intérêt et quelles son vérités touchant au d al géométriques ? Pour Thomas thomas hobbes explication de texte liévathan Premium By valauualav RHaapR 25, 2015 6 pages Thomas Hobbes est un philosophe anglais du 17e siècle, dans ce texte, extrait de son œuvre majeur le Léviathan parut en 1651, il aborde le thème des vérités sur lesquelles les hommes sont en perpétuel désaccord et celles qui ne sont jamais remises en questions.
Ces vérités même qui influencent les agissements des Hommes. Ainsi il défend la thèse selon laquelle toute action humaine n’est exécuté que dans le but de servir un intérêt articulier celui de la domination d’autrui. Mais quelles sont les vérités qui peuvent permettre aux Hommes de servir cet p g ent pas ? Les injuste ?
Les vérités s Hommes à ne pas suivre les règles posées par la Constitution c’est l’ignorance, c’est-à-dire le décalage entre la réalité et la perception de cette réalité, quant aux raisons à l’origine de la « Constitution originaire du droit, de l’équité, de la loi » ainsi que de la « justice », qui se voulaient être celles qui mettraient fin au désordre et à la entretuerie propagée des hommes dans ce qui caractérisait l’état e nature, en protégeant rensemble des règles qui régissent les rapports des membres de la socié Swile to Wew next page société, l’égalité entre les citoyens grâce à des prescriptions qui les définiraient et un principe moral qui s’occuperait de les faire respecter.
De cette façon les hommes ignorant ces règles se créent des règles qui leurs sont propres et vont guider leurs actions en fonction de la coutume, soit une manière d’agir établie par l’usage chez un peuple, dans un groupe social… Ce qu’on pourrait rattacher à des traditions. Ou d’après l’exemple autrement dit en onction de personnes ou d’actes considérés comme des modèles qui vont servir de référence à leur conduite. De ce fait ils vont se baser sur ce qui est réprimandé par la coutume et sur ce qui n’est pas réprimandé et est même consenti par l’exemple pour se forger leur propre position sur ce qui peut être envisagé comme juste, sous entendu qui apparaît fondé et légitime, ou a l’inverse injuste. omas Hobbes assimile alors le comportement des Hommes à celui des moins âgés d’entre eux, les enfants, qui se réfèrent pour juger de leurs bonnes ou mauvaises conduites t créer leur règle aux punitions qui leurs sont soumises par ceux ayant de l’autorité sur eux, à savoir leurs parents et maître lorsque leurs ainées même s’en réfère par ce qui est punie par l’exemple et la coutume. Il observe donc que les hommes sont assez enfantins car ils ne se demandent pas si leurs actions sont véritabl 2 les hommes sont assez enfantins car ils ne se demandent pas si leurs actions sont véritablement fondés et légitimes et se contentent de ce que la coutume et l’exemple autorisent. Néanmoins, il souligne une différence de taille entre les ommes à l’âge adulte et les enfants, à la différence des plus jeunes qui suivent leur règle et de ce fait ne les transgressent pas, les actes des hommes sont souvent en contradiction avec ce qu’ils ont préalablement observé comme juste car consenti par la coutume.
Effectivement Thomas Hobbes nous dit que les hommes, qui sont devenus des personnes qui persévèrent dans leurs actions sans vouloir rien entendre, vont dorénavant pour effectuer leurs actions se fier aux bonnes et mauvaises actions que leur dicte la coutume ou se fier à leur raison, cette faculté par aquelle l’homme peut et se conduire selon des principes qui lui sont propre, suivant celle qui leur permettra de mieux servir leur intérêt et n’ira pas contre ce dernier. Ainsi, pour Hobbes, la vérité, dans le domaine de la Justice, ce principe en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionné ou récompensées en fonction de leur mérite au regarde du droit, est très subjective et disputée par tous depuis toujours.
