Ensuite, l’ sa journee par une p pas définies, les élèv pc. u, En outre, les élèves p leçons, ils pouvaient d lasse et débutait es n’étalent qu’ils voulaient. iberté lors des l’eau au robinet sans demander la permission, ils ne devaient pas forcément s’assoir comme il se doit, ils se couchaient même parfois sur les tables. Toutefois, les élèves n’abusaient pas de cette liberté que l’enseignant leurs concédait ; c’était autre chose lorsque mon artenaire et moi enseignions et que le maitre n’était plus en classe. Je pense que favoriser l’autonomie chez les ShAipe to Wew next page les enfants est une bonne chose.
Cependant, ils doivent tout de même avoir certains règlements qu’ils doivent respecter. Par exemple, je ne voudrais pas que dans ma future classe les élèves se lèvent sans demander la permission ou encore qu’ils se couchent sur leur table lors d’une leçon. Concernant le matériel scolaire j’ai trouvé les moyens plus récents et plus motivants pour les enfants. Les livres/cahiers étaient lus colorés et mieux expliqués, les élèves pouvaient la plupart du temps travailler directement sur les moyens et ne devaient pas tout reporter dans un cahier au contraire des moyens de mathématiques francophone par exemple.
Cependant, le manuscrit utilisé pour les leçons de français était assez mal structuré et mal adapté, nous avons souvent dû adapter les activités car elles ne remplissaient pas assez bien les objectifs selon notre analyse. J’appréhendais tout de même ce stage car je pensais que la différence de langue allait peut-être créer une frontière avec les nseignants ou encore avec les élèves. Mes appréhensions ont disparues quand le maître de classe nous a présenté au corps enseignant.
En effet, nous avons été très bien accueillit, ils se sont tout de suite intéresser au fonctionnement de ce stage et nous ont posé énormément de question concernant la HEP et les moyens que nous utilisons, l’idée que nous les romands no 2 de question concernant la HEP et les moyens que nous utilisons, l’idée que nous les romands nous nous faisions des suisse- allemands et inversement, etc. La langue représentait une rontière seulement quand ils parlaient tous ensemble et que inconsciemment ils reparlaient en dialecte.
Concernant les élèves, les premiers jours n’ont pas été faciles. Ils parlaient souvent en dialecte et nous ne comprenions pas tout ce que les enfants disaient. Nous avons principalement fait des corrections car nous nous ne sentions pas encore prêt pour donner une leçon. Cependant, après avoir essayé nous avons pu constater que nous étions capable d’enseigner en allemand même si ce n’était pas toujours parfait, les élèves comprenaient out de même la théorie expliquée.
Nous avons eu roccaslon de donner plusieurs séquences de mathématique, français, allemand et culture général pendant laquelle nous avons dû leurs apprendre comment décollait une navette spatiale et comment elle atterrissait. La bonne entente avec les enfants est venue assez vite grâce aux journées à ski que nous avons passé pendant lesquelles nous avions un groupe différent à chaque fois. Cependant, la relation est tout de même différente car je n’arrivais pas à rentrer dans les discussions, jeux des enfants.