Avant d’ét avec l’actualité, il nou la vie de l’auteur et s qui fait l’objet de not 2 es et leur rapport gard rétrospectif sur ésumé de l’œuvre p g – L’AUTEUR ET SES ŒUVRES ) Biographie Chinua Achébé de son vrai nom Albert Chinualumg est né le 16 novembre 1930 à Ogibi à l’est du Nigéria Fils de Isaiah Okafo un ecclésiastique chrétien de Janet T. Achébé . II est le 5éme de sa famille .
Il obtint une bourse a l’âge de18 ans pour poursuivre ses études à l’université d’Ibadan de 1943 à 1953 au government collège il obtient son 2BAC2 1’équivalent de la maîtrise dans le système français à l’université de Londres en 1953. Achébé effectue quelque voyage en Afrique et au USA et y travail comme professeur d’anglais . ll commença à travailler à N. B. C. Nigérian Broadcasting Corporation ) enl 954 après avoir suivi une une collection intitulé « Africain »chez un éditeur anglais.
Il sera le rédacteur en chef du périodique « Obike » en 197211 fut adjoint d’un parti politique du Nord du Nigéria. Achébé fut professeur dans plusieurs prestigieuses universités Nigérianes, anglaises et américaines. Achébé fut récompensé plusieurs fois : The Nigeria National trophy for literature en 1 960 The commonwealth poetry prize en1972 etl 979 The Nigeria National merit award en 1979 The peace prize of the German trade le prix des bibliothécaires allemands
En 2004 Chinua Achébé refuse le titre de « commander of the federal republic » un titre honorable pour protester contre la politique de son pays. Il enseigne au Bard collège à new york city actuellement. Dans cette partie, il apparait clairement que Chimua Achebe fut lauréat de plusieurs Prix littéraires grâce à ses ouvres de qualité. Quelles sont donc les œuvres qu’il eu à écrire ? 2) Bibliographie Le 1er roman de Chinua Achebe « Things fall Apart » (le monde s’effondre) a été tiré à plus de 3. 050. 00 d’exemplaires depuis sa sortie et traduit à plus de 45 langues. No longer at Ease (le malaise) : The sacrifficial egg and others stories • Arrow of God • A man of people (le demagogue) : Chike and the river How the leopard got his clavvs Girl at war Christmas at Biafra and other poems • Morning yet on creation day -19601 -1964 -1966. -1971 -1972: -1973: -1973′ -1975. -1975 : The flute -1978. • The drum • Don’t lets him die -1978 20F 12 Don’t lets him die -1978: Okijbo • Aka weta an anthology of Ibo poetry -1982. • The trouble With Nigeria -1984. Anthills of savannah -198& -1988: Hopes and impediments -2000: Home and exil ll- RESUME ET STRUCTURE DE L’OEUVRE ) Résumé Le monde s’effondre est un témoignage sur le mode de vie des africains avant et pendant la colonisation de l’Afrique noir par les européens. Jadis, enraciné dans la culture, le Ibo connaîtra un bouleversement socio- culturel dés les premiers jours de l’arrivé des colons. En effet, ce peuple étant animiste, accordait une grande importance aux valeurs traditionnelles. Les traditions Ibo gardent leur importance lorsque survient un évènement malheureux ou joyeux.
Okonkwo, le personnage principal de cette œuvre est un farouche guerrier et un grand cultivateur qui projette e rehausser l’image de la famille ternie par un père assisté paresseux. Chinua Achebe brosse donc le portrait d’un homme rude, complexe, ambitieux qui veut s’accomplir et devenir une figure emblématique de son clan. C’est pourquoi il fut désigné par les responsables du clan pour l’enlèvement de Ikemefuna et de la vierge fille en compensation d’une femme assassinée dans le village voisin Mbaino.
Mais ce dernier fut contraint à rexil pour avoir tuer le fils âgé de Ezeulu lors de ses funérailles. Tandis qu’il lui restait quelques années pour prendre les plus hauts titres du clan. L’exil d’Okonkwo sera marqué par l’avènement de la colonisation à Umuofia. Après sept ans d’exil, Okonkwo regagna la terre paternelle et trouva que la société était divisée. Les partisan 30F 12 ans d’exil, Okonkwo regagna la terre paternelle et trouva que la société était divisée.
Les partisans de la nouvelle religion furent entrés en conflit avec les détenteurs de coutume, car Enoch ôta le masque à un Egwugwu lors d’une cérémonie. En réplique, les membres du clan détruisirent l’église. Ce qui conduisit Okonkwo et cinq autres autorités en prison. A la sortie de la prison, Okonkwo lança un appel à la révolte mais n’ayant pas le soutien, il décida de se suicider. 2) Structure de roeuvre L’œuvre est structuré en trois parties qui comportent 254 pages. La première partie comprend 139 pages soit 13 chapitres.
