Dissertation2

Étape 1 : Plan du développement Argument principal 1 Le Survenant vit en toute liberté en étant nomade, c’est lui décide en tout temps ce qu’il veut faire. Sous argument 1. 1 . Il estlibre de choisir où il veut aller pour être heureux Preuve 1. 1 : «lJn soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’ap firent redresser. C’éta n org paqueton au dos, qui m Sous argument 1 oups à la porte les taille, jeune d’âge, p. 19) Il est indépendant, il n’y a rien qui peut l’empêcher de partir comme bon lui semble. Preuve 1. : Le Suwenant a cité : «Partout ù je passe, j’ai coutume de gagner man sel, puis le beurre pour mettre dedans. Je vous ai offert de me garder moyennent asile et nourriture. Si vousavez pas satisfaction, dites-le : la route est proche. De mon bord, si j’aime pas l’ordinaire, pas même le temps de changer de hardes et je pars. » (p. 42) (allégorie) Sous-argument 1. 3 : Lesurvenant est fier d’être nomade et le fait savoir aux habitants du Chenal du Moine. P. 186 place, pliées en deux sur vos terres de petite grandeur,plates et cordées comme des mouchoirs de poche. comparaison) Argument principal 2 Le Survenant fait découvrir plusieurs bons côtés d’être un omade aux habitants du Chenal duMoine. Sous-argument 2. 1 : Plusieurs habitants du Chenal du Moine se rassemblaient tour à tour chez les Beauchemin pour entendre le Survenant raconter ses voyages. Preuve 2. 1 : «Et tous lesautres du voisinage firent en sorte dy aller à leur tour. Curieux d’entendre ce que le Survenant pouvait raconter du vaste monde, les gens du Chenal accourraient chez [à continuer] les Beauchemin.  » (p. 51)…

Le bonheur du Survenant passe par le nomadisme : Le nomade qui n’a pas de port d’attache peut Sous-argument 1 aller à la recherche de ce quiest le mieux pour lui à tout moment. Illustration . «Partout où c’est que je passe, j’ai coutume de gagner mon sel, puis le beurre pour mettre dedans. Je vous al offert de me garder moyennantasile et nourriture. Si vous avez pas satisfaction dite-la : la route est Explication : Dans cet extrait on observe le Survenant qui explique à Didace qu’il par quelmoment, s’il ne trouver asile ailleurs.

Ses qualités de sédentaires font de lui un excellent nomade, il s’adapte bien à sonentourage. II est constamment à la recherche de ce qu’il y a de meilleur pour lui Sous-argument 2 : Le nomade qui fait sa propre loi est libre de hoisir ses valeurs. Illustration : Il y apeut-être pas d’ouvrage pour toi, Amable, mais il y en a encore pour moi. Quant à avoir tous les vices, il s’en faut. Tout de même je m’en accorde quelques-uns. Mais j’ai pas de défaut. Tandis que toi,t’as pas un vice, pas un en tout. Seulement, tu possèdes tous les défauts. »(P. 33) Explicatlon : Dans cette citation, le Survenant ne se gêne pas pour exprimer sa façon de penser à Amable, luiqui est pourtant le fils de la maison où il vit. Il est en mesure de le faire puisqu’il peut partir à tout moment. Le Survenant choisi ses valeurs et ne ompta pas le respect des gens qui l’accueillechez eux comme plus important. Il préfère dire ce qu’il croit juste de dire dans la situation. D’ailleurs, même le père d’Amable ne défend pas son fils dans cette situation. Sous-argument 3 : Lenomade n’a pas à s’investir dans une relatlon Illustration : «l_’habillement a pas une grosse importance quant ? moi.

Mais si je te fais honte, la Noire, je peux ben continuer mon Celui qu’on appelle « Le Sun,’enant » déroute, inquiète et attire. On l’écoute évoquer des mondes inconnus sans trop I appelle « Le Survenant » déroute, inquiète et attire. On Pécoute évoquer des mondes inconnus sans trop le croire; onest perturbé par sa vision de la vie qui oppose la liberté de l’errance aux valeurs de l’enracinement. Indifférent aux jugements et aux mesquineries, le Survenant vit intensément au jour le jour,heureux de manger, de travailler ou de fêter.

