Diapo 1 et2 Notre problématique est la suivante : « les additifs alimentaires : danger ou assurance ? Nous avons choisi ce sujet et cette problématique car de nos jours, les additifs alimentaires se trouvent dans a peu près tous ce que nous consommons, que se soit dans ce que nous mangeons comme dans ce que nous buvons, et peut de personnes se soucis de tout cela et font confiance aux industries alimentaires alors qu’il est quand même important de savoir que sont réellement ces additifs et SI ils sont dangereux pour notre santé et si oui, éventuellement savoir ? artir de quelle dose.
Pour se faire, nous avons fait beaucoup ‘Vipe next page de recherches et avo nous verrons par la s d’un bonbon d’une m de personnes conso Admissible (couram e expérience que tifier le colorant c que beaucoup a Dose Journalière rant contenu dans le bonbons et voir à partir de combien de bonbons ces dernier devenaient dangereux pour l’organisme. Diapo 4 : Les colorants et les conservateurs alimentaires. Les colorants et les conservateurs sont les additifs que l’on retrouve on va dire dans la plupart des aliments aujourdhui ( des boissons aux rèmes glacées en passant par les charcuteries etc… . Tous d’abord les colorants , qu’est ce qu’un colorant ? Contrairement ? la plupart des autres additifs , les colorants alimentaires n’ont pas vraiment de caractère fonctionnel , ni d’intérêt nutriti Sv. ‘ipe to nutritionnel leur rôle consiste principalement à . 1 ) rétablir l’aspect initial d’un aliment dont la couleur aura été altéré par transformation ou par stockage et dont l’aspect visuel se trouvait donc diminué . ) donner une apparence plus attrayante aux aliments On peut donc dire que ces colorants ont surtout une fonction arketing sur le marché , ils sont également parfois utilisé pour faciliter aux consommateurs l’identification d’une saveur , par exemple , un colorant jaune sera utilisé pour colorer un aliment au citron etc… Cependant, ces colorants ne sont pas sans danger, ils doivent être utilisés avec prudence et respecter des dosages très précis. Pour les reconnaître et les répertorier, on les classes dans ce que l’on appel le « code E » (que nous verrons par la suite).
Les colorants les plus connus et les plus utilisés sont répertoriés de « EIOO » à « El 82 Certains d’entre eux peuvent ?tre cancérigènes, et ne paraissent pas tous sur les étiquettes des produits afin que le consommateur ne s’inquiète pas , mais il faut savoir que fabsence de la mention « E… » sur un emballage ne signifie pas que ce dernier ne contient pas d’additifs Les conservateurs eux, tout simplement comme leur nom l’indique, permettent d’allonger la durée de vie des aliments.
Pour cela ils agissent comme des antimicrobiens (contre les microbes) en limitant la multiplication des microbes et des champignons responsable de la dégradation de l’aliment concerné. Ils n’ont cependant pas la capacité de rendre saint un produit qui ne l’était pas avant son traitement. Ils peuvent 2 OF s capacité de rendre saint un produit qui ne l’était pas avant son traitement. Ils peuvent seulement prolonger sa durée de vie par rapport à ses caractéristiques initiales. Ils sont répertoriés dans le code E dans les « E2.
Diapo 6 et 8′ Pour appuyer nos recherches, nous avons réalisé une expérience qui avait pour but de répondre à deux grandes questions : 1) Quel est le colorant utilisé dans le bonbon HARIBO Schtroumpfs ? ) Combien de bonbons Schtroumpfs pouvions nous consommer par jour avant que cela ne commence à représenter un danger pour l’organisme ? pour cet expérience nous avons eu besoin : d’un spectrophotomètre , d’une solution de Bleu de Patenté V , d’un Papier filtre entonnoir , d’un couteau et d’un dispositif de chauffage .
Pour déterminer le colorant bleu contenu dans ces bonbons , nous avons dû comparer son spectre d’absorption que l’on a obtenu au terme de rexpérience avec le spectre d’absorption de trois colorant bleu ( voir diapo suivante ) • le Bleu indigo (El 32) e Bleu brillant (El 33) le Bleu de Patenté (E131) Pour extraire le colorant du bonbon , il a fallu le couper afin d’en garder que la partie colorée qui nous intéressait , puis nous l’avons placé dans un bécher de 100 ml que nous avons posée sur une plaque chauffante pendant environs 5 minutes .
Au terme de ces 5 minutes , u tie bleue dissoute , nous 3 OF s afin de la comparer a ceux des trois autres colorants témoins . Nous avons trouvé que notre solution absorbait le maximum ? une longueur d’onde de 640nm ce qui signifie qu’il s’agissait du Bleu de patenté V (El 31) . Diapo IO et 11 La D. J. A ( ou dose journalière admissible ) est la dose maximale d’additif qu’un individu normal peut ingérer de manière répétée tout au long de sa vie sans risque notable pour sa santé , c’est- à-dire sans effet secondaire . Elle est exprimée en mg par kg de poids corporel et par jour .
Par exemple une DJA de 1 signifie qu’une personne de 60 kg pourra absorber une dose de 60 mg de cette substance par jour sans que cela ne présente un risque pour son organisme . Pour calculer cette DJA , les scientifiques évaluent ce que l’on appelle le seuil maximum de consommation , si ce euil est dépassé des premières réactions secondaires pourraient apparaître . Afin de vérifier tout cela, des évaluations toxicologiques sont menés la plupart du temps sur des cobayes animaux ( la plupart du temps des rats de laboratoire ) .
On administre à ces animaux des doses plus ou moins élevées selon l’effet que l’on souhaite mesurer. Les animaux consomment les additifs testés à des doses très importantes, puis on les compare à d’autres animaux identiques mais n’ayant pas reçu d’additifs. Si l’effet toxique est visible, il faut diminuer la dose jusqu’à ce qu’il it plus de différence entre les deux animaux. Cette dose obtenue s’appellera le « seuil sans effet » .
Ce seuil est ensuite divisé par 100 afin de prendre en compte les variations des réactions de l’add 4 OF S . Ce seuil est ensuite divisé par 100 afin de prendre en compte les variations des réactions de l’additif quand on extrapole de l’animal à l’homme : on obtient alors ainsi la D. J. A . ( parler du tableau diapo 10) Conclusion . Depuis maintenant une trentaine d’années environ , ces additifs font beaucoup parler d’elles ( le plus souvent en mal plutôt u’en bien ) mais qu’en est-il réellement du risque encouru en consommant ces additifs ?
Et bien nous savons aujourd’hui que la toxicité de la plupart de ces additifs n’est qu’une question de dose : ces additifs deviennent dangereux à vraiment forte dose mais ne met pratiquement pas la santé d’une personne en jeu a petite dose . Au terme de notre expérience , nous avons pu conclure qu’il fallait consommer au moins 300 bonbons Schtroumpfs par jour avant que le colorant qu’il contienne ne représente un danger pour la santé ( ce qui représente quand même une quantité énorme pour une personne normale ) .
Cependant , ces additifs sont devenues et seront de plus en plus indispensable pour l’industrie agro-alimentaire car d’ici quelques années , il faudra nourrir prêt de 9 milliards de personnes de plus en plus exigeantes et difficile à satisfaire . Nous pouvons donc ainsi répondre à notre problématique en concluant que ces additifs sont dangereux a très forte dose , donc ils sont ? consommer avec modération , mais ils sont et seront de toute façons de plus en plus indispensable dans notre société actuelle et pour les sociétés à venir . S OF s