Fabliau

La plainte grotesque Cette histoire est un fait réel. Cétait l’aventure d’un sage pêcheur qui, un jour comme un autre, partait en mer pêcher. Alors qu’il tendait ses filets, il aperçut un homme qui avait apparemment des problèmes. Il l’appela pour lui demander ce qu’il se passait : « Monsieur! Vous allez bien ? Que se passe-t-il ? Au secours Je suis en train de me noyer S’il vous plaît, aidez- moi !!! Je vais essayer de vous sauver, n’ayez crainte !!! lui cria-t-il alors. Le pêcheur chercha à côté de lui quelque chose qui lui permettrait de sauve une illumination. Il lui s’y accrocher.

Malenc ans l’œil et hurla su de l’aide et l’homme qui le lui avait crevé. Au tribunal, le sage p trz– Swape nextp g noyer quand il eut que Phomme puisse gé se prit l’objet on comble, appela Le naufragé, ayant perdu un œil, porta plainte contre le pêcheur to Wen « ext pêcheur ne comprenait pas pourquoi l’homme qu’il avait sauvé portait plainte contre lui. Le pêcheur dit alors aux juges : « Je ne comprends pas ! Je l’avais fait pourtant pour son bien ! Si je n’avais rien fait, cet homme serait mort à cette heure là ! Nous hésitons sur le jugement à vous donner, répondirent les juges, embarrassés.

Nous n’avons qu’à remettre le naufragé à l’endroit où il a failli se noyer, suggéra un homme dans la salle. Comme ça, nous pourrons voir s’il s’en sort tout seul. » En entendant cela, le naufragé retira tout de suite sa plainte. Il se mit à genou devant le pêcheur et lui expliqua qu’il était confus d’avoir osé porter plainte contre celui qui lui avait sauvé la vie. Il lui dit aussi qu’il aurait dû profiter d’avoir eu cette chance au lieu de vouloir encore plus. Il faut toujours voir le côté positif plutôt que le négatif : si l’on obtient quelque chose, il faut se contenter de cela et ne pas en vouloir encore plus.