marketing touristique

REMERCIEMENT 1 p g DEDICACE SECTION 1. L’OFFRE TOURISTIQUES DE LA REGION L’OFFRE ORIGINELLE. Il L’OFFRE DERIVEE SECTION 2. LA DEMANDE TOURISTIQUE DE LA REGION DE L’OUEST LES ARRIVEE TOURISTIQUES Il LES RECETTES TOURISTIQUES PARTIE Il : LES PROBLEMES DU MARKETING TOURISTIQUE DE LA REGION. INTRODUCTION DE LA DEUXIEME PARTIE CHAPITRE 1 ANALYSE DE LA SITUATION MARKETING DES PRODUITS TOURISTIQUES DANS LE PAYS SECTION 1. DEFINITIONS DES CONCEPTS CLES LE TOURISME Il LE PRODUIT TOURISTIQUE Ill LE MARKETING TOURISTIQUE IV LA DISTRIBUTION V LA PROMOTION SECTION 2.

ANALYSE DE LA SITUATION REELLE DU MARKETING DES PRODUITS TOURISTIQUE DE LA REGION. ETATS DES LIEUX ANALYSE SWOT CHAPITRE 2 LES PROBLEMES MARKETING DES PRODUITS TOURISTIQUES DE LA REGION SECTION l. LES OBSTACL 2 OF El TIQUE MARKETING la politique de globalisation. Il ne s’agit plus d’exporter que des biens, des techniques et des technologies mais encore plus les reliefs, les climats, la faune, la flore, les couleurs, les senteurs et même l’hospitalité des peuples au-delà de leurs frontières respectives.

Ainsi, la découverte de cette nouvelle filière commerciale a mise en branle les investisseurs de par le monde et Le tourisme nternational ne cesse de poursuivre son expansion et de donner la preuve qu’il est l’un des piliers que les pouvoirs publics du monde entier ont tout intérêt à soutenir vu qu’il est un bon moyen de stimuler leur croissance économique. En 2011 le nombre d’arrivées de touristes internationaux était de 990 millions contre 940 millions en 2010.

D’après la dernière édition du Baromètre OMT du tourisme mondial, les arrivées de touristes internationaux ont augmenté de 4% en 201 2 pour atteindre 1 ,035 milliard d’arrivées. Les économies émergentes (•4,1 %) sont repassées devant les économies avancées La croissance n 2013 a atteint les 1,085 milliards ce rythme est légèrement inférieur à celui de 201 2 (+3% à +4%) et cadrer avec les prévisions à long terme de FOMT. Si ces beaux chiffres mobilisent les pays en pleine émergence, il faut reconnaître que le continent africain attend encore le son de cloche annonçant le décollage de la filière tourisme.

En effet le continent peine à atteindre les 5% d’arrivées touristiques mondiale ; en plus des difficultés socio-politiques qui minent ce continent, les investissements à minima et ponctuels des états, l’inexistence de politiques commerciales agressives et onquérantes placent ce secteurs dans une situation léthargique. Et dans ce tableau sombre la Côte d 3 OF El Et dans ce tableau sombre la Côte d’ivoire dont le secteur touristique ne participe qu’à 0,5% du PIB n’est pas en reste mais cette réalité semble loin de décourager les autorités ivoiriennes à l’instar de SEM.

Roger « COU, ministre du tourisme qui confia à Afriquessor que d’ici 2020 le pays vise une croissance annuelle moyenne de 5 % des recettes touristiques, soit une augmentation de 7 milliards de francs CFA. Qui se traduira par l’accueil de 7 millions de visiteurs de plus et par la création de 20. 00 nouveaux emplois. Un objectif si colossal ne peut être atteint sans que l’on se pose les questions idoines notamment : Quels sont les problèmes du marketing touristique en Côte D’Ivoire ? Cas du district de rouest.

Cette question posée en amont nous permettra au travers de réflexions et d’analyses de déceler en aval toutes les potentialités de la région susmentionnée et de dégager des pans de solutions aux problèmes affleurant au fur et à mesure de notre étude. pour la réalisation de ce rapport nous nous focaliserons bien entendu sur les chiffres publiés par les organismes étatiques tels ue le ministère du tourisme et l’office national du tourisme mais aussi des chiffres fournis par d’autres structures et organes de presse.

