En effet, la vie sans identité ne vaut pas la peine d’être vécue, l’identité étant la représentation de soi fait ar un individu, associée à un sentiment de continuité continuité et de permanence. Cela s’illustre dans les combats de certains groupes considérés comme minoritalres (tels que le mouvement de libération des noirs, le mouvement des premières nations, le mouvement féministe, etc). Si, au Canada, les personnes gaies et lesbiennes sont plus ou moins bien acceptées, en Russie et dans bien d’autres pays, elles doivent continuer de se attre pour être acceptées.

Faire accepter à une société que l’orientation sexuelle d’une personne fait partie de son identité reste un défi pour lequel certains seraient prêts à mourir. La raison est simple: vivre sous une fausse identité ne vaut vraiment pas la peine. En effet, à quoi bon vire si nous ne pouvons pas être nousmême ou nous devons être compromis. Les minorités sont souvent victimes des normes de la société. Il est important de rester intègre à soimême afin de s’épanouir et avoir une identité. L’intégrité est un état qui est totalement propre à chacun.

Les minorités forment des communautés aisant parties de la société. Dans leur cas, le problème s’adresse à une grande partie de cellesci et compromet fidentité de chaque personne y falsant partie. Les gais et lesbienne en sont un exemple. Simplement car ils ont tous un point commun qui les empêche (dans certains pa s d’avoir une identité propre à eux. Bien sur, il V plus difficile d’accepter les autres et de nous accepter nousmême. Afin d’accepter son identité, il faut faire preuve de courage.

Il faut rester fidèle à ses convictlons et ne pas laisser notre environnement nous changer et, pour certains, même si cela peut entrainer la ort dans des situations intenses. Cela peut sembler extrême, mais certains homosexuels en Russie sont prêts à perdre la vie afin de faire valoir leur identité. Les droits des homosexuels progresseront grâce à eux. A une échelle plus élevée, les minorités doivent garder le courage et continuer a apporter les changements qui supportent leur identité. Nous devons vivre en étant pleinement nousmême afin d’évoluer en temps que société.

On dit souvent que la mort est l’ultime sacrifice, mais ne serais ce pas le sacrifice de l’identité la plus importante? Ces minorités doivent garder leurs convictions afin q Welles évoluent t obtiennent les droits qu’elles méritent, car une vie ou on doit sacrifier notre identité ne vaut pas la peine d’etre vecue. Les convictions sont des opinions certes fermes, mais elles restent des opinions personnelles. Lorsqu’on les élève au rang de valeurs, on les transforment en normes valables pour plusieurs personnes et les convictions deviennent des valeurs sociales.

Comment alors considérée comme une valeur vitale? Cette transformation estelle légitime? Par contre, de quel droit une valeur comme l’orientation sexuelle, qui est personnelle, devraitelle être partagée par une majorité sociale? Autrement dit, seraitce mposer des convictions personnelles pour l’ensemble de la société? Certains éléments de l’identité doivent être socialement partagés, étant donné que l’identité est à la fois revendiquée par l’individu et reconnue par les autres.

Ces éléments permettent de former des liens et de connecter avec d’autres personnes. Seules quelques valeurs limitées en nombre et capables de faire consensus dans une société méritent ce privilège de « valeur vitale ». D’autre part, il faut précisément que ces valeurs soient jugées « vitales et éloquentes pour la collectivité », c’estàdire nécessaires à la vie et à l’équilibre d une société. Les convictions qui ont une telle valeur méritent un sacrifice si celuici est nécéssaire.

Troisièmement, certaines convictions jugées vitalesl, où que l’ensemble des phénomènes qui maintiennent l’activité des organismes doté d’une fonction donnée, par extension du sens, s’ensuivent jusqu’à leur mort, sont dune importance telle qu’elles méritent que la vie ellemême soit sacrifiée. C’est la raison pour laquelle la liberté d’expression est une conviction jugée vitale, our ajouter des opinions diW le monde et les de religion et la liberté de conscience, met toujours en ?vidence le sens du mot martyre, en le définissant comme celui qui accepte de mourir pour sa fol et ses idées.

D’ailleurs, ceux qui prennent des risques ou que dautres personnes décident arbitrairement de leur sort, cela n’enlève rien à la valeur de leurs gestes ou de leurs choix. Ce qui est admiré chez les martyrs de toutes les religions, c’est surtout leur courage de témoigner de leur foi dans http://dicophilo. fr/ l’adversité ou dans le danger de se faire exclure ou bien même tu é. Par exemple, en juin 2009, le père, la mère et le frère, ont été accusés de meurtre prémédité de la première épouse du père et de leurs rois adolescentes âgées entre 13 ans et 19 ans, pour des raisons soclales, culturelles et familiales.

Les f emmes ont été tuées à cause qu’elles ne croiaient pas à l’importance de suivre la religion de manière extrémiste, comme le reste de la famille2. C’est entre autre un acte courageux, car elles ont continués à penser de leur façon, même si elles savaient que ce n’était pas accepté par sa propre famille. Le fait d’avor des croyances religieuses extrémistes, nuit à la liberté de conscience, par conséquent cela peut faire des victimes, comme dans le cas de Charlie Hebdo, où ils enlevé la vie des , car ils n’acceptent