Ces cercles très fermés sont prêts à tout pour renforcer leur compétition ne se dé groupes extrêmes, il son passé qui le rattr SKIP next page suprématie. La des, et entre ces ce à sa conscience et sir ses règles du jeu. Le sport est le reflet de notre société actuelle. Reflétant la situation sociale d’une ville, d’une région ou encore d’un pays il traduit la conjoncture politique et l’état de la situation diplomatique. Dès la fin du 21ème siècle certains individus ou états utilisent le sport pour confronter ou développer leurs propres conceptions idéologique.
Très important au sein de notre société le sport se modèle en fonction du pays, d’un état ou par rapport aux Individus. Le sport occupe aujourd’hui de plus en plus de place dans les médias ; le football, jeu populaire et accessible to next page accessible à tous, y est d’ailleurs très présent. Les textes qui sont proposés – qui s’inscrivent dans le thème du « sport, miroir de notre société » a)définition: Le hooliganisme se rapporte aux comportements d’agression physique et de vandalisme produits par les spectateurs lors d’une manifestation sportive et plus particulièrement dans le football. s hooligans font partis de manière plus générale d’un type de supporter dont l’attachement au club, a dévié vers un soutien violent qui est devenu l’objet de leur venue au stade. Dans une quête de la visibilité sociale ou pour l’amour du risque, davantage que par passion pour le football, ils se regroupent de manière informelle, dans des bandes et non pas dans des associations, afin d’organiser des « fights » avec d’autres supporters. Le stade étant un territoire où le contrôle est relativement aisé, ils ont tendance à exercer leurs violences sur d’autres terrains (gares, parkings… b)origine: Selon certains chercheurs, le mot hooligan serait mentionné dans des rapports de la police londonienne pendant l’été 1898 et repris dans les colonnes du journal Daily News en référence à un ivrogne irlandais notoire, Patrick Hooligan, demeurant à Londres et régulièrement impliqué dans des bagarres. Une famille du XIXe siècle portant ce nom aurait aussi été connue pour avoir un mode de vie sauvage et violent. par extension, un « hooligan » serait une personne se comportant de la même manière. )histoire et dates: Déjà dans la Rome antique 2 es de gladiateur pouvaient Déjà dans la Rome antique, les spectacles de gladiateur pouvaient provoquer de terrible violence dans le public comme en témoigne un texte de Tacite relatant des évenements dans l’amphitheatre de Pompei qui ont vu interdire ces divertissements pendant plus de IO ans : « Ils se lancèrent des injures, puis des pierres, enfin des armes, et la victoire resta à la plèbe de Pompei, où se donnait le spectacle.
Ainsi transporta-t-on dans la ville beaucoup de Nucériens, le corps mutilé à la suite des coups reçus, et un grand nombre pleurait la mort d’un fils ou d’un père. A partir de 1960, il y a eu une croissance très importante de l’hooliganisme parmi les supporters anglais. Cette tendance s’est répandue dans toute l’Europe, spécialement en Italie, aux Pays- Bas et en Allemagne. L’ exemple le plus connu du hooliganisme est la ‘drame du Heysel’. e 29 mai 1985 A cette date, dans le Stade du Heysel à Bruxelles, se déroule la finale de la Coupe d’Europe des Clubs Champions opposant l’équipe anglaise du F. C Liverpool à l’équipe italienne de la Juventus de Turin. Ces deux clubs rassemblent énormément de supporters. Vers 19h00, peu avant le match, des « supporters » anglais ommencent à lancer des projectiles sur les Italiens qui sont placés juste à côté d’eux. Les deux camps sont uniquement séparés par un grillage de trois mètres de hauteur.
Tout à coup, sous la pression des anglais, la grille cède et tombe sur les Italiens. C’est l’horreur. Des supporters de la Juventus sont écrasés, d’autres sont piétinés par les Anglais qui affluent en masse. Peu de temps a 3 Juventus sont écrasés, d’autres sont piétinés par les Anglais qui affluent en masse. peu de temps après, un mur de briques s’effondre et des personnes tombent du haut des gradins. Pendant ce temps, les forces de l’ordre, à peine 400 policiers et gendarmes, situés à l’extérieur du stade ne se rendent pas compte des faits qui sont en train de se dérouler.
