Texte de seneque

Philosophie La sagesse est un idéal de vie qui permet de ne pas éprouver de compassion a l’égard des autres et ainsi accéder au bonheur.

Aussi le texte de Sénèque, philosophe de l’école stolcienne, dramaturge et homme d’Etat romain du Ier siècle de l’ère chrétienne, dans « De la Clémence » nous développe que la compassion peut avoir des effets négatifs, ceci nous amène à un paradoxe celui de savoir si nous devons éprouver de la vien « ext compassion en aidan quand et pourquoi l’ 0 sagesse agit sur la co aa_, Swip page critique sur la compa sagesse amène à un ous demanderons t et en quoi la ‘agit pas là d’une de savoir que la ans compassion. Nous analyserons ainsi le texte en suivant chacun de ses moments.

Nous verrons dans un premier temps comment la compassion peut avoir des effets négatifs et comment un sage ignore la compassion. Dans un second temps, nous examinerons comment le sage agit face aux malheurs sans compassion. Enfin, nous analyserons comment le sage porte secours sans compatir. Tout d’abord, Sénèque nous définit ce qu’est concrètement la compassion et comment elle intervient. C’est donc la vue des misères ou du chagrin des personnes qui nous entourent qui mènent à une impre impression appelée « la compassion du latin « compassio » qui signifie souffrir avec.

Mais alors devons-nous toujours nous préoccuper des personnes et éprouver de la compassion pour celles-ci ? Notre compassion peut-elle les rendre plus heureuses ? Nous pouvons dire qu’il convient d’être compatissant afin de ne pas apparaître comme indifférent aux yeux de la personne éprouvant du chagrin. Si nous n’éprouvons aucune compassion, les personnes peuvent croire que nous nous sentons supérieurs à elles, mais également qu’elles sont seules dans leurs malheurs. r exemple, une personne qui a perdu un être cher, devons- nous forcement pleurer avec elle ? En outre, c’est cela que Sénèque décrit dans l’intervention de la compassion, celle de partager le chagrin ou le malheur des autres. Cependant, le sage est une personne imperturbable, aucunes misères ne le rend chagriné. Sénèque, stoi’cien affirmé pense que la sagesse est la méthode pour acquérir le bonheur. Le sage est comme invincible face au malheur, son esprit est serein selon Sénèque ce qui signifie qu’il nia aucun chagrin en lui.

Le sage peut-il cependant rétendre être une personne sans chagrin ? Nous pouvons dire qu’une personne est obligée d’avoir du chagrin sinon elle ne vit pas car la VIe amène plusieurs chagrins et malheurs. Cependant selon Sénèque, la sagesse n’est rien de tout cela, elle ne connaît pas le malheur. L’esprit des sages est-elle apaisée et sans malheurs ? La philosophie des sages amènent-elle alors à une vie idéal sans malheurs quelconques ? Ne pas a 0 philosophie des sages amènent-elle alors à une vie idéal sans malheurs quelconques ?

Ne pas avoir de compassion peut cependant se révélé amener également des malheurs, comme ar exemple ne pas éprouver de compassion pour quelqu’un chagriné et ensuite le regretter pendant un temps indéfini. Nous pouvons être chagriné aussi de ne pas avoir partager nos malheurs et d’avoir compatit car nous nous devons d’exprimer nos sentiments. La compassion apporte-t-elle de la sérénité notre esprit comme à ceux des sages qui ne l’éprouvent pas ? Nous pouvons ainsi dire que les sages ignore la compassion, qul pour eux est une maladie, pour vivre bien et sans problèmes. Devons-nous devenir sage pour devenir heureux ?

L’exemple de la formule de sagesse « La modération est ce qu’il y a de mieux » eut expliquer ici l’opinion de Sénèque sur le choix de ne pas éprouver de compassion et de se contenir afin de rester serein. La modération et la maîtrise de soi est important pour le sage. S’empêcher de compatir est-ce une bonne chose pour acquerlr la sagesse ? Ne pas éprouver de compassion est-ce se voiler la face ? Est-ce un mensonge fait à soi-même ? Le sage n’est assombrit par aucuns malheurs de la vie, nous pouvons nous demander si il se ment à lui-même et si ce lui permet réellement de rendre sa vie sereine.

Cependant Sénèque opposent le sage à l’homme. Il dit que l’homme en lui-même est un être très entimental et que les sentiments ne peuvent pas être tristes car la tristesse détruit l’âme du corps des hommes. Nous pouvons dire ici que être tristes car la tristesse détruit l’âme du corps des hommes. Nous pouvons dire ici que la compassion amène aux sentiments et au chagrin et ensuite que cela agit sur nos âmes, celle des hommes. L’âme est la chose qui nous fait vivre, le corps en lui même n’est qu’un cadavre selon Platon par exemple.

