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répartition de la valeur ajouté Verticale= fiscalité—> redistribution/ transport des + riches vers p g les plus pauvres=pol fiscale ou pol sociale Horizontale= solidarité/ risque sociaux= malade/ chômage/ famille/ vieillissement C’est système sont créer pour amortir une éventuelle perte de retenue/ hausse des dépense (naissance) solidarité: est financé par les employés et Hausse des salaire e les qui sont payées otisations La santé, chômage, vieillesse représente 75% de l’aide En comptabilité, la valeur ajoutée (VA) est une notion qui s’efforce e mesurer la valeur économique ajoutée par l’activité d’une entreprise Le partage de la valeur ajoutée est constitué par la répartition de la valeur ajoutée produite entre les facteurs de production. La valeur ajoutée correspond à la valeur de la production à laquelle on a déduit le coût des consommations intermédiaires. Elle mesure les richesses nouvelles qui ont été produites au cours d’un cycle de production.

Au terme de ce cycle, les deux facteurs de production, le travail et le capital, se répartissent la valeur ajoutée. En termes de comptabilité nationale, la répartition de la valeur mpôts à la production Le revenu mixte des entreprises individuelles que la comptabilité nationale isole, dans la mesure où s’y mélangent la rémunération du facteur capital et celle du facteur travail En revenant sur la définition comptable de la valeur ajoutée • VA = valeur de la production – coût des consommations intermédiaires On peut distinguer deux facteurs de production essentiels : le capital et le travail. Ces deux facteurs contribuent à la création de valeur ajoutée au sein des entreprises.

Censemble de cette valeur ajoutée est répartie entre la rémunération de ces facteurs, et les rélèvements des administrations publiques. les salaires, la rémunération du facteur travail ; le « profit », la rémunération du facteur capital qui est mesuré à partir de l’excédent brut d’exploitation -solde de gestion qui précède l’amortissement des immobilisations, les intérêts et le remboursement du principal versés aux prêteurs, et les dividendes qui rémunèrent les actionnaires ; les impôts sur la production2, qui n’incluent pas Pimpôt sur les sociétés. Une fois la valeur ajoutée fixée, les parts respectives des trois termes (salaires, profit et impôts) évoluent chacune au détriment es autres.

En outre, ces parts sont, a priori, arbitraires et variables, sous réserve de respecter des contraintes connues à l’avance (contrat de travail fixant la rémunération, niveau de taxation, : c’est ce qui fait le fond de la question du partage de la valeur ajoutée. En pratique, la mesure de ce partage pose une série de difficultés • Comment traiter le cas de 2 pratique, la mesure de ce partage pose une série de difficultés : Comment traiter le cas des petites entreprises dites individuelles (artisans commerçants et agriculteurs, professionnels libéraux) ? Les entrepreneurs individuels relèvent à la fois du facteur capital et du facteur travail. our intégrer leurs revenus au partage entre facteur capital et facteur travail, il faut adopter une convention comptable qui détermine la part de la valeur ajoutée qui rémunère le capital que ces entrepreneurs ont apporté, et celle qui rémunère le travail qu’ils fournissent. une solution consiste ? faire comme s’ils se versaient un salaire fictif, égal à la moyenne de celui que reçoit le travail dans les entreprises non individuelles les cotisations sociales doivent-elles être intégrées à la émunération du travail ? Elles sont généralement considérées comme une rémunération salariales indirecte différée, puisqu’elles servent à financer des services et des prestations pour les salariés.

Comment traiter les impôts : comme du profit (pour les impôts sur le bénéfice, par exemple), comme du salaire (comme les impôts sur les salaires prélevés à la source, type CSG par exemple), en fonction d’une clef conventionnelle, comme un élément à part entière de l’équation, ou simplement comme un élément qu’on élimine en ne considérant que la valeur ajoutée ette, impôts payés ? Le graphique au-dessus montre la répartition de la valeur ajoutée avant que l’on ait adoptée une convention comptable pour la rémunération des entreprises individuelles et les impôts à la production. Les cot 3 production. Les cotisations sociales ont par contre été intégrées aux rémunérations salariales. Séquence 6 Protection social en 2 systèmes: d’assurance: mutualisation des risques sociaux, concerne uniquement les assurés ( ceux qui cotisent: prélèvement sur le salaire qui donne droit à des prestations) pour que se système oit serein il faut que les revenus augmentent en nombre et en niveau.

Un risque social est un accident qui provoque une perte, baisse du revenu ou augmentation des dépenses. L’assurance prend en compte le chômage, maladie, vieillesse, famille (reforme sur les allocations). Ce système est financé à par les entreprises. L’assistance: minimum sociaux pour vivre, ASS RSA. c’est l’Etat qul finance ce système de répartition. SMIC: Salaire minimum i de croissance, il sert a imposer une rémunération pour les emplois non qualifiés. si pas de sic salaire ouvrier serait bien plus bas NAO chaque année les employeurs négocie la politique salariale mais il n’y a pas forcement de hausse. Croissance et crise : croissance économique: mesure la quantité de bien et service sur une période.

Le PIB mesure la croissance (territorialité) 4 afin d’améliorer la productivité des facteurs (capital/travail) hausse du SMIC Capital= potes technique, former dans les NTIC ou investir dans l’éducation et la formation (capital humain) hausse du salaire des focntionnaires Croissance démographique hausse des minimas sociaux Politique structurelle Phase qui montez croissance, Phase qui croissance faible= inflation car hausse du taux d’investissement, hausse du cout du travail. Phase qui stagnez crise offre différent de demande Phase décroissante= resserrions, destruction du capital et du travail, hausse de la rentabilité Les cycles sont récurrents, l’intensité et la durée varient. Cycle court de Kitchin Cycle rougher: (8-10) ans Cycles des affaires Cycle long= Kowdratiev, crise 73 jusqu’en 93 et maintenant phase de récession Croissance endogène: qui repose sur des comportements des agents parce qu’il provoque des externalités positives

Dans les deux théories qui sont la Libérale et Keynésienne l’Etat ? un rôle: S Demande insuffisante, rigidité des prix Marx Baisse tendancielle du taux de profit car la plue value baisse (lutte des classes) Le marché est condamné pas de solution offrez offert sur le marché B et PIB+ importation Demandez emploi, consommation + investissement + consommation intermédiaire + exportation Cho mage Taux de chômage= Nb de chômeur/ Nb population active Nb de chômeur depend de la consommation, de la demande Rigidité du marché bloques les employeurs (SMIC, retraite, otisation, CDI) Niveau des études moyen agir sur la demandez chômage conjoncturel lié au rigidité= chômage structurel Libéraux: les chômeurs refusent les prix du marché du travail car revenu du non travail trop élevé Keynes pas de travail volontaire CEtat doit alléger le cout du travail: le sic coute trop cher, les cotisations sont importantes LE SALAIRE DOIT ETRE INFERIEUR À CE QU’IL VAUT SÉQUENCE 8: Les flux monétaires Le taux d’intérêt représenté le revenu de celui qui perte de l’argent. il dépend de la m ulation dans notre