Elle décrit l’apogée de la société Ibo au Nigeria et dans laquelle évolue un grand guerrier du nom d’Okonkwo. La seconde partie regroupe six chapitres soit 39 pages évoque l’exil d’Okonkwo dans son village maternel pour avoir commis un meurtre, ainsi que l’arrivée des missionnaires blancs et la conversion de son fils aîné à la nouvelle religion (le christianisme). La dernière partie compte six chapitres et raconte le retour d’Okonkwo dans son village natal régi par de nouvelles lois investies par les étrangers (missionnaires), où règne un désordre indescriptible.
Indigné par les pratiques de la nouvelle ère, Okonkwo mis fin à sa vie. Dans le roman, de nombreux thèmes sont abordés mais nous étudierons les grands thèmes tout en faisant leur rapport avec l’actualité. Ill- LES THEMES ET LEUR RAPPORT AVEC L’ACTUALI E 1) La culture La culture est l’ense 4 2 aissances acquises pour culture est l’ensemble des connaissances acquises pour une personne ou une société. Dans cette œuvre, plusieurs types de culture se font sentir. L’activité principale des Ibos est l’agriculture.
Ils organisaient aussi des activités physiques telle que les championnats de lutte et les danses traditionnelles qui se faisaient sous le rythme tam-tam et des fûtes , ainsi les vainqueurs étaient récompensés par des titres d’honneur et de gloire . Ce qui explique la célébrité d’Okonkwo qui avait réussit terrasser Amalinze le chat resté invincible pendant sept ans. Les comtes également étaient reconnus dans la société Ibo comme une activité de divertissement et d’instruction. En plus cette société marquée par la polygamie donnait une place importante la dot.
En effet celui qui voulait se marier devrait s’attendre à une dot fixée par ses beaux parents : « de cette manière, le montant de la dote d’Akekue fut finalement fixé à vingt sacs de cauris. C’était le crépuscule quand les deux partis arrivèrent à cet accord. » Chapitre VIII page 90. De nos jours, cette culture prend de plus en plus une autre forme. Dans la société actuelle les jeunes préfèrent le football la lutte. Quant à la dot elle existe toujours dans d’autres groupes thniques en plus du mariage civil.
Egalement, les contes sont généralement écrits au lieu d’être oralement racontés. La culture Ibo a une grande ressemblance avec celle de nombreuses sociétés traditionnelles africaines. Que peut-on dire de leur tradition ? 2) La tradition La tradition des Ibo est une tradition purement africaine car ces dernier 2 La tradition des Ibo est une tradition purement africaine car ces derniers respectent leurs coutumes et règlements. Leur mode est très étrange car ils n’acceptent pas la naissance des jumeaux qu’ils considèrent comme une abomination.
Ces derniers sont jetés dans la forêt des esprits du mal qu’ils appelaient forêt maudite. Ils n’acceptaient pas les lépreux et les albinos, croyant qu’ils n’étaient pas des êtres humains. Ils n’étaient pas ainsi enterrés mais jetés. Leurs coutumes n’acceptaient pas non plus la querelle entre les membres de même clan. Cet acte leur apparaît comme une grande humiliation. Chez les bo quand quelqu’un tuait un homme même involontairement, il était exilé sept ans. C’est l’exemple d’Okonkwo à la deuxième partie de l’œuvre.
Et si cela se faisait de sang froid c’était la ondamnation à mort. Si ce crime est commis par un étranger le village de ce dernier donnait une vierge et un jeune garçon en compensation pour éviter la guerre entre les clans. Mais avec l’arrivée du blanc la vie traditionnelle des Ibo fut bouleversée par la civilisation blanche. Certains allèrent jusqu’à mépriser leur propre culture. La tradition Ibo se présente donc comme une tradition rigoureuse. Ses règles sont dures. Nul n’est au dessus de cette tradition.
Mais la colonisation a bouleversé cette pratique. 3) La colonisation La colonisation a eu un impact sur le peuple Ibo à travers a modification des structures traditionnelles de leur société. Okonkwo, banni de son village, revint quelques années plus tard et constate que tout avait changé, en effet les missionnaires sont 6 2 revint quelques années plus tard et constate que tout avait changé, en effet les missionnaires sont devenus les colonisateurs. Ils ont créé des structures administratives et dictaient leurs lois.
