Dans le grand désert Chapitre 1 : Peter (8 ans) et Mary (13 ans) sont dans le désert australien. Peter a peur mais est rassuré par sa soeur. Il a faim et la fillette lui donne la moitié leur dernier baton de sucre d’orge. La jambe de Peter se remet à saigner. Sa soeur lui refait son pansement. Dans ce désert, ils ne voient rien et n’entendent rien à part le chant d’un ruisseau car il est trop tôt pour que la vie s’éveille dans le bush (une heure après le coucher du soleil). Les enfants vivaient Sni* to à Charleston, en Car sur lui, comme elle le 6 mère. La fille rêve qu euç•w ‘échapper avec son qu’ils dorment dans I d’eux.
Chapitre 2 : Descriptions : page 8 Oiseaux : page 9 oeur doit veiller ore plus, être une -fe t qu’il réussissent ? u ensuite. Pendant rodent » autour La fillette fut réveillée par le cri d’un oiseau, le kookaburra. La fillette regarda son frère endormi et se dit qu’il ne dépendait plus que d’elle maintenant. Leur premier problème était la nourriture. Mary savait qu’ils mourraient s’ils ne mangeaient pas. Pour boire, ils pourraient puiser de l’eau dans la rivière, mais manger ? Mary se baigna dans la crique pendant que son frère dormait encore. Elle en oublia la faim.
Peter se réveilla et la rejoinit. Mais très vite, les deux sortirent de l’eau. Peter demanda à manger et sa soeur indiqua le baton de sucre d’orge qu’elle avait mis dans sa poche plus tôt. Peter ne semblait pas inquiet. Mary se dit que quoi qu’il arrive, il ne devait jamais se rendre compte combien elle-même était inquiète ou douter des capacités de sa soeur à le protéger. Peter était comme Davy Crockett à la découverte d’une nouvelle frontière. Il explorait les environs. Ils furent ensuite « attaqués » par des fourmis sauteuses (sensation d’avoir des aiguilles de feu).
Peter dit qu’il n’aimait pas cet endroit. Peter demanda d’aller chez l’oncle Keith, à Adélaïde. En effet, au moment de l’accident, leur avion faisait route vers Adélaide. Mary lui dit que oui, ils allaient partir et marcher vers Adélaïde. Chapitre 3: Si les enfants étaient plus grands, ils auraient compris que leur seule chance de survie était de rester près de l’épave de l’avion et d’attendre du secours par les alrs. Mais eux se mlrent en route vers le Sud car c’était au Sud que se trouvait Adélaïde. La fillette arrivait à se repérer parce qu’elle savait que le soleil se lève à l’Est.
Au départ, la marche est facile, mais très vite, les enfants sont confrontés aux difficultés de la nature. Les ronces et les arbustes ralentissent leur marche. Mary fait tout pour dégager le passage à son frère, elle n’a pas peur de se faire mal. Après deux heures de marche, Peter est à bout et les enfants font une pause. A nouveau, Peter a faim. Mary n’ose pas lui dire qu’elle a cherché des baies mais n a rien trouvé. Ils se mettent donc à chercher ? manger. Cher 16 dire qu’elle a cherché des baies mais n’a rien trouvé. Ils se mettent donc à chercher à manger.
Chercher, pour Peter, est un eu amusant qui fait partie de la Grande Aventure. Ils cherchent des polssons, des oiseaux, des animaux. des reptiles mais ne trouvent rien (les reptiles, par exemple, fuient en les voyant). Peter se lasse très vite du jeu. Au loin ils voient des collines et s’y rendent pour les escalader. Ils pensent qu’on voit peut-être la mer de la-haut. Peter croit voir la mer mais en fait ce ne sont que des mares d’argent, les salines du grand désert australien. Mary le sait mais ne dit rien a son frère et lui laisse croire que demain ils rejoindraient la mer et ne seraient plus affamés.
Chapitre 4 : Le lendemain, Mary semble calme. Elle semble calme pour ne pas pleurer. Elle avait toujours protégé Peter, comme une mère poule. Elle ne pourrait pas lui dire qu’il n’y avait pas de mer, il fallait trouver autre chose. Au réveil de Peter, ils se mettent en quête de nourriture. Mary dit qu’il vaut mieux partir vers la mer avec des provisions. Ils finissent par trouver des baies (qui heureusement, ne sont pas empoisonnées = quondong). Les enfants font des réserves et pendant ce temps, Peter se sent épié. Cest alors qu’ils découvrent tout près d’eux un garçon noir, complètement nu.
