La Joconde

La Joconde or 5 Sni* to View l. Présentation de l’œuvre. a) La légende Titre de l’œuvre : La Joconde Nature de l’œuvre : Peinture Domaine artistique : Art du visuel Thématique : Arts, Etats et Pouvoirs Date de création . 1503 à 1506 Lieu de création : Florence Période de création : Durant l’Ancien Régime sous le règne de Louis XI Artiste : Léonard de Vinci (1452-1519) et elle se tourne vers nous, comme si nous étions avec le peintre à l’intérieur de la maison.

Derrière elle, on voit donc le paysage qu’elle regarde d’habitude: des vallées, un fleuve avec un pont, es chemins qui vont jusqu’au fond. Les mains sont très bien éclairées. Elles ont leur rôle à jouer dans ce portrait: certaines personnes agitent leurs doigts, tripotent quelque chose, ont les mains crispées même si le reste de leur corps a l’air détendu. Mona Lisa, elle, est tout à fait paisible, au plus profond d’elle-même. Les bras croisés déterminent la base d’un triangle dont le sommet serait la Tête du modèle.

Léonard a utilisé ce schéma de composition pour situer le personnage dans liharmonie à la fois plaisante et reposante d’une mise en espace géométrique. Il n’y a pas beaucoup de couleurs. Léonard de Vinci n’utilisait pas trop de couleurs différentes, surtout pas de couleurs fortes. Il préférait les images douces pour les yeux. Sur sa peinture, ils peuvent passer d’une chose à l’autre en glissant, ça devient comme une caresse, comme du nuage. Pourquoi le tableau est-il sombre ? La peinture était certainement moins sombre au départ, mais avec le temps, elle a vieilli.

Au lieu de prendre des rides, comme les gens, elle est devenue plus foncée et elle s’est craquelée. La couche de vernis qui protège le tableau a changé aussi et a bruni. Mona Lisa avait sans doute le teint bien plus clair avant, elle devait avoir bonne mine. Et le ciel derrière elle était plus bleu. pourquoi Léonard de Vinci ne peignait-il pas avec plus de précision? Dans la elle était plus bleu. Pourquoi Léonard de Vinci ne peignait-il pas avec plus de précislon? Dans la réalité, on ne voit pas tout parfaitement, surtout pas les détails du lointain.

Léonard a traduit cela honnêtement: c’est pourquoi il n’a presque pas dessiné de contours, de lignes dures entre les différents éléments. On ne distingue pas vraiment les limites de chaque forme, on les magine plus qu’on ne les voit, parce qu’elles se perdent dans une sorte de brume. Les montagnes du fond sont tellement floues qu’elles se confondent presque avec le ciel… Cette technique a été nommée sfumato (dégradé en italien). Ily a quelque chose d’étrange dans son regard Il est naturel de regarder dans les yeux quelqu’un.

Le regard de la Joconde plonge ainsi dans celui du spectateur et semble le suivre même lorsqu’il se déplace par rapport au tableau. Le peintre a obtenu cet effet en focalisant la pupille gauche directement sur l’œil du spectateur, alors que celle de l’œil droit est très égèrement décalée de côté. Il. La vie de l’auteur connu très vite la gloire. Les plus grandes familles Italiennes ou encore François 1er s’attachèrent à ses services. Ses tableaux les plus célèbres sont la Joconde et la Cène.

Comme ingénieur et inventeur, Léonard développe des idées très en avance sur son temps, comme l’avion, lihélicoptère, le sous- marin et même jusqu’à l’automobile. Très peu de ses projets sont réalisés ou même seulement réalisables de son vivant mais certaines de ses plus petites inventions comme une machine pour mesurer la limite élastique d’un câble entrent dans le monde e la manufacture[]. En tant que scientifique, Léonard de Vinci a beaucoup fait progresser la connaissance dans les domaines de l’anatomie, du génie CIVil, de l’optique et de l’hydrodynamique.

III. L’analyse thématique Ce tableau est peut-être l’œuvre la plus célèbre, la plus connue dans le monde. Léonard aime beaucoup ce tableau et l’emmène dans ses nombreux déplacements. Léonard de Vinci peint Mona Lisa (mona est la contraction de madonna, « madame »), dame florentine, épouse de Fra iocondo. portrait d’une expression. Le peintre fait le portrait d’une femme au visage souriant et très égagé, poussant jusqu’à la perfection les enseignements du portrait de la Renaissance : disposition de trois quarts sur un fond de paysage, mains réunies au premier plan.

A cette époque, la mode voulait que les femmes s’épilent les cheveux très hauts sur le front pour mieux voir leur visage. La Joconde nous montre un sourire, dans l’histoire de la peinture, il est un des premiers. Le regard nous fixe et nous fait nous interroger. Qu’est-ce qu’elle regarde? Est-ce nous ou au delà de nous? Sa robe est étonnamment sobre par rapport aux costumes peints ? la même époque IV. Croquis de l’œuvre réalisé par moi-même