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La « Grande Charte », signée par le roi d’Angleterre Jean Sans Terre le 15 juin 121 5 sous la pression de barons rebelles soucieux de imiter l’arbitraire royal, a inspiré de nombreux textes juridiques dont la Pétition des Droits de 1 628, la Constitution des États- unis de 1789 ou encore la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Ils sont 1. 215 chanceux, sur les 50. 000 postulants, à avoir été tirés au sort pour voir de leurs propres yeux, entre lundi et mercredi, les quatre copies regroupées à la British Library. La bibliothèque nationale expose ses deux précieux exemplaires aux côtés de celui de la cathédrale de Lincoln (centre-ouest de IAngleterre) et de celui de la cathédrale de Salisbury (sud de ‘Angleterre).

Ces quatre parchemins, seuls rescapés des copies faites juste après l’accord scellé entre Jean Sans Terre et les barons ? Runnymede, en bordure de Tamise, à l’ouest de Londres, seront ensuite transférés pour une journée d’exposition au public jeudi au Parlement de West 2 seront ensuite transférés pour une journée d’exposition au public jeudi au Parlement de Westminster. – Cri de ralliement contre l’arbitraire – Les curieux connaissant le latin pourront tenter de déchiffrer les 63 clauses qui ont toujours une grande résonance huit siècles après leur rédaction. Aucun homme libre ne sera arrêté ni emprisonné, ou dépossédé de ses biens, ou déclaré hors-la-loi, ou exilé, ou exécuté de quelque manière que ce soit, et nous n’agirons pas contre lui et nous n’enverrons personne contre lui, sans un jugement légal de ses pairs et conformément à la loi du pays », édicte la plus célèbre d? entre elles, la clause 39.

Le texte, annulé par le pape Innocent III quelques semaines après sa signature, avait été rétabli dans une version moins radicale en 1216 par le régent du jeune Henri Ill. Il est ensuite plus ou moins tombé dans l’oubli jusqu’au 17e iècle, mais ses principes sont devenus « un puissant cri de ralliement international contre l’usage arbitraire du pouvoir », estime la British Library. Anthony Clarke relève qu’en de nombreux endroits du monde, beaucoup continuent de se réclamer des principes de la Magna Carta, pour exiger un accès universel à la justice, l’égalité devant la loi et l’encadrement juridique du pouvoir politique. – Liberté et prospérité – De fait, l’association Magna Carta Trust, qui gère le mémorial de Runnymede, estime que l’importance du document médiéval est 3