Les jeunes filles sont par ailleurs fascinées par son charme insolent, ses talents de conteur et de chanteur, mais la seule qui l’intéresse est AngélinaDesmarais, qui est chavirée par l’affection désintéressée que lui porte le « grand dieu des routes Malgré les mises en arde de son entourage, elle devient follement amoureuse du Survenant, qui éprouveaussi un grand attachement pour cette jeune femme pure, franche et entière. En premier lieu, tout au long de ce roman, il est question de liberté. Cette liberté, est démontré par le survenant, qui est un homme libre, ce qui le différencie des habitants du chenal du moine. l est un homme libre du a ses voyagements. En effet, le survenant se plait a voyager, a voir du pays, la liberté du survenant est signe de spontanéité car il donne libre cours a ses sentiments departir vor le monde, il est heureux de voyager et eci est quelque chose de naturel chez lui : « Vous autres, vous ne savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beaumatin, pour filer fin seul, le p d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beaumatin, pour filer fin seul, le pas léger, le cœur en allège, tout son savoir sur le dos » ( p. 90). Le survenant ne suit pas les traditions, il n’a pas peur d’être seul pour faire ce qu’il aime voyageret acquérir de nouvelles connaissances : « mais quand je serai arrivé sur la fin de mon règne vous me trouverez pas au fond des fossets, dans la vase. Cherchez plutôt à travers de la route, au grandsoleil : je serai la, les yeux vers le ciel fier comme un roi de repartir voir un dernier pays » (p. 192). Comme on peut voir, il est maitre de sa vie et de son destin.

Comme la tradition le veut,les habitants de chenal du moine doivent suivre les conseilles du curé, doivent être présent lors de la messe mais le survenant lui, obéit à personne, il fait comme bon lui semble : « Marie-Amanda sefaisait une joie d’assister à la messe de minuit. À la demande du père Didace, le survenant accepta de garder la maison, il ne fit pas même prier. » (p. 192). l ne fait pas comme le reste de lacommunauté, il ne va pas à la masse et ceci fait plutôt sa joie! Malgré la vie de nomade du survenant, la société du chenal du moine aura une certaine influence sur lui.

La société du Chenal du moinequi est traditionnellement sédentaire, va d’une certaine façon, influencer le survenant. Il s’est attacher à cette endroit, il aime la terre de celle-ci et certains de ses ha survenant. Il s’est attacher à cette endroit, il aime la terre de celle- ci et certains de ses habitants. Il présente une… [à continuer] Tout d’abord, il possible de remarquer dès le départ le contraste lagrant entre les valeurs véhiculées par les paysans et celles valorisées par le Survenant.

Les casaniers de l’époque quant à eux,adhéraient grandement aux valeurs du terroir: soit les traditions, la famille ainsi que la religion. Cependant, avec l’arrivée de cet étranger, qui avait des valeurs et des habitudes très différentes,les gens ont pu découvrir une nouvelle face de la vie qui leur était plutôt étrangère. Tout au long du roman, nous pouvons comprendre que les personnages sont de plus en plus attirés par cette visionde la vie, cet idéal, et par cet homme, par le fait même. Ils comprennent qu’au fond d’eux-mêmes, sommeille un être qui aimerait bien vivre plus librement tel le Survenant.

Ces confrontations entrela sédentarité et le nomadisme permettent donc aux habitants de constater à quel point il pourrait être formidable de vivre ainsi. Nous pouvons appuyer cet argument par le fait qu’Angélina tombeéperdument amoureuse de cet homme qui représente une toute nouvelle façon de vivre. Il est donc possible de constater que malgré les valeurs véhiculées par cette jeune femme, son amour surpasse celles-ciet elle adhère doucement à celles de son charmant Venant. «La première fois qu’Ang