L’ALÉNA après sept ans Faire fructifier un partenariat nord-américain L’ALÉNA fonctionne La mise en oeuvre de l’ALÉNA, amorcée il y a sept ans, a créé la plus grande zone de libre-échange au monde, qui réunit maintenant 406 millions de personnes produisant des biens et services d’une valeur de plus de 11 billions de dollars US. Le démantèlement des barrières commerciales et l’O ont entraîné une croi or 8 dans chacun des troi ay’. Snipe to View déterminés à mener faciliter encore dava de la prospérité re de l’ALÉNA afin de l’investissement en Am rique du Nord.
De plus, nous tablerons ur nos succès dans le cadre de l’ALÉNA pour coopérer davantage entre nous, au sein de Phémisphère et dans les forums mondiaux. Expansion du commerce et de l’investissement En abaissant les barrières commerciales et en établissant des règles commerciales claires, l’ALÉNA a étendu les perspectives d’échanges et dinvestissement aux États- Unis, au Canada et au Mexique. Depuis 1994, le volume total des échanges entre les trois partenaires de l’ALÉNA est passé de 297 milliards de dollars US à 676 milliards de dollars US en 2000, soit une augmentation de 128 pour cent.
Chaque jour, les parties à l’ALÉNA effectuent des échanges trilatéraux d’une valeur de près de 1 milliards de dollars US. base douanière. Sources : U. S. Department of Commerce (USDOC), Statistique Canada, Banque du Mexique) • Les exportations de marchandises du Canada vers ses partenaires de l’ALÉNA ont augmenté beaucoup plus rapidement que ses exportations de marchandises vers le reste du monde. De 1993 à 2000, la valeur en dollars US des exportations canadiennes de marchandises vers les États-Unis et le Mexique a augmenté de 109 pour-cent, passant de 112 milliards de dollars US en 1993 à 235 milliards e dollars US en 2000.
Cette croissance de 109 pour cent est nettement supérieure à la croissance de 29 pour cent des exportations vers le reste du monde au cours de la même période. • De même, les exportations du Mexique vers ses partenaires de l’ALÉNA se sont élevées à 154 milliards de dollars US en 2000, soit 238 pour cent de plus qu’en 1993, l’année précédant le début de mise en oeuvre de l’ALÉNA. En fait, au cours des sept dernieres années, la croissance des exportations a compté pour plus de la moitié de la croissance réelle du PIB au Mexique. ?? Les exportations américaines de biens vers des partenaires de ‘ALÉNA ont plus que doublé entre 1993 et 2000, une croissance nettement supérieure au taux de croissance de 52 pour cent des exportations vers le reste du monde au cours de la même période. Depuis 1994, l’investissement dans les pays de l’ALÉNA a été dynamique et croissant en raison d’un cadre juridique qui procure certitude et transparence. À mesure que les trois économies ont crû, l’Amérique du Nord est devenu certitude et transparence. ? mesure que les trois économies ont crû, l’Amérique du Nord est devenue un aimant pour l’investissement étranger direct de toutes provenances. En 1999, le stock d’investissement étranger direct dans la zone de [‘ALÉNA atteignait 1,3 billions de dollars US, soit environ 28 pour cent du total mondial. De ce montant, 1,1 milliards de dollars IJS étaient investis aux Étatsunis, 166 milliards de dollars US au Canada et 72 milliards de dollars US au Mexique. Cet investissement étranger direct a contribué au développement et à la croissance économiques à la grandeur de l’Amérique du Nord. Source: CNUCED) • Aux États-Unis, le stock d’investissement étranger direct a augmenté de plus de 500 milliards de dollars IJS entre 1993 et 999. • L’investissement étranger direct au Canada a augmenté de 57 pour cent de 1993 à 1999. • Depuis 1 994, l’entrée annuelle moyenne de capitaux au Mexique représente trois fois le montant annuel reçu au cours des sept années précédant l’Accord, et le stock total d’investissement au Mexique a augmenté de 72 pour cent. Croissance de l’emploi L’accroissement des échanges commerciaux a entraîné une croissance de l’emploi et de la prospérité dans chacun des trois pays.
Depuis l’entrée en vigueur de rAl_ÉNA, l’emploi a augmenté dans chacun des trois pays de l’ALÉNA. En effet, au cours des sept premières années de l’ALÉNA : • l’emploi au Canada a connu une croissance de 16 pour cent, générant 2,1 millions de nouveaux emplois,’ • l’emploi au Mexique a connu une croi de 16 pour cent, générant 2,1 millions de nouveaux emplois; • l’emploi au Mexique a connu une croissance de 28 pour cent, générant 2,7 millions de nouveaux emplois; et • l’emploi aux États-Unis a connu une croissance de 12 pour cent, générant 15 millions de nouveaux emplois.
Au Mexique, le secteur des exportations est le chef de file de la création d’emplois : plus de la moitié des ouveaux emplois creés entre 1994 et 2000 étaient liés aux activités d’exportation. En 2000, les emplois américains dépendant des exportations de marchandises vers des pays de l’ALÉNA totalisaient environ 2,9 millions d’emplois, par rapport à 914 000 emplois en 1993, l’année précédant l’entrée en vigueur de l’Accord.
Retombées économiques Un des principaux effets de l’ALÉNA a été de rediriger graduellement le capital et les nouvelles perspectives d’emploi dans chacun des trois pays vers des utilisations plus productives. L’ALÉNA a contribué à hausser les niveaux de vie. Le commerce a entraîné le développement et la diffusion des technologies, un acroissement de la productivité et la création d’emplois plus nombreux et mieux rémunérés dans chacun des trois pays.
Aux États-Unis, les emplois dépendant des exportations de biens offrent des salaires en moyenne de 13 à 18 pour cent supérieurs à la moyenne nationale des salaires aux États-Unis. Au Mexique, les emplois du secteur manufacturier axés sur l’exportation offrent des salalres de près de 40 pour cent supérieurs à ceux du reste de l’industrie manufacturière. En outre, les PAGF