dreyfus Caudard Louis IS2 DM dHistoire L’affaire Dreyfus. L’affaire Dreyfus est un conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du XIXe siècle. autour de l’accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus…. Les vêtements à rome Premium L’Assommolr – Emile Zola Résumés Chapitre 1 L’action se déroule en 1850 dans le quartier de la Goutte dor à Paris Auguste Lantler est arrlué depuis 2 semaines à Paris. avec toute sa famllle. II décide dabandonner sa femme Ge.. lan Dans une économie de marché, les entreprises sont au cceur du système roductif, Toutes les politiques industrielles tendent favoriser la création d’entreprise car cette dernière est considérée comme le meilleur moyen pour… Corneille Tite et Bérénice Prem lum Contrôle de recherches : Le livre, des débuts au XVIe siècle- Répondez aux questions suivantes : 1 Quels sont les matériaux utilisés pour des écrits utilitaires ou d’apprentissage dans l’Antiquité ? 2 – Définissez : cunéiforme – vol…
Thème génétique Thème génétique Nous avons vu en classe que l’exposition au soleil peut engendrer une accumulation de mélanine dans notre peau. Mais nous savons ?galement qu’une exposition excessive peut engendrer un cancer de la peau.. space tourism antisémites. Dans la phrase 2 du texte, Barres vise la république, il est contre la transformation de la France avant la prise de la bastille, c’est à dire en 1789. Barres est un réactionnaire c’est à dire il rêve du passé et il défend les principes du traditionalisme.
Nous voyons aussi qu’il est nationaliste, c’est à dire ils sont agressifs vis à vis des juifs et des voisins juifs. Ensuite il est militarisme car il défend l’armé car il espère que l’armée va récupérer les terres perdues : l’Alsace t la Lorraine. Il espère que l’armée prépare sa revanche. Il est profondément patriotique et traditionaliste. Barrés est une personne attachée aux racines, à la famille, à l’armée et à la terre natale.
Pour lui la France doit rester la France actuelle : Et moi, je veux conserver la France Il adhère d’ailleurs à la ligue de la patrie française en 1895 et est un antidreyfusard antisémite. 2) L’affaire Dreyfus est omniprésente dans la presse durant les deux mois qui précèdent la condamnation du capitaine. Le 15 octobre 1 894, au moment où le capitaine Alfred Dreyfus est rrêté, la France vit, depuis plusieurs années, dans la tourmente d’un antisémitisme actif et virulent. Cet antisémitisme trouve une large traduction dans la presse, par l’écrit et le dessin.
L’illustration du journal antisémite « La libre parole » en est la preuve ( doc 3 Elle occupe toute la couverture du journal, elle prend une réelle importance et contribue à marquer les esprits. L’affiche illu 2 L’affiche illustre le directeur du journal, Édouard Drumont tenant Dreyfus par le fond de culotte avec un ustensile de cheminée ( pince à cheminée ) il est prêt à le jeter dans un four sans scrupule ou remord. Condamné à l’unanimité par le conseil de guerre à la peine de la déportation dans une enceinte fortifiée, Dreyfus est promis à l’enfer.
Je pense que c’est ce que veut représenter cette affiche. De plus Drumont sur ce dessin, est quatre fo•s plus grand que Dreyfus, ce dernier est traité comme un moins que rien, comme de la vermine. En arrière plan, le militarisme est encore une fois mis en avant et semble cautionner l’acte de Drumont. Le document 4 est un extrait ( publié en 1 899) de liste de lecteurs cautionnant l’acte du Lieutenant Colonel Henry ? savoir la fabrication d’un faux pour accuser Dreyfus. La liste représente indifféremment un combattant, des gens de l’église, une cuisinière, un commerçant…
Et ce qu’il en ressort c’est qu’ils clament tous haut et fort leur haine contre les juifs. Ils utilisent d’ailleurs des termes péjoratifs tels que « youpins, youtre ». L’opinion publique s’emploie a disqualifier Dreyfus en relevant le plus souvent qu’il est juif. L’affaire elle même ils en parlent très peu, on a l’impression que c’est un procès contre les juifs. De plus le triomphe de J’accuse d’Émile Zola (doc 5) ne doit pas tromper (tiré plus de 150 000 exemplaires). L’écrasante majorité es journaux est en effet anti-dreyfusarde jusqu’à la fin de l’affaire.