Platon nous explique que l’essence de l’âme permet de se mouvoir soi-même. C’est donc bien ce que Sénèque développe ici, les sentiments des ommes prouve l’existence de cette âme. L’action de consoler une personne en éprouvant de la compassion contribue-t-il à la destruction de nos sentiments et de notre âme ? L’âme est elle en conflit permanent avec nos sentiments extérieurs ? Sénèque montre bien que l’homme en lui même accorde beaucoup d’importance aux sentiments qu’il éprouve, cependant un homme peut se contrôler et agir par la raison pour éviter les sentiments.

Comme par exemple s’empêcher de pleurer alors que nous sommes au plus bas, cela peut prouver également que l’homme n’est pas forcement en accord avec ses sentiments. Sénèque évoque la destruction de l’âme par la tristesse. Cependant nous pouvons dire que l’homme éprouve de la tristesse lorsqu’u corps menace sa cohérence. L’âme intervient-elle dans le chagrin ? L’âme permet-elle de contrôler notre compassion ? Par exemple, Platon dit qu’il existe deux composants de l’âme, la raison et le désir. La compassion peut-elle s’apparenter au désir ?

La raison permet-elle de contrôler cette compassion comme le font les sages selon Sénèque ? Cependant notre âme est toujour 4 0 contrôler cette compassion comme le font les sages selon Sénèque ? Cependant notre âme est toujours en conflit avec elle-même. Pouvons-dire que le chagrin est la seule cause de la destruction de l’âme ? Les hommes sont toujours compatissants contrairement aux sages qui n’éprouvent aucuns sentiments de compassion, ce qui permet de vivre sereinement et sans chagrin. es hommes sont donc opposés au sage dans ce texte, l’un compatit l’autre non.

Le sage cependant a une manière bien à lui de contrôler son ressentit face aux malheurs et également de contrôler sa compassion. Ainsi, Sénèque évoque dans son texte que le sage n’est sujet à aucune réception de quelconque misère, le age est comme un obstacle aux mauvaises choses de la vie, elles ne pénètrent pas en lui, c’est à dire dans son âme. Le sage n’exprimera donc aucunes expressions faciales évoquant le chagrin et la misère. Le sage est ici présenté comme un miroir incassable, qui est comme indifférent au malheurs de la vie, qui ne ressent aucuns sentiments de chagrin.

Comment la sagesse empêche-t-elle l’âme de contracter le malheur et le chagrin ? Nous pouvons dire qu’une personne peut, si elle le souhaite, vivre sereinement en s’empêchant de ressentir du chagrin, en se contenant notamment. Par exemple, si nous voulons être eureux dans la vie il nous faut empêcher les malheurs d’entrer dans notre âme, mais alors nous aurons ici affaire à un travail complexe sur notre propre corps. Est-ce que ce travail de l’âme rend heureux ? Nous pouvo travail complexe sur notre propre corps. Est-ce que ce travail de l’âme rend heureux ?

Nous pouvons émettre l’hypothèse que ce travail est une chose compliquée et dure à achever, c’est pour cela que le bonheur est un but et nous devons tout faire pour éviter les malheurs présents dans la vie quotidienne. Malgré tout, nous pouvons nous demander comment un sage fait pour evenir un obstacle au chagrin et aux malheurs. La vie est semée de difficultés et de malheurs c’est donc difficile d’y échapper. Le sage s’empêche-t-il de vivre normalement pour échapper au malheur ? Quelle vie un sage mène-t-il quotidiennement ?

Nous pouvons dire que la vie normale est constitué de bonheur mais aussi de malheur, nous ne pouvons peut-être pas échapper à ces malheurs même en les Ignorant et en essayant de convaincre son âme que nous sommes « invincible par exemple, Platon lui a une conception de l’âme qui possède un haut, la raison et un bas, le désir. La raison ici pourrait amener à la volonté d’être invincible et sans sentiments face aux malheurs. Ainsi, Sénèque décrit donc le sage comme ayant un idéal de vie sans malheurs ni chagrins.

Le sage cependant, dans ce texte, sera volontairement au secours de tout ceux qui en ont besoin et qui éprouvent du chagrin ou des malheurs, mais sans pour autant porter de la compassion pour chacun d’eux. Le sage, selon Sénèque, sauvera les naufragés, hébergera ceux qui n’ont pas d’habitation et aidera financièrement les pauvres sans pour autant, dans toutes ces situations ci-contre, avoir de la 6 0 inancièrement les pauvres sans pour autant, dans toutes ces situations ci-contre, avoir de la compassion.

Malgré cette absence de compassion, le sage fera preuve d’attention pour les aides qu’il propose et pour les personnes aidées contrairement à ceux qui n’éprouvent aucune compassion et qui aident par contrainte si l’on peut dire. Sénèque présente donc ici le sage comme étant beaucoup plus utile à ceux qui ont besoin d’aide que ceux qui aident en compatissant. La compassion est- elle une contrainte pour l’entraide ? Nous pouvons dire que la compassion selon Sénèque est hypocrite.

Les personnes compatissantes envers les personnes qui ont besoin d’aide n’ont pas réellement envie d’aider mais juste de se faire bien voir par la société. La compassion est-elle un devoir de bonne manière ? Nous pouvons dire par exemple que certaines personnes aident les personnes pauvres en compatissant mais en craignant tout autant de devenir comme elle, comme si cette personne pouvait être contagieuse et nous faire devenir ce qu’elle est. Qu’est- ce que la pauvreté ?

