Guide de lecture: Candide ou l’Optimisme Voltaire François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 ? Paris, ville où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle. Particularités du récit Ce récit développe I chapitre. Ce premier ce qui fait référence une fois ».
Au fils du r présent comme lors api org s le premier la formule « il y avait » re au conte » il était x est toujours t Cacambo dans un nouveau pays qui peu paraitre naturelle mais plusieurs éléments ous font basculer dans le registre merveilleux puisqu’ils sont transportés dans un « carrosse » attelé de » six moutons » qui » volaient Puis les » places pavées d’une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle ceci nous plonge également dans un monde imaginaire.
Dans le pays merveilleux parcouru par Candide, tout se trouve agrandi et embelli. Les dimensions citées dépassent toute mesure humaine, » deux cent vingt pieds de haut et cent vingt de large », de même pour l’exgération des quantités : « mille olonnes » ce pays représente l’abondance et le luxe. Tout ces aspects qui évoque le registre merveilleux nous font penser au genre littéraire du conte philosophique.
Le conte philosophique est aperçu des le premier chapitre puisque Candide personnage naif et innocent « est chassé du plus beau et du p plus agréable des châteaux possibles », mais aussi par la matière enseigné par maitre Pangloss la » métaphysico-théologo- cosmolonigologie » ceci est révélateur du comique ainsi que de l’irionie de l’auteur. Durant tout le récit Candide se trouve éloigné e ce que lui a enseigné Pangloss, il subit des catastrophes naturelles et humaines comme la torture.
A travers se conte philosophique Voltaire dénonce les abus du pouvoir, les inégalités, les injustices, la tolérance et le fanatisme religieux. Ce conte philisophoque présente un aspect romanesque. Tout d’abord il est présenté sous la forme d’un roman et fait appel ? l’imiagination, au rêve et au sentiment, l’histoire d’amour entre Candide et Cunégonde est présente tout le long du récit.
Ce récit évoque également des aventures extraordinaires, des ombreuses péripéties, des rebondissements imprévus ainsi qu’une destinée exceptionnelle puisqu’à la fin du récit Candide avec l’argent qui lui reste achète une métairie où tous les personnages vivront simplement. Cest également un conte merveilleux. La technique du récit emboîté est en elle même un élément qul participe au romanesque. Ici, la belle femme fortunée illustre le mythe du bonheur parfait : beaux corps, beaux esprits, belle société, belles fortunes.
Le romanesque s’insinue alors dans l’idéal, lui apportant sa dose de surprises, et aussi ses revers de situation. La vieille incarne le type de l’héroine, détournée par le dramatique, le pathétique et le burlesque. On peut considérer que Candide est un roman d’apprentissage, parce qu’au début du roman Candide est un personnage a que Candide est un roman d’apprentissage, parce qu’au début du roman Candide est un personnage au caractère nait, et complètement inexpérimenté qui approuve totalement ce que dit pangloss; il posséde aucune oplnion personnelle.
Au fur et à mesure du déroulement de l’histoire, Candide est face à des évènements qui transformeront ses différents points de vue. Ce n’est donc pas seulement avec les paroles des philosophes que Candide gagne en sagesse, mais par sa propre expérience et ce qu’il à vécu au cours de son périple. Candide apparaît mûri. Il a tiré profit de ses expériences, de son voyage initiatique et de ses observations. II a en plus acquis de l’assurance ce qui lui permet de s’imposer, et il peut même juger par lui-même.
Le genre du roman d’aventure est très présent dans Candide. Ce genre met l’accent sur l’action, mais aussi sur la violente puisque dès le deuxième chapitre, Candide est une victime des Bulgares, l reçoit des coups de bâtons, il est fouetté mais apprend malgré tout les « plaisirs » du métiers de soldat. Il inclut également des références simples d’exotisme puisque dès le premier chapitre Candide est chassé du chateau dans lequel il vivait, il sort de son univers quotidien.
Les épices qui sont des denrées rares et chères à l’époque font également référence à l’exotisme. Le danger est peut être la matière de ce roman puisque de nombreuses fois Candide est en péril et risque sa vie. Le roman d’amour est aussi présent dans ce récit puisque Cunégonde et l’object de la quête amoureuse de Candide mais aussi par le fait que les femmes sont très présente dans le l’object de la quête amoureuse de Candide mais aussi par le fait que les femmes sont très présente dans le récit.
L’aspect philosophique du conte Le roman de Voltaire se nomme « Candide ou l’Optimisme », Candidie signifie lexicalement « – innocent-simple- crédule », « Optimisme est un mot d’origine latine, « optimus », signifiant « le meilleur. Le titre du récit nous indique donc que tout le long du récit, Candide le personnage principal sera alors naif, innocent, imple et crédule et « optimisme » nous indique que le monde sera le meilleur possible au court du récit.
De plus c’est un roman éponyme puisque le titre est le nom du personnage principal. Ce conte philosophique est une réflexion sur la présence du mal dans le monde puisque Candide va exprimer le mal au cours de son périple. Tout d’abord, il dénonce la guerre entre les Bulgares et les Arabes, » rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées » ici il utillse l’ironie pour dénoncer les horreurs de la guerre. Dès les premiers chapitre l’optimisme de
Candide est rompu « éventrées après avoir assourvi les besoins naturels de quelques héros », « cervelles répandues par terre », ‘ bras et jambes coupés » toutes ces images fortes prouves que Candide ne vit par dans « le meilleur des mondes possibles » et que le mal est bien présent. La religion est également dénoncé, on peut voir comment Candide dénonce les péchés des religieux. Dans le chapitre 8 l’inquisiteur vend Cunégonde à Don Issachar, dans le chapitre 11 la vieille est la fille du pape « Urbain X », dans le chapitre 12 un iman cruel p PAGF