Au moment où paraît l’article de Zola, 96% des quotidiens de la capitale déf 3 fin de l’affaire. Au moment où parait l’article de Zola, 96% des quotidiens de la capitale défendent l’armée et l’Église; sont encore anti-dreyfusards l’année suivante. Le rôle central joué par la presse et l’édition dans l’affaire Dreyfus, est illustré par le symbole de l’engagement journalistique qu’estJ’accuse. Caffaire Dreyfus est en effet le premier événement sur-médiatisé en France.
Des milliers de publications ont littéralement « fait » ‘opinion. 3) Le document est un extrait de Octave Mirbeau tirée de « Le père Peinard » paru en octobre 1898. Cet extrait nous décrit le camp dreyfusard et le camps antidreyfusards. En effet durant (d’affaire Dreyfus», la société française se déchire entre deux camps. Les dreyfusards eux soutiennent Dreyfus. Ils font parties de « l’ extrême gauche ils pensent que grâce à la révolution apparaîtra une société égalitaire.
On retrouve dans ce camp « les républicains et les démocrates » c’est à dire les personnes attachées au principe de la République (indivisible, laïque, émocratique et sociale) et également à ses valeurs (Libertés, Égalités, Fraternité). On retrouve aussi « les penseurs libres », ce sont des personnes affranchies de toutes croyances, et « les socialistes, révolutionnaires, libertaire Les dreyfusards sont désignés comme étant les intellectuels, les radicaux, les socialistes, les juifs , Ils se battent au nom de la justice contre l’état major.
Ils forment la « Ligue des droits de l’Homme Ce camp veut évoluer, avancer ; la liberté avant tout « forces émancipatrices de l’avenir » La fin du texte nous montre bien que les dreyfusards veulen 4 orces émancipatrices de l’avenir » . La fin du texte nous montre bien que les dreyfusards veulent une France unie « cherchons le cœur qui bat à l’unisson » Ensuite, il y a les antidreyfusards qui font parties de l’extrême droite. Dans ce groupe, on retrouve les cléricaux, les royalistes, les césariens, les antisémites et également les nationalistes.
Ils justifient leurs actes au nom de la raison d’État c’est à dire qu’ils justifient leurs actes illégales ou injustes par l’intérêt de l’État. Les antidreyfusards ont créé « La Igue de la patrie française 4) Le document est une affiche qui nous indique le Grand Meeting n l’honneur du lieutenant-colonel Picquart, qui a eu lieu le IO décembre 1898. Cette rencontre rassemble les dreyfusards, leur but dans cette affaire est de prouver l’innocence de Dreyfus, et de réviser le procès de ce dernier pour rendre justice.
Sur cette affiche on voit les noms des personnes qui vont défendre l’accusé et également leur fonction. On remarque que Dreyfus a le soutien de son épouse Lucie Dreyfus et de son frère aîné Mathieu Dreyfus . Son frère est persuadé de l’innocence son frère, et pour cela il frappera à toutes les portes pour obtenir de l’aide. Les dreyfusards sont composés de plusieurs journalistes de « L’aurore » et du « Figaro » tel que Émile Zola qui publiera « J’accuse » en 1898. Celui-ci est un article adressé au Président de la République, Bernard Lazarre.
Ce camp est également composé de plusieurs intellectuels ( terme de Clemenceau qui désigne les scientifiques, les arti S de plusieurs intellectuels ( terme de Clemenceau qui désigne les scientifiques, les artistes et les universitaires), l’Université et l’ École Normale apportent leur soutient à cette affaire mais aussi des philosophes comme Lucien Herr. Le Lieutenant colonel Picquart qui fait partie de l’Armée, défend également ce dernier, d’ailleurs c’est lui le premier à avoir compris l’innocence de Dreyfus grâce à une lettre qu’il avait retrouvé dans une poubelle. y a également des médecins qui le défendent, ce qui montre encore une fois que les personnes qui croient en Dreyfus sont des hommes instruits, qui ont une opinion politique. pour finir plusieurs hommes politiques républicains font partie des orateurs comme par exemple Auguste Scheurer Kester, Georges Clemenceau et Jean Jaurès. 5) Le terme « intellectuel » est considéré comme d’apparition écente ; il serait directement lié à l’Affaire Dreyfus en France.
Le mot a été adopté par Maurice Barrès et Ferdinand Brunetière, qui, dans leurs écrits antidreyfusards, entendaient dénoncer l’engagement d’écrivains comme Émile Zola ou Anatole France en faveur de Dreyfus. Plus que pour l’innocence de Dreyfus les différents acteurs vont se battre autour de grands principes politiques et moraux. Cest pendant l’Affaire que l’on commence à appeler « intellectuels » ces « penseurs » qui, pour la première fois interviennent collectivement dans le domaine politique.