Cela pourrait être le manque de choses superflues, absolument inutiles, alors après tout pourquoi aider ? Nous pouvons évoquer que pour les sages il faut si peu de chose pour vivre. La personne compatissante a pour but d’aider la personne et non de changer la situation de la personne selon Sénèque. La sagesse est donc le meilleur moyen pour aider consciencieusement les personnes dans le besoin. L’aide est donc essentiel pour une personne dans le besoin ? Mais alors, pouv besoin. raide est donc essentiel pour une personne dans le besoin ?

Mais alors, pouvons-nous apporter de l’aide sans pour autant blesser la personne qui en a besoin ? Nous pouvons dire que la compassion peut se reveler être un mal pour certaine ersonne et par exemple une personne peut croire que nous sommes hypocrites et que nous ne disons pas la vérité dans nos paroles compatissantes. La parole pour aider amene-t-elle à une hypocrisie quelconque ? Les personnes compatissantes ont peut- être besoin d’une finalité à leur bonne action, elles ont sûrement besoin d’exprimer leur compassion pour se dire qu’elles ont aidé et bien.

Sénèque oppose donc toujours l’homme et le sage en soulignant que la compassion peut se reveler être une forme d’hypocrisie. Nous pouvons nous demander si Sénèque aidait lui aussi les personnes sans compassion et s’il se sentait plus eureux que les hommes qui compatissaient. L’anti-compassion du sage mene donc a une aide qui assure le bonheur. Le sage, selon Sénèque, a un destin particulier celui d’aider tout le monde qui en aurait besoin et d’apporter à chacun sa part de bonheur.

Le sage ne s’attardera point sur la raison des malheurs de la personne mais il se concentrera sur l’aide dont elle a besoin. Comment ne pas s’apitoyer sur le sort dune personne dans le besoin ? Sénèque répondrait qu’il faut seulement secourir cette personne et se rendre utile, donc ne pas se préoccuper de tout autres choses. Nous remarquons ici que Sénèque nous présente le sage comme étant B0 tout autres choses. Nous remarquons ici que Sénèque nous présente le sage comme étant destiné à aider et à apporter le bonheur aux personnes dans le besoin.

Le sage est-il né sage avec un destin précis ? Comment un homme devient sage ? Le sage se rend utile, donc par déduction Ihomme n’est pas utile aux personnes qui éprouvent du chagrin ou des malheurs. Savoir aider est-ce une chose innée ? Nous pouvons analyser qu’il y a un certain devoir d’entre-aide pour le sage, car il partagera son aide pour plusieurs personnes, il se présente ici comme un model é pour aider, mais alors nous pouvons emettre l’hypothèse que le sage se préoccupe pas assez de sa propre personne car son destin est celui d’aider les autres.

Le sage a-t-il besoin de reconnaissance pour l’aide qu’il apporte ? A priori non car Sénèque nous précise que le sage est né pour aider c’est donc une évidence pour lui comme par exemple l’action de manger pour un homme est normale, et bien pour le sage l’action d’aider et d’apporter du bonheur au misères d’autrui est évidente aussi. puis Sénèque ensuite nous dit que le sage est disponible pour toutes les causes de malheur et que des qu’il le pourra il aidera. Nous pouvons donc nous demander si le sage est réellement toujours disponible pour le malheur des autres.

Même sans compassion, avons-nous le temps d’aider les autres ? Nous pouvons supposer que les sages avaient d’autres activités dans leur vie et qu’ils ne consacraient pas forcement tout les moments de leur vie à aider les autres. Par exemple, les bénévoles consacraient pas forcement tout les moments de leur vie aider les autres. par exemple, les bénévoles d’associations pour les personnes pauvres ne consacrent pas toute leur vie à cette activité même si elles le font dans le but d’aider les autres.

Mais alors devons-nous toujours être là pour tout le monde ? Sénèque évoque ensuite la richesse intellectuel et psychique des sages dans leur aide. Cette qualité d’aide sans compassion doit être employé par les sages au lieu de ne pas servir et de rester une qualité non utilisée. Mais alors la sagesse est-elle un bon moyen de richesse de l’âme ? Nous supposons que la compassion et la sagesse sont opposée et que Sénèque nous fait part de sa position sur les qualités des sages pour aider les personnes dans le besoin.

Lhomme et le sage sont donc deux personnes sychiquement différentes, la compassion employée par l’homme est utilisée afin de ne pas paraître ignorant aux yeux d’une personne, tandis que le sage veut seulement aider sans pour autant compatir et attirer le malheur sur lui. Le texte de Sénèque nous invite à dire que l’aide est un besoin et que la compassion n’en est pas un. Il faut se concentrer sur le centre du problème avant d’en chercher les details. Mais alors une personne possedant plusieurs malheurs, est-elle sujet à plusieurs centre de problème ? Comment se centrer sur son problème quand une personne en a plusieurs ?