RENAUDIN Laurine 27/1 1/2013 p g 1er année de Licence Sciences Sanitaires et Sociales 18 Groupe Mathieu Lilian, « L’espace de la prostitution. Eléments empiriques et perspectives en sociologie de la déviance » 2000, 17 pages Lilian Mathieu, sociologue, est chargé de recherche CNRS au Centre de recherche politique de la Sorbonne et est également membre du Groupe de recherche sur l’activisme altermondialiste (GRAAL).
Il travaille principalement sur les processus contestataires et a récemment publié Art et contestation (Presses universitaires de Rennes, 2006, codirigé avec Justyne Balasinski), ur le monde prostitutionnel en termes d’espace social. Comme dit précédemment, Lilian MATHIEU est un sociologue chargé de recherche au CNRS et doctorant de l’Université de la Sorbonne.
Son essai empirique permet à la société de se faire une idée sur la notion de ce monde prostitutionnel, elle nous permet de se rendre compte du mode d’existence de ces collectifs que forment les individus partageant un même statut déviant mais aussi des logiques spécifiques dans lesquelles ces individus sont quelque part « pris » et qui orientent leur conduite du quotidien et leurs conditions. Le monde de la prostitution (mais ceci concerne aussi le monde du banditisme, délinquance, toxicomanie etc. est considéré, selon Lilian Mathieu, comme une espace social, et permet alors de ne pas présupposer une cohésion et une homogénéité élevées des univers déviants et prêtant à leur membres une sorte de « sous-culture » uniformément partagée et un sentiment identitaire commun. En d’autres termes, pour ce sociologue, il est important de préciser que les populations dites « marginales » sont dotées d’une forme d’existence collective avérée mais est instable suite à leurs onditions d’existences.
Dans son essai, l’auteur soulève une thèse qu’il développe dans différentes idées. Un effet, La thèse principale de son écrit est d’affirmer que le monde prostitutionnel est bien un espace sociale dans les sociétés. Et afin d’affirmer cette thèse, il fait appel notamment à des cadres théoriques concernant la sociologie de la déviance.
Il présente d’abord la prostitution comme un espace d’interdépendance, puis développe certains principe de hiérarchisations internes, démontre également que c’est un espace différent des autres espaces de la société et pour finir dével 2 émontre également que c’est un espace différent des autres espaces de la société et pour finir développe le fait que c’est un déficit de cohésion d’un groupe de destin La prostitution un espace d’interdépendance ; Le monde de la prostitution est composé de multiple « sous-unités entretenant des rapports entre elles d’hostilité et de concurrence ne faisant place à aucune solidarité.
Il s’agit en faite de rendre une certaine représentation de la prostitué car il est vrai, qu’on à souvent tendance à oublier la place des hommes qui pratique cette sexualité vénale ou même encore des frontières de genres eprésentés par le monde travestis. Afin d’écarter certaines prénotions, il est nécessaire de voir la prostitution comme une forme déviante de la sexualité mais aussi une forme de survis économique pour les femmes et individus en général qui la pratiquent (la plupart des personne exerçant cette activité est souvent lié à un manque de ressources économique).
Règne dans ce milieu une forte interdépendance mais aussi une forme certaine de concurrence Certains principes de hiérarchisations, En effet, dans ce monde devenue une vertu dans la société et qui est rentré dans les œurs, développe une forme de hiérarchisation interne liée ? cette certaine concurrence. Cette concurrence se caractérise en fonction de différent genres comme par exemple les lieux d’exercice, la dépendance aux drogues, l’ancienneté ou encore les différentes pratiques.
Centrée dans cette activité n’est pas particulièrement liée à une forme de désir mais plus souvent dû à une forme de vulnérabilité économique. Le monde prostitutionnel introduit aujourd’hui des délits de proxénétisme mais aussi une forme de racolage et qui est facilement réprimander par la loi. 3 espace de la prostitution se définit également par la distribution des structures, structures qui sont constamment mouvantes (dû à la hiérarchisation interne ou bien par l’intervention des forces de l’ordre).
