Plan Détaillé : L’école favorise t-elle la mobilité sociale?

L’école devient donc un moyen pour réussir. La création du Bac et autres diplôme permet une insertion dans le monde du travail et plus on a de diplôme plus on a des chances de réussir. La réussite est donc accessible pour tous. 2) Une forte hausse de la scolarisation Les lois et la perspective de réussite liée à récole font donc augmenter considérablement la scolarisation. L’obtention du baccalauréat est en perpétuelle hausse et la réussite grâce l’obtention de diplôme permet de réduire les inégalités entre les catégories socio professionnelles ce qui engendre une hausse d e la mobilité sociale grâce aux études.

Le document 4 permet de voir qu’il y a de plus en plus de mobilité et particulièrement de moins en moins de reproduction sociale, c’est-à-dire que le fils travail dans la même CSP que son père car en France sur 100 fils d’agriculteurs en 1977, 36 sont devenus agriculteurs alors qu’en 2003, 22 seulement ont poursuivit la voie de leur père selon l’Insee. On remarque aussi qu’il y a une augmentation de l’ascension sociale car en France sur 100 fils d’ouvriers en 1977, 8 sont devenus cadres alors qu’en 2003, 9 sont devenus cadres selon l’Insee.

B) La mobilité sociale demande des diplômes 1) Le besoin d’une main d’œuvre qualifié Le nombre de diplômé à explosé depuis plus de 30ans et c’est donc maintenant les sans diplômes qui ont des difficultés pour trouver un emploie. Les différentes mutations de la société ont créées une mobilité, par exemple la mécanisation de l’ag iculture a entrainé une baisse importante du nombre d’agriculteur, d’après le document 4, de 1977 à 2003 le nombre d’agriculteur a baissé de 63%. Ensuite la tertiairisation exerce une augmentation de poste à qualification élevé donc de 1977 à 2003 le nombre e cadre augmente de 52%.

De plus les innovations, comme les nouvelles méthodes de travail, demandent un apprentissage. Centreprise investit donc maintenant sur une main d’œuvre qualifié pour faire fonctionner ses instruments technolog 2 investit donc maintenant sur une main d’œuvre qualifié pour faire fonctionner ses instruments technologiques. 2) Une mobilité limité Malgré la moyennisation qui a accéléré la mobilité sociale, la mobilité est fortement horizontale c’est-à-dire qu’un individu quitte une catégorie socio professionnelle pour aller dans une utre équivalente (ouvrier-employé).

En France sur 100 fils d’ouvrier en 1977, 9 sont devenus employé alors qu’ne 2003, 12 le sont devenu, selon Plnsee. En contrepartie il y a encore beaucoup de fils qui effectuent le même métier que leur père malgré une baisse générale. L’école n’est donc pas forcément un facteur de mobilité. La forte hausse de la scolarisation dû aux lois a permit une forte mobilité sociale. C’est la mobilité structurelle qui a le plus progressé grâce aussi aux avancés technologiques. Mais le rôle de l’école reste encore limité dans la mobilité sociale.

Il) le rôle de l’école reste encore limité dans la mobilité sociale. A) Les inégalités liés à l’origine sociale 1) Tout le monde n’a pas le même comportement vis-à-vis de l’école Chaque ménage n’a pas la même vision de l’école, les milieux populaires ont plus tendance à peu investir dans les études pour leurs enfants car elles privilégient des études courtes pour une entrée dans la vie active plus rapide. De plus les milieux populaires ont plus tendances que les catégories supér 3 plus rapide.