Questions sur Durkheim

Ce dernier serait révéler comment un élément particulier à l’étude avait cer Sv. ‘ipe to certaines conséquences pour le fonctionnement de l’ensemble du système ou de ses composants. Le premier élément permet à l’analyste de montrer pourquoi ce point particulier, plutôt que d’autres, était historiquement disponible pour servir un fonction particulière. Enquêteurs sociaux doit combiner la recherche des causes efficientes et la détermination des fonctions d’un phénomène. Non seulement ces deux ordres de problèmes oivent être disjoints, mais il convient, en général, de traiter le premier avant le second. » (Page 214, ligne 30-32) « Cette méthode est d’autant plus logique que la première question, une fois résolue, aidera souvent à résoudre la seconde. » (Page 215, ligne 3-5) 2) En quoi la vie sociale découle-t-elle de la nature humaine selon Comte et Spencer? Que Durkheim leur oppose-t-il? 3) En quoi la notion de contrainte sociale diffère chez Hobbes et Durkheim? Réponse regroupées pour les deux questions) Durkheim a distingué sa propre conception de la vie collective ar contraste avec ceux de Hobbes et Spencer. Hobbes perçue l’individu comme «réel» et la société comme artificielle. « Seulement, parce que rindividu est regardé comme la seule et unique réalité du règne humain, cette organisation, qui a pour objet de le gêner et de le contenir, ne peut être conçue que comme artificielle. » (Page 245, ligne 21-25). Che 2 et de le contenir, ne peut être conçue que comme artificielle. » (Page 245, ligne 21-25).

Chez Spencer, en revanche, la société est considérée comme naturelle, car il a manifesté ertaines traits de la nature humaine individuel, et donc son imposition par force constituait une condition atypique. « Pour eux [Spencer et Comte], la vie sociale est essentiellement spontanée et la société une chose naturelle. » (Page 246, ligne 15-17). La théorie de Durkheim contient des éléments des deux, mais dans l’ensemble ses points de vue étalent divergents. « Ni l’une ni fautre de ces doctrines n’est la notre. » (Page 247, ligne 8).

Toutefois, il a convenu avec Hobbes que la contrainte est une attribut essentielle des faits sociaux, et il était en accord vec Spencer que la société est une partie de la nature. Mais puisque la contrainte de la société est la résultat de sa supériorité naturelle, il n’est pas nécessaire de recourir à le « contrat social » de Hobbes pour expliquer le conformité de l’individu; contrairement, parce que cette suprématie naturelle ne découle pas de l’individu de Spencer, mais d’un réalité sociale « sui generis » (Page 248, ligne 12-13), la contrainte qu’il déploie n’est pas seulement physique, mais aussi intellectuel et morale.