Analyse d’un poème Ganshof 3M04 Philippe L’auteur de ce poème s’appelle Charles Baudelaire, grand écrivain du 19ème siècle. Le passage que je vais analyser est tiré du livre « Les Fleurs du mal La France est à cette époque une monarchie guidée par Napoléon III et nous sommes pendant une période de transition vers la modernité avec le mouvement romantiste qui vise la libération de l’imagination. Le poème est un s embrassés et variabl et deux tercets. Des Baudelaire racontr moment de sa vie Io Swip next page n avec des riimes sé de deux quatrains rt suffisants. inement le on père dont il a tout dilapidé en peu de temps. Une vie de roi très tranquille au bord de la mer dans une somptueuse maison. Nous le remarquons grâce à « voluptés calmes » V9, « vague » V1 0 et « vastes portiques » V1. Cependant, Baudelaire ne vit pas un moment de bonheur et de plénitude. Il n’est pas totalement heureux car à la fin « l’unique soin était d’approfondir le secret douloureux » V13-14. Le décor reste malgré Les « esclaves nus » aradisiaque mais pas pour baudelaire.
J’ai divisé ce poème en quatre, avec en premier les deux quatrains qui décrivent l’atmo Swige to vie' » next page l’atmosphère dans laquelle se trouve Baudelaire avec le sens de la vision puis dans la seconde partie l’ouïe, dans la troisième partie l’odorat et dans le dernier tercet, le touché. Dans ce poème, Baudelaire n’arrive pas être heureux et se détaché de la bassesse de la société. Il est donc dans le spleen mais pas complétement. Le champ lexical s’y oppose car avec ? vastes » V1, « majestueux » VB et « mille feux » V2 nous somme plus dans un idéal de grandeur et de beauté.
Il compare ce décor « aux grottes basaltiques », grottes très sombres constituées de pierre volcanique. Nous concluons qu’il voit toute cette richesse comme un taudis infâme. Le changement se fait quand la journée passe du « soleil » au « soir Cette comparasion reviens dans le deuxième quatrain où il associe les cieux au mot « mystique Il y a l’idéal avec la profondeur et la grandeur des mots « cieux » et ? tout-puissant » qui nous fait pensé à la religion.
Par contre dans ce quatrainn, c’est le sens de l’ouie avec les « houles » tandis que c’était plus la vison dans le premier quatrain. En dernier apparait le sens de l’odorat, cependant cette odeur semble être plutôt désagréable car cette odeur vient « des esclaves nus » et les esclaves sentent généralement pas bon dû à leur condition de vie. Aussi dans le dernier tercet Baudelaire débute avec Pidéal comme les mots « splendeurs » VIO et voluptés clames » V9 mais entre une nouv 2