Lecture Analytique 2 : Dom Juan [acte 2 scène 2-3] Dom Juan, pièce de Molière, a été publiée en 1682, c’est une pièce en 5 actes, nous étudierons l’acte 2 scène 2 à partir de la ligne 59 jusqu’à la fin de la scène 3 avec comme problématique : Comment Molière lie-t-il la séduction et le comique ? Dans une première partie, on montrera qu’il a fait de Charlotte un personnage simple et dans une deuxième partie que Dom Juan est un personnage allant à l’extrême dans sa rhétorique.
Charlotte est très réticente au fait que Dom Juan qu’elle ne connait pas vienne la séduire, elle va donc lui exposer le fait u’elle ne lui fait pas ne jamais croire les nombreux préjugé q Ile expose l’élément qu déshonorée, et après or 3 e 72 elle dit n montrant de i m Cest ensuite qu’elle e ne veut pas être enté pour défendre sa cause, c’est à la ligne 100 qu’elle commence à hésiter sur tout ce qu’elle pensait sur les hommes, il n’a pas fallu beaucoup d’argumentation à Dom Juan pour la faire douter.
On note donc une séparation ligne 100 entre son idée que les hommes lui veulent du mal et que Dom Juan Swipe to View next page ne fait pas parti de ces gens-là, c’est à cette ligne précisément qu’on sent que Dom Juan l’a séduite. A tel point qu’elle finit par accepter un éventuel mariage, mais cela va encore plus loin : elle finit par lui faire confiance sans même le connaitre complètement et elle va jusqu’à demander à pierrot de ne pas lutter et de ne pas se fâcher contre son futur mari.
Elle a finalement contredit toutes ses idées et ses préjugés des hommes suite à la rhétorique de Dom Juan. Le fait de bien parler lui a permis de la convaincre de quitter son promis pour Dom Juan. Dom Juan va aller aux extrême, il va argumenter mais avec comme ligne principale : lui montrer un amour très fort, il va pour ela utiliser sa rhétorique. Il ne connaît la femme que depuis peu de temps et il insiste déjà pour qu’elle refuse la vie avec un paysan dans un village, ligne 65-66.
Il va jusqu’à proposer un mariage avec une fille qu’il ne connaît presque pas afin de lui prouver son amour, il montre qu’il est presque scandalisé par le fait qu’elle ait pu de lui en pensant qu’il pouvait être malhonnête ligne 81-82. Il dit de lui qu’il a trop de conscience pour être malhonnête ligne 83, il emploie le terme trop qui n’est pas sans importance puisque le « trop » montre un excès, bien présent dans son attitude mais pas dans as sans importance puisque le « trop » montre un excès, bien présent dans son attitude mais pas dans sa conscience.
Il utilise une hyperbole : ligne 99 « je me percerais le cœur de mille coups… Il est encore une fois dans rexcès. Il fait et refait des promesses comme à la ligne 103 ou il refait la promesse de l’aimer. Il va jusqu’à jurer pour lui démontrer son amour et reprend le principe de faire croire qu’il est presque scandalisé par le fait qu’elle doute encore : réplique ligne 111. Il l’insulte alors que Pierrot n’a fait que le prévenir implicitement que Charlotte lui est promise ligne 4 de la scène 3.
A chaque réplique qu’il envoie à Pierrot il ne cesse de l’insulter sans justification sensée et va jusqu’à l’extrême : le frapper à multiples reprises : pour résumer, Dom Juan qui a convaincu Charlotte la promise de Pierrot de se marier avec dom juan, n’est pas reconnaissant du fait que précédemment, il l’a sauvé de la noyade, et de plus il va jusqu’à avoir la main de sa promise. Pour conclure on peut considérer que Molière a tourné au ridicule la femme Charlotte et a fait en sorte que la rhétorique de Dom Juan l’emporte sur les préjugé, ici vérifiés, auquel la femme croyait.