Contraception

REPUBLIQUE DU NIGER Ministère des Enseignements Secondaire et Supérieur, de la Recherche et de la Technologie c ES RIVE DROITE CLASSE 1ère A2 GROUPE NO MEMBRE DU GGROU KIOSSO CARBA INAY MAMOUDOU BABOU MOUNKAILA BANI KA Sni* to View DAN DALAADO HALIMATOU PLAN Définition l. Méthodes Il. Rôles Ill. prévention des infections sexuellement transmissibles IV. Utilisation dans le monde l’utérus. Au niveau du vagin Les dispositifs agissant au niveau du vagin sont utilisés ponctuellement pour un rapport sexuel.

Ce sont le préservatif masculin ou féminin, le spermicide, le diaphragme et la cape ervicale. En dehors du spermicide, ils ont une action purement mécanique. Le préseNatif et le spermicide sont à usage unique, tandis que le diaphragme et la cape cervicale sont réutilisables pendant plusieurs années. Au niveau de l’utérus Les dispositifs agissant au niveau de l’utérus sont appelés simplement dispositifs intra-utérins ou stérilets. Ils peuvent être au cuivre ou hormonal. Ils ont une actlon chimique et peuvent être maintenus en place entre 4 et 10 ans selon le modèle.

Méthodes médicales par voie générale Les méthodes de contraception médicale par voie générale ont des médicaments concernant uniquement la femme. Ce sont des substances à activité hormonale de type œstrogène ou progestatif qui agissent par voie générale. Elles peuvent être administrés par voie orale (pilule, de type œstroprogestatif ou progestatif), cutanée (timbre, de type œstroprogestatif), sous-cutanée (implant, de type progestatif), intramusculaire (injection, de type progestatif), ou génitale (anneau vaginal, de type œstroprogestatif).

Leur durée d’action est variable ; la prise est quotidienne pour la forme orale, le changement st hebdomadaire pour le timbre et mensuel pour l’anneau, l’administration est trimestrielle pour l’injection et la durée de vie est de 3 ans pour l’implant Méthodes chirurgicales La chirurgie de stérilisation contraceptive vise à restreindre la progression des gamètes en dehors des gonades. Chez la femme, elle peut se faire par voie laparoscopique (ligature des trompes) ou hystér la femme, elle peut se faire par voie laparoscopique (ligature des trompes) ou hystéroscopique (méthode Essure).

Chez l’homme, elle se fait par voie scrotale (ligature des canaux déférents, ppelée vasectomie). La stérilisation est a prlori définitive. Méthodes naturelles Les méthodes naturelles de contraception reposent soit sur la pratique de rapports sexuels incomplets (coit interrompu ou « retrait n), soit sur la pratique de rapports au cours de périodes restreintes chez la femme, caractérisées par un risque faible d’ovulation : au cours de certaines parties du cycle menstruel ou des périodes d’allaitement exclusif.

Concernant le cycle menstruel, il peut être surveillé de plusieurs manières. Les signes cliniques à observer sont les menstruations, a température corporelle ou l’aspect de la glaire ceNicale. Ainsi, il existe la méthode Ogino, la méthode des températures, la méthode Billings, ou encore la méthode symptothermique. Il est aussi possible de mesurer le taux d’hormones dans les urines ou dans le sang.

Concernant l’allaitement, la méthode de l’aménorrhée lactationnelle procure un effet contraceptif sous plusieurs conditions : l’allaitement doit être exclusif, débuté rapidement après un accouchement, et d’un rythme élevé, tout en s’assurant de l’absence de retour de couches, pour une durée maximale de mois. Après un rapport Après un rapport sexuel réalisé en l’absence totale ou partielle de contraception, il est possible d’utiliser chez la femme, le plus tôt possible, une contraception dite « d’urgence D.

Il existe trois moyens : deux médicaments, un progestatif (pilule du lendemain) et un modulateur de récepteur de la progestérone (pilule du surlendemain), et le dispositif intra-utérin au modulateur de récepteur de la progestérone (pilule du surlendemain), et le dispositif intra-utérin au cuivre. Bien évidemment, ce recours ne peut pas systématiquement emplacer la contraception usuelle. Leur efficacité est variable et dépend entre autres de l’intervalle entre le rapport sexuel et l’utilisation du moyen ou de certaines caractéristiques de la femme comme son poids VI.

Rôles Effet contraceptif La mesure de l’efficacité d’une méthode de contraception s’établit en mesurant le taux de survenue de grossesse dans une population. On utilise l’indice de Pearl qui est une estimation du risque de grossesse annuel. Selon l’OMS, on estime qu’une contraception est « très efficace » si ce taux est inférieur à 1 1 % de risque de grossesse par an), « efficace » s’il est entre 1 et 10, et « modérément efficace » s’il est entre 10 et 25.

De plus, on doit distinguer l’efficacité dans le cadre d’une utilisation dite « correcte » (ou théorique) et dans le cadre d’une utilisation dite « courante » (ou pratique). En utilisation correcte, on comptabilise les grossesses uniquement lorsque l’utilisation de la contraception est optimale. Les méthodes très efficaces sont les médicaments (quel que soit leur mode d’administration), les dispositifs intra-utérins, a stérilisation et l’aménorrhée lactationnelle.

Les méthodes efficaces sont les méthodes barrières telles que les préservatifs ou le diaphragme (associé au spermicide), le retrait et les méthodes basées sur l’observation du cycle -Les méthodes modérément efficaces sont la cape cervicale et le spermicide utilisé seul. En utilisation courante, on comptabilise toutes les grossesses, que l’utilisation de la contraception soit optimale ou non. L’efficacité PAGF grossesses, que l’utilisation de la contraception soit optimale ou non.

L’efficacité mesurée est donc globalement moindre, mais probablement plus proche de la réalité. Les méthodes très efficaces sont l’implant, la stérllisation et les dispositif intra- utérins. Les méthodes efficaces sont l’aménorrhée lactationnelle et les autres médicaments (en injection, en pilule, en timbre ou en anneau vaginal). Les méthodes modérément efficaces sont les méthodes barrières telles que les présepu’atifs ou le diaphragme (associé au spermicide), le retrait et les méthodes basées sur l’observation du cycle.

Les méthodes moins efficaces sont la cape cervicale et le spermicide utilisé seul. En France, l’efficacité contraceptive de certaines méthodes a pu être mesurée en utillsatlon courante ; parmi celles-ci, les méthodes efficaces sont le dispositif intra-utérin, la pilule, le préservatif masculin et les méthodes basées sur liobsewation du cycle ; les méthodes modérément efficaces sont le retrait et le spermicide utilisé seul. Les autres méthodes n’ont pas été évaluées spécifiquement en France. VII. Prévention des infections sexuellement transmissibles

Parmi les méthodes contraceptives, le préservatif masculin est le seul moyen démontré efficace pour lutter contre la transmission des infections sexuellement transmissibles, comme le SIDA ou la gonorrhée. Concernant le préservatif féminin, une protection similaire est suggérée. VI. Utilisation dans le monde Dans le monde, selon une estimation de l’ONU en 2012, la proportion de femmes en couple utilisant un moyen de contraception serait environ de 64 avec 71 % des femmes des pays développés, 62 % des femmes des pays en développement et 37 % des femmes des pays I