dilemme morale

ly a s année, j’ai été engagé par CSL international. , je suis rendu le chef mécanicien sur l’un de leurs navires qui voguent dans les eaux de l’Asie. , nous devions remplir le navire en carburant, mais un événement inhabituel s’est produit. L’on m’a proposé une somme d’argent pour trafiquer les livres du navire, pour que la compagnie, qui devait remplir le navire, en mettre moins que demander dans le but d’empocher la différence.

En tant que chef, je sais qu’il serait facile de dissimuler cette anomalie et de me faire de l’argent. Devrais-je accepter de trafiquer les livres du bateau, même si je sais que c’est illégal dans le but de me faire de l’argent? Dans le premier paragraphe, j’exposerais la position de Kant sur ce dilemme. Dans le paragraphe suivant, je décrirais la position de l’utilitar de vue en exposant terminer, j’exprimera dilemme. Swip not page rerais c’est deux divergents.

Pour Ile par rapport au Premièrement, face à ce dilemme, Kant dira que la seule solution, qui s’offre à moi, est de refuser puisque accepter cette offre, ne répond au principe de l’impératif catégorique. Si j’acceptais cette offre, cette action serait considérée comme immorale, en raison, que cette action n’est pas désintéressée. Cette action, est motivé par un désir elle ne peut donc ne pas être désintéressée. De plus, refuser cette offre est conforme au devoir, même si elle n’est pas nécessairement juste.

Si je veux me conformer à la loi, je dois Sv. ‘ipe to refuser cette offre, par contre si J’accepte et que je me fais prendre je m’expose à des conséquences négatives relatives à mon geste, par conséquent, je refuse puisque je dois me onformer à loi, car selon Kant, nul n’est censé ignorer la loi. Par exemple si j’accepte Hoffre, et que pendant que je trafique les livres du bateau l’un des autres mécaniciens me surprend et me dénonce à la compagnie, je pourrais perdre mon emploi et même m’exposer à de lourdes amendes.

Donc selon Kant, je ne devrais pas accepter cette proposition, en raison du fait qu’elle ne respecte pas l’impératif catégorique. Deuxièmement, selon l’utilitarisme égoïste, je devrais accepter cette offre, puisque la seule variable à prendre en compte pour éterminer la valeur d’une action est mon bonheur personnel. Pour déterminer si je dois accepter ou non cette offre, je dois me poser une question; dans quel cas mon bonheur personnel sera le plus élevé, dans ce cas ce serait en acceptant cette offre, car je me vois octroyer une somme d’argent, avec cet argent je peux m’acheter quelque chose qui fera mon bonheur.

De plus, avec cette somme d’argent, je pourrais prendre des vacances supplémentaires, ce qui contribuerait à mon bonheur. Par exemple au lieu de travailler 8 mois par année, en acceptant cette roposition, je pourrais en travailler seulement 7 et profiter de ce mois de congé supplémentaire pour effectuer des activités, qui contribue à mon bonheur personnel. Pour ces raisons, selon l’utilitarisme égoïste, je devrais accepter cette offre. Par la suite, Kant se base sur Pimpératif catégorique, ce qui est t 2 accepter cette offre.

Par la suite, Kant se base sur l’impératif catégorique, ce qui est tout le contraire de futilitarisme égoïste, qui se base sur l’impératif hypothétique. Kant prône qu’une action est morale si t seulement si l’auteur de cette action est désintéresser, qu’il n’en tire aucune conséquence positive peu importe son choix, cette offre est donc immoral, car j’en tire des bénéfices. C’est tout le contraire pour l’utilitarisme égoiSte, dans cette situation je dois accepter puisque si j’accepte, je contribue à mon bonheur personnel.

Par la suite, Kant dit, que l’on doit se conformer à la loi, peu importe les circonstances, mais pour l’utilitariste le bonheur personnel, passe avant. Tout comme dans cette situation, roù Kant croit qu’il faut refuser puisque la loi l’obl’ge, mais pour ‘utilitarisme, la loi ne contribue pas à mon bonheur, je peux donc l’ignorer. Donc la réponse au problème poser, dépendras à qui l’on demande, Kant dira qui faut refuser, tandis que l’utilitarisme dira qu’il faut accepter.

Pour poursuivre, je crois que dans une situation semblable, j’accepterais cette offre, puisque je pense que le ratio de récompense/risque en vaut la chandelle. En tant que chef mécanicien du bateau, j’ai l’autorité nécessaire pour être sûr de ne pas me faire prendre. Je sais que si je demande à l’un de mes mécaniciens de faire quelque chose, ils le feront. J’ai donc la iberté de pouvoir être le seul à écrire dans les livres, ce qui me facilitera la tâche pour trafiquer les livres. , je crois que l’appât du gain sera plus fort, que la peur de me faire prendre.

S 3 les livres. , je crois que rappât du gain sera plus fort, que la peur de me faire prendre. Si une situation pareille se présente à moi, et que je me fais proposer 20 000 $ comptant, et que je sais que les risques de me faire prendre son très faible, il est fortement probable, que j’accepte. Donc selon moi, J’accepterais cette offre puisque tout comme l’utilitarisme, je crois, mon bonheur est le acteur le plus important à prendre en compte dans ce genre de décision, l’où les chances d’avoir des conséquences négatives, sont pratiquement nulles.

En conclusion, sur le problème posé soit; devrais-je accepter de trafiquer les livres du bateau, même si je sais que c’est illégal dans le but de me faire de l’argent? La réponse différera selon qui répond. Selon Kant, la réponse est non, puisqu’elle ne répond pas aux critères de l’impératif catégorique. Par contre selon l’utilitarisme égoïste, je devrais accepter, puisque mon bonheur ersonnel l’emporte sur le reste.

Selon moi, oui j’accepterai cette offre, puisque les chances de me faire prendre, sont très basses et l’argent obtenu, contribuera à mon bonheur. Dans cette situation, l’action prôner par Kant est de refuser, puisqu’elle enfreint la loi, mais la peur des conséquences négative liées ? cette action en fait une action intéresser, donc immoral. Alors, selon Kant, il n’y a pas de bonne réponse, puisque toutes les réponses à cette offre sont intéresser, soit par désir, soit par peur des conséquences négatives liées à cette action. 4