Chapitre 5 : Au départ, Mary veut s’enfuir, mais elle réalise rapidement que le garçon est jeune, ne porte pas d’arme et semble aussi étonné qu’eux. Mary trouve choquant que l’enfant soit nu. Mary ne voulait pas bouge semble aussi étonné qu’eux. Mary trouve choquant que l’enfant soit nu. Mary ne voulait pas bouger la première, ce serait, d’après elle, un signe de faiblesse. Elle voulait regarder le garçon dans les yeux jusqu’à ce qu’il ait honte de sa nudité et se sauve. Peter prenait modèle sur sa soeur et ne bougeait pas. Le sauvage ne bougeait pas non plus, il n’était pas pressé.
Il avait vu qu’ils n’étaient pas armés, ce qui indiquait leur innocence. C’était les premiers Blancs qu’un homme de sa tribu eût jamais vus. Il les examinait. Peter brisa l’attente en éternuant. Mary voyait rouge car son frère l’avait privée d’un triomphe (celui de gagner la bataille du regard). Le sauvage se mit à éclater de rire à cause de l’éternuement (le peuple a le sens aigu du ridicule –> trait caractéristique). Peter se mit à rire avec lui. Mary voulut se joindre à eux mais réussit à se retenir. Mary dit à son frère que « ça suffit Ensuite, le sauvage leur parla. Il leur demanda, dans sa langue, d’ou ils venaient.
Peter explique dans sa langue qu’ils sont perdus et qu’ils veulent aller à Adélaide. Le sauvage frictionna le visage de Peter mais à son grand étonnement, sa blancheur ne disparut pas. Peter était fier qu’on l’examine ainsi. Le sauvage inspecta les vêtements des enfants. Mary était terrifiée à l’idée d’être tripotée par un nègre complètement nu, elle était sans défense. Mais elle ne bougea pas parce qu’elle avait au fond d’elle l’intuition qu’il n’y avait rien à craindre. Finalement, lorsque le sauvage eut fini son 6 auvage eut fini son inspection, il s’élo gna avec son kangourou, laissant les enfants seuls à nouveau.
Mary était à la fois soulagée de voir le sauvage parti mais en même temps elle regrettait de ne pas lui avoir demandé son aide. Elle avait peur que personne d’autre ne puisse les aider et elle avait l’intuition que si quelqu’un pouvait les aider, c’était le sauvage. Peter décida finalement qu’ils allaient lui courir après. NB : Peter surnomme le sauvage (aborigène) « Darkie » en référence à sa couleur (dark noir). Chapitre 6 : Darkie les attend. Il est surpris car il pensait que les enfants oulaient reprendre rapidement leur route.
Cependant, il n’avait pas peur car son instinct l’avertit que les enfants étaient aussi désemparés que des kangourous sans queue. Pour Mary, c’est une humiliation que son frère et elle soient obligés de courir après un sauvage nu. pour Peter, c’était plus simple. Ils avaient besoin d’aide et cette personne pourrait peut-être les aider. Darkie comprit qu’ils avaient soif grâce aux gestes de Peter. Il comprit aussi qu’ils avaient envie de manger. Darkie les invite ? les suivre et ils parcourent le désert durant des heures. Mary et Peter sont épuisés. Darkie leur fit comprendre que s’ils restaient là, c’était la mort assurée.
Et que si, au contraire, ils le suivaient, il les mènerait jusqu’à un point d’eau. Ils arrivèrent finalement près de roseaux ou les racines étaient humides. Végétation p. 24 PAGF s 6 arrivèrent finalement près de roseaux ou les racines étaient humides. Ils découvrirent finalement un point d’eau. Plus on plonge les mains bas, plus l’eau est fraiche (car à la surface, elle a été chauffée par le soleil toute la journée). Darkie se dit que les enfants seraient incapables de suvivre seuls. Il n’y avait aucun épris dans son regard ; les gens de son peuple acceptaient les individus tels qu’ils étaient.
Darkie choisit un endrolt pour allumer un feu. Il faisait nuit. Peter l’aida (il recopiait les gestes de Darkie) tandis que Mary observait au loin, jalouse. une fois le feu fait, Darkie alla chercher le kangourou, le suspendit par la queue au-dessus des flammes, le dépeça et le mit sur les braises. Il recouvrit la carcasse de l’animal de pierres chaudes à l’aide d’un baton. Une heure après, ils purent déguster. Les enfants s’endormirent ensuite. Chapitre 7 : La fillette se réveilla et pensa que l’enfant sauvage leur avait auvé la vie et tant qu’ils resteraient avec lui, ils n’avaient rien ? craindre de ce côté-là.
Mais cela ne changeait rien au fait qu’ils étaient perdus. Et Mary se demandait pourquoi le sauvage errait dans le désert, loin de sa famille, de sa tribu. Alors qu’ils se baignent, Darkie et Peter trouvent une sorte de noix de coco (igname). Peter apprenait vite en reproduisant les gestes de Darkie. Peter se mit même à enlever ses vêtements, comme Darkie, il disait qu’il n’en avait pas besoin car il faisalt chaud, cela ne plut pas du tout à sa soeur qui lui or 6 6