Un renforcement des effectifs portera le nombre de gendarmes 2. 300 mais il est bien trop tard, le drame est joué. Le bilan est catastrophique : 39 morts et environ 670 blessés. I s’agit probablement de l’événement le plus horrible et le plus marquant de toute l’histoire du football, d’autant qu’il a été suivi en direct à la télévision par des millions de spectateurs. Cependant de nombreux accidents sont parvenus ans des pays européens (Rome, Paris) mais qui n’ont pas pris de tournure médiatique aussi forte que le drame du Heysel. )Les visages du supportérisme Il faut distinguer les hooligans des ultras, en sachant que le hooligans et un individu utilisant la violence dans le sport pour defendre son equipe, contrairement aux ultras dont le rôle est d’encourager. Le hooligans est avant tout un amateur de violence ayant le sport pour pretexte et profitant de son groupe de hooligans pour revandlquer une idéologie particulière, même SI le hooligan est souvent un individu bien intégré dans la société, yant un emploie et parfois même prestigieux.
Les études réalisées sur les supporters de football démontrent qu’ils représentent assez bien la composition sociologique des villes de l’équipe qu’ils sou 4 démontrent qu’ils représentent assez bien la composition sociologique des villes de l’équipe qu’ils soutiennent. Il s’agit bien d’une spécificité du football, qui est le spectacle culturel ou sportif, qui draine le plus fort pourcentage d’individus issus des milieux populaires, lesquels impriment forcément leur marque l’atmosphère qui règne dans les gradins.
Christian Bromberger ainsi montré que la composition du stade vélodrome était le calque parfait de la structure de la cité marseillaise Les deux critères discriminants de la présence à un stade de football, sont le sexe (les femmes représentent 10 % des spectateurs) et l’âge : à Marseille, 83 % des spectateurs ont moins de 39 ans. Dans les années 1970, on a en fait assisté à une juvénilisation du football qui explique à bien des égards les changements d’ambiance dans le stade et l’essor du supportérisme radical.
Ces jeunes sont en effet traditionnellement regroupés au sein du même kop, et ont un omportement à la fois organisé et très démonstratif. Cette sociologie a ainsi contribué à donner aux manifestations de supporters les formes qu’elles prennent aujourd’hui. b) Les caractéristiques de la ferveur « supporter » Les supporters n’ont pas tous le même comportement. Les sociologues opposent traditionnellement deux modèles historiques de « supportérisme b, britannique et italien.
Le premier repose sur la ferveur des chants et la spontanéité de l’ambiance, liée à la faible intégration des supporters dans des associations. Le second se caractérise par son organisation : des roupes de support S associations. Le second se caractérise par son organisation : des groupes de supporters sont structurés avec des meneurs pour lancer l’ambiance, les animations réalisées ont une grande importance. b)la rivalité elle est un des motifs du hooliganisme: En sport, il existe toujours des rivalités. Elles diffèrent selon qu’il s’agit d’un club ou d’un pays. 1) Entre les clubs.
Généralement, un supporter se regroupe derrière un club. La rivalité entre les clubs est sportive mais il peut s’agir d’une toute autre rivalité. Ainsi, en Espagne, le F. C Barcelone symbolise le catalanisme et onc le souci d’indépendance alors que le prestigieux Real de Madrid représente le centralisme et l’unité d’Espagne. En Ecosse, le match entre les Glasgow Rangers et les Celtics de Glasgow oppose respectivement les Protestants et les Catholiques. Ces deux exemples soulignent les facteurs politiques et religieux qui peuvent prévaloir en matière de « supportérisme ».
Nous pouvons en retrouver d’autres comme la situation sociale par exemple. En Italie, les Turinois de vieille souche sont pour Torino alors que les nouveaux venus se rapprochent plus de la Juventus. En Belgique, nous pouvons prendre le cas de la VIIIe de Liège où le FC Liège tait le club de la bourgeoisie alors que le Standard était celui de la classe ouvrière. Au-delà du sport, le football est dans certains cas un reflet de notre société. 2) Entre pays rivalités entre pays annihilent tous les clivages politiques, religieux et de rivalités entre clubs.