Car chaque individus possède sa propre conception de ce qui est juste ou injuste en somme chacun possèdent sa propre vérité 3 ossède sa propre conception de ce qui est juste ou injuste en somme chacun possèdent sa propre vérité et est prêt à la défendre puisque c’est avec celle-ci qui s’est forgé au regard de la coutume, de l’exemple et de la raison que l’homme va pouvoir entreprendre des actions pour servir son intérêt personnel sans jamais penser que celles-ci ne son injustes étant donné que c’est lui qui se crée sa véritable définition de ce qui est juste. Selon Thomas Hobbes les vérités touchant au domaine du juste ou de l’injuste sont donc propres à chaque individu et ui permettent d’assouvir un intérêt. Mais quel est-il ?
D’autres vérités permettent-elle de la satisfaire ? homas Hobbes nous fait part de son observation sur la vérité géométrique, cette vérité sur les sciences des figures qui contrairement à celle du juste et de l’injuste « n’intéresse » pas les hommes, entendu par la qu’elle ne leurs apportent aucun intérêt particulier. Pour thomas hobbes si cette vérité ne préoccupe pas les Hommes cela tient du fait qu’elle ne s’oppose ni à leur désir ardent de posséder ou de parvenir à faire quelque chose, ni aux vantage et bénéfice éventuels qu’ils pourraient tirer de quelque chose ni à leur penchant excesSfs pour les plaisirs charnels et la luxure.
Sur ce modèle, d’après lui, si la vérité de la propriété géométrique euclidienne, 4 Sur ce modèle, d’après lui, SI la vérité de la propriété géométrique euclidienne, qui consiste à expliquer et démontrer que les trois angles d’un triangle sont égaux à deux angles d’un carré, rentrait en contradiction avec les actions d’un homme dont le but est était de dominer l’autre c’est-à-dire lui imposer sa volonté, ou ouvait desservir ce qui était avantageux pour le dit dominateur soit son intérêt, celle-ci aurait sans aucun doute au moins remise en question par tout à chacun comme la vérité du juste et de l’injuste. pour Thomas Hobbes la recherche de cet intérêt qu’on les hommes à vouloir dominer quelqu’un pourrait même les conduire, si cela leur était réalisable, à supprimer toutes les vérités qui leur permettraient d’assouvir leur soif de domination si elles n’existaient pas. Ainsi la vérité quant aux trois angles du triangle pourrait être détruite en brulant tous les livres la ontenant de telle sorte qu’elle ne pourrait plus nuire a celui voulant poursuivre son intérêt r car n’existant plus, et ne pouvant plus être connu par d’autres, elle ne serait ainsi plus un obstacle ? la domination d’autrui.
Ainsi une vérité n’est pas remise en question n’est pas débattue tant que celle-ci ne puisse apporter aucun intérêt, mais si c’était la seule manière pour parvenir à exercer sa domination son pouvoir sur quelqu’un S c’était la seule manière pour parvenir à exercer sa domination son pouvoir sur quelqu’un la moindre vérité sur les propriétés éométriques deviendrait source conflit pour les Hommes. Nous aurons bien compris la thèse de Thomas Hobbes selon laquelle les actes des hommes ne répondent qu’à la recherche de la domination de l’autre avant toute autre chose. Et que dans cette objectif ils n’hésiteront pas à imposer leur vision de la vérité afin de légitimé leur acte, et que toute vérité est susceptible d’être débattue si toute fois elle apporte Pintérêt recherché par les Hommes.
Et tout ceci serait lié pour lui à l’ignorance de la Constitution et des lois de société or pour Rousseau c’est ? ause de celles-ci que l’Homme agit ainsi car du temps de l’état de nature car d’après lui si nous le concevions par rapport ? l’homme social, nous devrions dire que l’homme naturel est bon. II n’est pas bon par morale, c’est-à-dire l’ensemble des règles ou préceptes relatifs à la conduite, ce qui impliquerait de réfléchir au bien et au mal et de choisir le bien. Il est bon sans avoir à réfléchir, sans calcul, spontanément. La morale implique la règle. Or, par définition, la règle est sociale. L’homme naturel est spontanément bon mais il ignore ce qu’est la morale.