Au XVIIe siècle, un mouvement littéraire prend l’ascendant: c’est le classicisme. Un genre subversif qui permet de montrer les défauts des hommes et les abus de la société en provoquant un effet comique. Le but de l’auteur est de châtier les mœurs par le rire. Les spectateurs prennent alors conscience de certains comportement humain et sociaux tout en se distrayant. Molière renouvelle le genre en profondeur il l’inscrit dans la société et propose un discours sur l’Homme en général.
Il peint ainsi les idicules dans des comédies satiriques pour critiquer certains éléments inhérents à la société de son temps, qui sont encore d’actualité. Sa pièce « L’Avare », jouée pour la première fois en next page 1668 est un de ces pl Dans cet extrait, Har a été volée. Il entre s désespéré. En quoi la scène du on scène er oir que sa cassette s un monologue lustre-t-elle la visée de Molière : corriger le vice par le rire ? La scène 7 de l’acte IV illustre la folie d’Harpagon à son paroxysme, mais le registre dominant est comique.
En effet, cette cène est caractéristique de l’esprit des comédies de Molière : corriger les mœurs par le rire. Il s’agit d’abord de montrer montrer la Folie d’Harpagon. L’utilisation de phrases nominale, « Au voleur! Au voleur! [… l Justice ! Juste ciel! » et le rythme à la fois saccadé et accéléré permettent de décrire un personnage agité Les phrases (ligne 4) « Ou courir? Ou ne pas courir ? » encore « N’est-il point là ? N’est t-il point ici ? » donnent des indication de déplacement. Molière veut montrer une perte d’identité du personnage.
Celui-ci s’engage dans un faux monologue ou il se donne à la fois les questions et les réponses. Par exemple (ligne5) « Qui est-ce ? A c’est moi ». Les didascalies permettent également de montrer une double personnalité (ligne5) « (il se prend lui même le bras) h. Cette scène tragique défend le thème de la mort. D’abord, le champ lexical de la dépossession (ligne 2) « on m’a dérobé mon argent » « on m’a privé de toi, et puisque tu m’est enlevé, j’ai perdu » Puis celui de la mort (ligne2) « je suis assassiné, on m’a coupé la gorge ».
Défendent l’idée de la mort. Le personnage annonce d’ailleurs sa mort avec l’expression « je me pendrait moi même après Puis la gradation ascendante « je me meurt, je suis mort, je suis enterré On note ensuite une scène au caractère comique. Premièrement, le comique de langage avec l’oxymore « Mon pauvre argent ‘expression « mon cher amis » montre que l’a 2 langage avec l’oxymore « Mon pauvre argent ». L’expression « mon cher amis » montre que l’argent est personnifié.
L’auteur exagère les faits avec des trilogies hyperboliques « perdu, ssassiné, coupé la gorge » ou « au voleur, à l’assassin, au meurtrier Intervient également, le comique de situation, dans lequel le personnage s’adresse à son public. Par exemple « Que dites vous ? » et « N’y a t-il personne qui veuille me récussiter Puis, le comique de geste avec la didascalie « il se prend lui même le bras » Enfin, Molière fait la satire de l’avarice, en dénonçant le vice. Un attachement successif à l’argent, est un comportement mal saint considérée, selon la tradition catholique, comme un des sept échés capitaux.
L’auteur fait également réfléchir à travers une scène comique. A noter, dès le début de la scène, la didascalie « (il crie au voleur dès le jardin et vient sans chapeau) ». On retrouve ainsi le déguisement et un aristocrate ridicule, qui font pans des thèmes de la comédie. Finalement, dans cette scène Molière combine la triple influence de la farce, de la comédie antique et de la commedia dell’arte. Il utilise des gestes et des mimiques burlesque et les bouffoneries d’hArpagon pour dénoncer l’avarice. 3