De fait, tous les supporters se regroupent solidairement derrière leur pays. Certains supporters comme les Anglais et les Allemands ont une très forte tendance nationaliste. Il est à souligner que contrairement aux autres pays, les Belges sont les supporters qui se regroupent le moins derrière la bannière de leur pays. Lors des matchs des Diables Rouges, des rivalités entre supporters des clubs belges sont perceptibles et des bagarres ont déjà eu lieu entre hooligans de clubs belges lors des rencontres internationales de la Belgique.
Ainsi, après le match Belgique – Hollande à la Coupe du Monde 98 en France, les noyaux durs du Standard et d’Anderlecht se sont affrontés dans la ville Lumière. le role du stade Bien qu’il soit le lieu de rassemblement d’une communauté entière, le stade est l’endroit où le hooliganisme se développe et il est le témoin de tous les faits. Il est important de souligner u’actuellement, le stade n’est pas l’endroit exclusif où l’on trouve de la violence.
En effet, celle-ci tend à se déplacer vers d’autres lieux comme les trajets, les gares, les centres commerciaux ou les aires d’autoroutes. d) Anonymat de l’individu. Selon certaines études, la violence dans les stades est due à un manque d’identité de l’individu qui cherche donc à se révéler. Dans notre société, de nombreux jeunes se sentent délaissés et ils se considèrent comme des êtres anonymes. En venant au stade, ils ont le sentiment de représenter quelque c des êtres anonymes. En venant au stade, ils ont le sentiment de eprésenter quelque chose.
Voici l’extrait d’un discours du leader des Fighters, un club Ultra de la Juventus de Turin « Ici, au stade, Je SUIS reconnu pour ce que j’ai fait, alors que dans mon travail, je ne suis reconnu pour rien » e président des Fire Birds, un groupe de jeunes supporters du Paris Saint-Germain, quant à lui, dit : « Pour certains, le Parc des Princes (le stade du club) est un endroit idéal pour acquérir, ne serait-ce que le temps d’un match, une certaine envergure. Loin de leur boulot, de leur famille, de leur anonymat, ils ont la possibilité d’être reconnus, d’avoir un rôle au sein d’une communauté.
En dehors du stade, ils ne sont rien ou pas grand chose ». c) Effet de foule. ‘effet de foule est un facteur qui explique sûrement la violence dans les gradins. Les supporters sont regroupés dans des espaces réduits et forment des blocs compacts. Ainsi, le fait d’être en groupe permet la réalisation de choses impensables si elles devaient être accomplies par des individus isolés. La foule donne à la personne un sentiment de force et de sécurité. Comme le dit Françoise TIJLKENS, présidente du département de criminologie et de droit pénal à l’UCL . « La foule plonge l’individu dans un état second.
La situation de compétition est aussi déterminante. Elle favorise la cohésion, la solidarité du groupe et renforce les sentiments d’identité et d’appartenance. Le fait de se retrouver dans un groupe entraine un sentiment de puissance, le sentiment de ne pas pouvoir être puni 8 retrouver dans un groupe entraine un sentiment de puissance, le sentiment de ne pas pouvoir être punis par la loi le sentiment de devoir prouver aux autres,prouver que l’on pense comme eux,que l’on agit comme eux et qu’on ne se degonfle pas h) Médiatisation. La presse et les médias sont omniprésents dans le football et ans le sport en général.
Actuellement, la presse recherche généralement le sensationnel pour avoir le plus d’audience possible. Ainsi, les accidents dus au hooliganisme sont relatés dans les journaux et à la TV. Il faut savoir que les Ultras par exemple, conservent les articles de journaux qui leur sont consacrés et ils en sont fiers. Indirectement, une publicité est réalisée pour eux et ils apprécient car les hooligans sont démonstratifs et recherchent l’attraction des regards. i) Alcool Ces deux facteurs peuvent influencer très fortement la violence dans les stades.