Okonkwo voulait mener la résistance mais ses confrères n’avaient pas le courage de le soutenir dans sa révolte contre le pouvoir colonial : « Il savait qu’Umuofia n’entreprendrait pas de guerre. Il le savait parce que les hommes avaient laissés les autres messagers s’échapper. Ils s’étaient laissé emporter par le tumulte au lieu d’agir. » Eu égard de tout cela, Okonkwo préféra la mort à la soumission. Pour la société Ibo, la colonisation apparaît comme une entrave au développement socio -culturel. Avec la colonisation, on assiste de nos jours à une disparition progressive des valeurs traditionnelles africaines. ) La religion La religion est un thème récurrent dans le roman. A l’instar de la quasi-totalité des peuples africains, à l’époque précoloniale, e peuple Ibo était polythéiste par conséquent il adorait plusieurs dieux. II important de noter que ce peuple croyait en l’existence d’un dieu suprême qu’il appelait Chukwu qui, selon eux, a créé la terre, les hommes, les esprits et les petits dieux qui sont ses messagers. Ces dieux étaient représentés par des pierres et des bois auxquels les Ibos faisaient les offrandes : « chaque année… vant de mettre la moindre semence dans la terre, je sacrifie un coq à Ani, le propriétaire de toute terre. C’est la loi de nos pères. Je tue également un coq à l’autel d’Ifejioku, le dieu des ignames. Ils étaient entre autre tue également un coq à l’autel d’Ifejioku, le dieu des ignames. Ils étaient entre autre Agbala déesse des grottes et des collines, Ani déesse de la terre et Amadiora dieu du tonnerre. Ceux qui voulaient consulter les dieux, devaient ramper sur le ventre pour entrer dans une caverne où ils se trouvaient.
Ils s’adressaient aux dieux par le biais des prêtres par exemple la déesse Agbala avait pour prétexte Chielo, chez les Ibo, la décision des dieux est irrévocable avec l’arrivée des colons, le christianisme a pris de l’ampleur dans nos sociétés africaines. De nos jours, la religion raditionnelle tend à disparaître au profit des religions dites révélées. Dans cette partie, le christianisme est venu et a mis le doute dans les cœurs de certains Ibo. Cette religion nie la crédibilité de l’animisme. Cependant, comment était organisée la société Ibo avant l’avènement de cette religion ? – L’organisation sociale Contrairement à certaines sociétés africaines, les Ibo n’avaient pas de roi. Dans cette société on parlait plutôt de titres hiérarchiques dont l’ardeur au travail, le courage et la bravoure étaient les critères. Ces titres étaient essentiellement onférés lors des guerres et des compétitions de lutte. Okonkwo en avait eu deux ; n’eu été son exil, il allait décrocher le troisième : « Il avait perdu des années au cours desquelles il aurait pu prendre les plus hauts titres du clan Chapitre XX page 207.
Chez les Ibo, les vieux occupent une place de choix. Ils sont les guides de la société. Ils veuillent au respect des règles et des coutumes B2 Ils sont les guides de la société. Ils veuillent au respect des règles et des coutumes sociales. Pendant la prise de décisions qui se faisait entre les hommes, le dernier mot leur revenait. Les enfants, après les travaux champêtres, s’adonnaient aux activités de divertissement telles les luttes les contes etc. Quant aux femmes, elles étaient destinées au foyer et elles étaient reléguées au second rang.
De nos jours avec l’avènement de la démocratie, nous assistons à la mise en place de nouvelles structures sociales bouleversant ainsi les structures anciennes marquées par les chefferies traditionnelles. Les Ibo, même s’ils n’avaient pas de roi, il faut noter que la société était bien organisée. Dans cette société, quel était donc le comportement des hommes ? – La solidarité La solidarité est la dépendance mutuelle, le sentiment qui pousse les hommes en dentraider. Elle est un élément important dans la société Ibo.
En effet, Unoka, le père d’Okonkwo qui était fainéant, ne parvenait pas à nourrir sa famille sans raide des autres membres du clan. Il était toujours couvert de dettes qu’il n’arrivait pas à rembourser. Malgré tout, il bénéficiait de l’assistance de ses confrères. Après sa mort, son fils était obligé de se battre pour s’auto suffire. Ainsi, avec l’aide de la société notamment celle de Nwakiblé, il parvint à conjurer a misère et à se faire une place dans la société.
Egalement, lorsque l’exil d’Okonkwo survint, son ami Obierika prit le soin de vendre ses ignames et de lui apporter l’argent dan d’Okonkwo survint, son ami Obierika prit le soin de vendre ses ignames et de lui apporter l’argent dans son village maternel où il fut chaleureusement accueilli : « C’est l’argent de tes ignames. dit Obierika. « J’ai vendu les grosses lorsque tu es parti. » pagel 71. Cependant, même si cette vertu demeure dans certaines sociétés, force est de croire que de nos jours la solidarité st entrain de céder la place à l’individualisme.
Les sociétés urbaines sont les plus touchées par ce comportement qui ne fait pas preuve d’humanisme. La solidarité est une vertu cultivée chez les Ibo. Au delà de cette solidarité, quelle était la place des femmes ? 7-Le statut de la femme Dans l’œuvre le monde s’effondre, Chinua Achebe fait une brève aperçue sur la vie quotidienne des femmes dans la société Ibo. Le Village Ibo reflète l’image de la société africaine d’antan. Cette communauté de la forêt qui, presque totalement coupée du monde extérieur, avec ses Dieux et ses ancêtres, ses outumes et ses interdits, la femme était reléguée au second plan.