Lettre d’un poilu

Ma chère maman, De temps que je ne t’ai pas écrit mais ici dans les tranchées mes doigts sont tout engourdis pour le froid. Les conditions de vie pour les soldats tels que moi sont devenues insupportables : nous devons lutter contre la faim, le froid, le sommeil et la peur, peur de mourir à tout moment. L’intérieur des tranchées n’est que sale et boueuse et la nourriture se fait de plus en plus rare. Les rats ont également envahis nos tranchées. Ils sont énormes et Ily a peu, ils ont tué un chien et l’ont mangé.

Quand se terminera cette agonie !? Désormais ce que ça qui je me demande tous les jours. J’ai cessé de vivre, d’être humain, maintenant j stratèges. effet tous les Françai spé. temps, mais comme I s les mains de nos e cette guerre, et en s un court laps de aintenant dur Suipe to Wew next page dure depuis 2 ans. Le fait est que c’est le troisième Noël que je vais passer loin de vous et que plus de la moitié des hommes avec qui je suis parti sont déjà morts ; ils avaient tous des parents, des amis, une famille.

Tous les Jours , j’espère que quelqu’un vient de nous dire que la guerre est finie et nous pouvons rentrer à la maison. Désormais ça fait longtemps qui j’attends ce jours-là, mais je continue à espérer. Tout mon espoir dans cette lettre de rentrer sain et sauf. Philip J’espère que la famille va bien. Je vous ai vu que deux fois depuis que est commencé la guerre. J’espère que j’aurais bientôt une autre permission pour pouvoir vous rendre visite. Ces jours loin de vous deviennent de plus en plus insupportables.