Elle dispose d’une clientèle dite « habitué », et exerce avec elle des pratiques les plus légitimes, dans des conditions sanitaires plus que satisfaisante, et qui sont donc rarement toxicomanes ou bien touché par le virus du Sida. Ces femmes assument pleinement leur statut de prostitué. Autrefois, existé ce qu’on appelé des « maisons closes ceci est une maison où vive n groupe de prostitué et où les clients habitués les retrouvent.
En marge de la société, on retrouve d’autre forme de pratiques « de commerce du sexe évidemment plus discrètes dû à leur clandestinité et à leur illégalité, ces pratiques sont exercées dans des bars fréquentés exclusivement d’immigrés Isolés. Afin de démontrer sa thèse, l’auteur, Lilian Mathieu, a fait des analyses empiriques, il s’est basé sur les résultats de plusieurs recherches consacrées à l’espace prostitutionnel, sur une observation de ce milieu singulier et sur des entretiens avec les femmes vivant dans ces pratiques quasiment ancestrales.
Il a également effectué une thèse de doctorat en 1999 sur laquelle il s’est fondé. Il s’est également entretenu avec des associations qui interviennent dans l’espace de la prostitution. Les deux dernières recherches ont clairement nécessité des entretiens, des observations avec les péripatéticiennes qui ont permis d’obtenir de très riches informations sur les logiques et les évolutions de l’espace de la prostitution. 4 et les évolutions de l’espace de la prostitution. D’un point de vue, interne, l’auteur de cet essai, exprime un point de vue et une argumentation en total accord avec le sujet ui est l’espace de la prostitution.
Il propose une argumentation cohérente et pertinente et qui délimite l’espace sociale de la prostitution. Les bases de l’argumentation est de convaincre et de persuader une personne, ou bien une société sur un fait, ou sur débat Lilian Mathieu réussi à nous convaincre que la prostitution est un mode de vie comparable à d’autre, que c’est un espace clos. La population caractérise la prostitution comme une forme de criminalisation de la pauvreté qui est cependant entré dans les mœurs des sociétés actuelles mais est aussi facilement réprimandable.
Cet ouvrage a pour but et pour principal intérêt de permettre au lecteur de sortir de cette stigmatisation et du scandale autour de la question de la prostitution. D’un point de vue externe, de nombreux auteurs ont écrit des essais du même sujet que Lilian Mathieu mais avec une thèse différente de la sienne comme Everett Hughes (1897-1983) est l’un des principaux représentants de la pensée sociologique de l’école de Chicago, courant apparu au début du XXe siècle et son analyse sur la prise en compte des cas inhabituels dans l’analyse de la sociologie : les conseils de Hu hes (1997) d’après le réd’gé ‘Howard Becker. ? L’articl problème fondamental S E. C. Hughes en la matière à partir de Bastard Institutions (1951 un article portant sur les institutions qui satisfont des besoins illégitimes ou qui satisfont illégitimement des besoins légitimes. En mettant en évidence l’existence de deux directions différentes dans la déviation par rapport aux normes, Hughes élargit de manière originale la liste des cas à étudier. ? Nous trouvons également comme autre auteur Howard Becker avec son livre intitulé Outsiders : étude de sociologie de la déviance (1963) et qui se place parmi les étapes importantes du éveloppement récent de la sociologie et particulièrement de la sociologie concernant la déviance. Remarquable par la clarté de son style, Outsiders est devenu un des principaux ouvrages de référence de la sociologie americaine.
Cet écrit est représentatif d’un des courants les plus féconds de la sociologie américaine comme le nom « d’école de Chicago ». Cet auteur (né en 1928) a publié de nombreuses études de sociologie de Péducation et du travail, ainsi que des essais qui influents sur l’usage de la méthode ethnographie qui se traduit comme étant la science de l’anthropologie.