Etant donné que nous ne sommes pas sans savoir que le tourisme est une activité complexe, puisque les clients font appel à une foule de services complémentaires requérant des qualifications diverses. Les touristes se déplacent (transport), se logent (hébergement) et se nourrissent (restauration). pour préparer et réaliser leur itinéraire, ils utilisent des facilités de soutien : agences de voyages, bur 4 OF El réaliser leur itinéraire, ils utilisent des facilités de soutien : gences de voyages, bureaux d’information touristique; d’où son caractère hétérogène et complémentaire.

Compte tenu de cette réalité nous essayerons dans la mesure du possible de mettre en exergue les données des différents acteurs économiques de la région étudiée, ces derniers constituants une source réelle et crédible d’informations. Pour ce faire il serait donc important pour nous de partir d’une présentation générale du pays pour aboutir à une présentation plus minutieuse du district en question. Aussi nous allons définir et expliquer des concepts clés sans lesquels le marketing ouristique reste un mot dépourvu d’importance.

Cest entre autre la promotion, le marketing, la communication, la distribution et toute autre approche permettant de mieux cerner les contours de ce secteur d’activité. Ensuite l’énumération des obstacles institutionnels et structurels nous permettra de soumettre des recommandations pour assurer l’essor du tourisme dans la région étudiée. El charmer les européens qui en ont fait une plaque tournante dans la sous-région. Et grâce au travail acharné de ses fils, la côte d’ivoire a su préserver son charme d’antan et proposer le meilleur ‘elle-même aux touristes qui viennent de par le monde.

Cette partie de notre étude sera donc consacré dans un premier temps à faire l’historique de ce pays avant de mettre l’accent sur la diversité géographique de la région de l’ouest pour une connaissance plus générale et plus globale de la Côte D’ivoire. Dans un second temps nous ferons le tour des potentialités touristiques de la région susmentionnée et des différentes informations révélant le niveau de dynamisme de ce secteur d’activité dans la région de l’ouest ivoirien. CHAPITRE I : SITUATION HISTORIQUE, GEOGRAHIQUE E

TOURISTIQUE DE LA COTE D’IVOIRE Le tourisme est un secteur d’activité reconnu très porteur, mais il est indéniable que son expansion est étroitement lié aux paramètres endogènes de la société-nation qui compte fait du tourisme un levier important de son économie. En d’autres termes, l’activité touristique et son d namisme est le reflet de l’évolution de Ihistoire conservation de son 6 OF El s’étend sur un espace qui comprend la région côtière et forestière du Golfe de Guinée autrefois appelée Côte des Dents ou Côte de l’Ivoire.

Elle tirait son nom de l’ivoire que les Européens venaient utrefois y chercher. Les Européens – Portugais, Français, Danois, Hollandais, Anglais, ont parcouru la côte dès le XIVe siècle, mais leurs comptoirs commerciaux ne datent que du XVIIIe siècle. Après l’abolition officielle de la traite esclavagiste, on en retira de l’huile de palme, des gommes, des bols de teinture, parfois encore un peu d’ivoire et un peu d’or.

On y importait en échange des tissus, du genièvre, du rhum, de la verroterie, de la poudre et des faïences. Devenue colonie française en 1893 et intégrée à l’Afrique Occidentale Française (AOF), créée en 1895, la Côte d’Ivoire est evenue indépendante en 1960 avec pour premier président SEM. Felix Houphouët-Boigny. Dès l’indépendance, les institutions de l’État ivoirien sont définies et organisées par une Constitution. Celle-ci prévoit le principe de la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire.

Entre 1960 et 1980, les transformations de l’économie ivoirienne sont spectaculaires dans tous les domaines : agriculture, industrie, commerce et finances. Elles sont le résultat d’une politique qui fait jouer un rôle éminent à l’Etat, à l’investissement privé et aux capitaux étrangers. Cependant, depuis le milieu des nnées 1980, il est constaté une stagnation de cette économie consécutivement à la dégradation des termes de l’échange extérieur, au niveau très élevé des dettes de l’Etat et aux conséquences d’erreurs de gestion.

La société ivoirienne connaît cependant dans les vingt premières années de Findépendance, non seu OF El société ivoirienne connaît cependant dans les Vingt premières années de Pindépendance, non seulement une profonde mutation sociale (relèvement du niveau de vie des habitants, équipement dans les domaines sanitaire, éducatif et social) mais également une augmentation de la population avec un taux de roissance annuel moyen de la faisant varier de 3,7 millions d’habitants en 1960 à 12,2 millions en 1988.

En octobre 1995, Henri Konan Bédié remporte à une écrasante majorité les élections contre une opposition fragmentée et désorganisée qui appelle au boycott actif. Il resserre son emprise sur la vie politique, obtient assez rapidement une amélioration des perspectives économiques, une diminution de l’inflation et effectue une tentative d’éliminer la dette extérieure.

