Anthologie sur la Liberté Premium Costa-Pothin Laura Ière LI Anthologie sur la Liberté « A tous les repas pris en commun. nous invitons la liberté à s’asseoir. La place demeure vide mais le couvert reste mis. » René Chan Sommaire I. Préface Rappport De stage Collard Axel Vertou automobile stage du g Juln au 4 lulllet 2S8 route de Clisson page 32. Lib, Garage cltroen 44120 VERTOU RAPPORT DE STAGE 2014 sommaire 1 Présentation de l’entreprise „ commentaire Les modalités de détermination du prix dans les contrats a titre onéreux Le contrat est l’outil juridique le plus utillsé dans les relations d’affaires.
En effet il permet de combattre l’instabilité des échanges et ainsi réduire [‘Incertitude. II 1552 Prem lum Chapitre 1 La formation du contrat I Fxercice I A, Énoncé Quelles sont les classifications des contrats suivants : – du de location ? – du contrat de travail ? – du contrat de vente d’immeuble en viager ? – du contrat d’assurance DM Marketing charcuterie Nouzla Houssein dissertation économie Sujet fiscalité et croissance Selan Jean Claude Dischamps, professeur des situation ou une question social.
Mais comme les images assez fortes pour réveiller notre instinct poétique ne se présentent pas onstamment devant nous, le poète s’en charge. Et quoi de mieux comme thème poétique que la liberté ? Ce mot si doux et pourtant si fort dont les hommes depuis plus de deux milles ans, se disputent les droits et les devoirs. J’ai donc voulu, cher lecteur, à travers cette anthologie poétique, te souffler un vent de liberté. Cest ce même vent que je nourris de poèmes que j’affectionne tout particulièrement et qui sont à leur manière, et ? mon avis, un vrai message pour l’humanité.
Le premier poème est celui de Paul Eluard qui s’intitule Liberté ; ce poème a été écrit durant l’occupation allemande, pour la ésistance française. II est pour moi la réelle évocation de la liberté car c’est celle que l’on détient au fond de nous, elle est notre premier désir, notre quête (parmi l’amour, et le bonheur mais comment pourrions nous les atteindre sans liberté? ) et on l’écrit, on la souffle et enfin on la nomme, peut-être pour mieux la vivre. Le deuxième poème est L’Albatros de Baudelaire qui fut tiré des Fleurs du Mal.
Ce poème évoque ici la liberté du poète, car longtemps humilié pour sa différence et son art (Par jalousie ? Par cruauté? ). Le troisième texte est L’Avare de Michel Leiris ; sur le ême thème de l’oiseau libre dans les airs, sauf qu’ici cette liberté ne concerne pas que le poète mais l’homme en général ; 2 airs, sauf qu’ici cette liberté ne concerne pas que le poète mais l’homme en général ; on parle également ici d’une liberté simple sans surplus, sans choses inutiles comme l’argent ; la liberté se fait par son seul désir de liberté.
Le quatrième poème que j’ai choisit est de Jean de La Fontaine qui s’intitule le Loup et le Chien, c’est la même chose que L’Avare, une liberté se fait quand on n’est pas enchaîner mais si le fait d’être enchaîné nous profite en bien, en matériel… ais c’est peut-être ce qui correspond le mieux à notre société actuelle, croire que l’on est en liberté parce ce qu’on dispose de nombre de richesses alors qu’à ce prix, des dizaines de chaînes nous entourent et nous privent de la vraie liberté, la plus simple… ivre.. et mon dernier poème est de Marie-Joseph Chénié qui s’intitule A la Liberté ; ce poème est un hymne, tout comme les autres, à la liberté ; il y proclame le pouvoir de la liberté, celle devant qui plient les hommes, même si à mon avis ce poème est un brin utopique.
La raison, cher lecteur, pour laquelle j’ai choisit le thème de la iberté c’est d’abord parce que ce mot m’évoque « tous pleins de bonnes choses » mais surtout parce que sur ce sujet le poète arrive à transmettre des émotions et une façon unique de voir la vie sans cette notion de « propriété » que dénonçait Rousseau, car elle prive l’Homme de la vraie liberté.
Et bien-sur, très, très cher lecteur je te chante ici la liberté poétique avant 3 vraie liberté. Et bien-sur, très, très cher lecteur je te chante ici la liberté poétique avant tout car elle est l’essence même de la poésie qu’elle soit didactique, lyrique, engagée… Il ne me reste plus qu’à te souhaiter, cher lecteur, une bonne lecture, En toute Liberté…
Liberté Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable de neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées 4 la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes raisons réunies Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attendries Bien au-dessus du silence Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui S voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime en boitant, l’infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher Baudelaire : L’Albatros Avare M’alléger me dépouiller réduire mon bagage à l’essentiel Abandonnant ma longue traîne de plumes de plumages de plumetis et de plumets devenir oiseau avare Ivre du seul vol de ses ailes Michel Leiris Le Loup et le Chien un Loup n’avait que les os et la peau ; Tant les Chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli (1), qui s’était fourvoyé par mégarde.
L’attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l’eût fait volontiers. Mais il fallait livrer bat mourir de faim. Car quoi ? Rien d’assuré, point de franche lippée (4). Tout à la pointe de l’épée. Suivez-moi ; vous aurez un bien meilleur destin. Le Loup reprit : Que me faudra-t-il faire ? Presque rien, dit le Chien : donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants (5) ; Flatter ceux du logis, à son maître complaire ; Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons (6) • Os de poulets, os de p’geons, Sans parler de mainte caresse. Le loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant il vit le col du Chien, pelé Qu’est-ce là ? lui dit-il. Rien. Quoi ? rien ? Peu de chose. Mais encor ? Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? Pas toujours, mais qu’importe ? Il importe SI bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. Cela dit, maître Loup s’enfuit, et court encor. Jean de La Fontaine VIVRE ET MOURIR Maître de tout sauf de moi-même, Chaque jour je recule un peu Sur les falaises de ma vie. Dans mes jeux d’autrefois, théâtre
J’avais ce même regard ivr mots complices ! O mon enfance, n’oublie rien : Les clés encor sont dans ta main, L’amour attend, il nous faut vivre ! Ferme tes plaies, ouvre tes yeux, Ajoute la mort à ton jeu Je suis un autre, je suis libre ! J’ai tout aimé moins que moi-même Je veux vivre pour tout aimer Et m’oublier dans ce que j’aime. Jean Rousselot A la liberté Descends, ô liberté ! fille de la nature : Le peuple a reconquis son pouvoir immortel ; Sur les pompeux débris de l’anti ue imposture Ses mains relèvent ton aut 8 Sur les pompeux débris de l’antique imposture Ses mains relèvent ton autel.