Contrairement à Félix Houphouët-Boigny, qui a su avec prudence éviter tout conflit ethnique et a même permis l’accès aux postes e IAdministration publique à certains immigrants venus de pays voisins, sous l’ère Bédié, des intellectuels mettent en exergue le concept de l’Ivoirité. Ce concept est définit d’abord comme l’affirmation de la souveraineté et de l’autorité du peuple ivoirien face aux menaces de dépossession et d’assujettissement notamment dans les domaines de l’immigration ou des pouvoirs économique et politique.

L’exacerbation des tensions politiques et sociales, les actes de défiance à l’autorité de l’État de la part des opposants mais également l’emprisonnement de plusieurs leaders de l’opposition olitique, instaurent un climat fortement tendu qui conduit en décembre 1999 au renversement d’Henri Konan Bédié par des soldats mécontents. Ceux-ci placent à la tête de leur groupe, le général Robert Guéi devenu pa 8 OF El général Robert Guéi devenu par ce fait, chef de l’État de Côte d’Ivoire. Bédié s’exile en France. Robert Guéï organisera des élections en 2000, à l’issue desquelles Laurent Gbagbo sera finalement élu.

Le nouveau président se trouvera vite confronté à une guerre civile, dont les germes ont été semés par ses prédécesseurs. En 2002, la Côte d’Ivoire est coupée en deux. La ébellion contrôle tout le Nord du pays, l’armée le Sud. L’année suivante, une force Internationale placée sous l’égide de l’ONU rejoint sur place les troupes françaises de l’Opération Licorne déjà présentes depuis septembre 2002, dans le cadre d’accords de coopération militaire entre la France et la Côte d’Ivoire. Une zone tampon entre le Nord et le Sud est ainsi créée.

FIGURE : ILLUSTRATION CARTOGRAPHIQUE DES FORCES EN OPPOSITION Le 24 janvier 2003, des accords patronnés par la France sont signés à Marcoussis entre les belligérants prévoyant le maintien de Gbagbo au pouvoir, et la mise en place d’un gouvernement omprenant des ministres représentant les rebelles. Les accords de Linas-Marcoussis1 (aussi appelés Accords Kléber) n’aboutiront pas à calmer les tensions. En 2004, L’armée gouvernementale lance une offensive pour reprendre Bouaké, « capitale » de la zone nord Le 6 novembre lors d’un raid de l’aviation ivoirienne 9 soldats français sont tués et 34 sont blessés.

En réaction, l’armée française détruit tous les aéronefs ivoiriens, suscitant de violentes manifestations anti-françaises. A Abidjan, un bataillon entier de l’armée française se retrouve plus ou moins coincé dans le plus rand et célèbre hôtel de la ville (Hôtel Ivoire) confronté à une foule moins coincé dans le plus grand et célèbre hôtel de la ville (Hôtel Ivoire) confronté à une foule en colère venu faire le siège dudit hôtel et manifesté son mécontentement vis à vis du jeu trouble des autorités françaises dans le règlement de la crise ivoirienne.

Après quelques jours de négociations infructueuses le contingent français est contraint de tirer sur une foule de plus en plus Incontrôlable pour briser le siège et se retirer définitivement de l’hôtel. Bilan de cette opération, une vingtaine de morts selon Paris, 57 selon les autorités ivoiriennes. Dans les Jours qui suivent près de 8000 français sont évacués en urgence de la Côte d’Ivoire.

En décembre 2006, Le gouverneur de la Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Charles Konan Banny, est nommé Premier ministre, en remplacement de Seydou Diarra. Quelques mois après, précisément le 4 mars, de nouveaux accords de paix sont signés à Ouagadougou. À la différence des précédents accords, un dialogue direct s’est établi entre les deux parties avec comme seuls négociateurs externes le président Blaise Compaoré2 et la communauté catholique Sant’Egidi03 qui œuvré très discrètement depuis les accords de Marcoussis.

Cet accord a conduit le président Gbagbo à nommer le 29 mars Guillaume Soro chef d’un gouvernement de transition. Dans la perspective dune sortie de crise, une ordonnance est publiée le 12 avril. Elle proclame une amnistie sauf pour les infractions économiques. Un des principaux points est une procédure de révision des listes électorales qui devraient permettre l’inscription de trois millions de nouveaux électeurs. Le 29 juin 2007, le nouveau premier ministre ivoirien échappe à un attentat à la roquette I 0 1