L’eau dans le monde L’eau recouvre 72 % de la surface du globe. Son volume total est estlmé à 1 400 millions de milliards de m3, ce qui représente un cube de plus de 1000 km de côté. Ce volume d’eau est stable. En milliards d’années, il a été estimé que la quantité d’eau perdue (par dissociation de la molécule d’eau sous l’action du soleil qui libère e Ihydrogène) correspond à une hauteur de 3 m sur la totalité de la surface de la Terre (source : BRGM – 2011).
Si la Terre est bien la de l’eau… salée dans aussi dans certaines ppz. , Il ne reste donc plus Dans ce faible pourc ors vant tout la planète es océans, mais 97,2 % du volume. le des eaux douces. eiges permanentes représentent 2,1 % et l’eau douce disponible 0,7 %. Bien entendu, la répartition géographique réelle de l’eau sur la Terre montre une réalité bien éloignée de ces moyennes, avec une surface océanique nettement plus importante au Sud qu’au Nord.
Une calotte épaisse de glace couvre tout le continent antartique, alors qu’au Nord, il n’y a, en plus de la calotte du Groenland, que la glace qui flotte sur l’océan Arctique. Ces contrastes dans la répartition de l’eau liquide et solide renforcent les disparités dans la répartition de l’eau atmosphérique. Swipe to nex: page tmosphérique. Il existe en effet de grandes différences régionales du Nord au Sud liées aux variations de rayonnement solaire, qui ont une incidence entre les pôles et l’Equateur, et d’Est en Ouest selon les circulations atmosphériques et les barrières de reliefs.
L’essentiel de l’eau atmosphérique se trouve dans la basse atmosphère, particulièrement le long des Tropiques, zones d’intense évaporation des eaux chaudes de la surface océanique. Au final, l’homme ne peut utiliser que moins d’I % du volume total d’eau douce présent sur Terre, soit environ 0,028 % de l’hydrosphère. Ceci englobe les cours d’eau, les réservoirs aturels ou artificiels (lacs, barrages… ) et les nappes souterraines dont la faible profondeur permet l’exploitation à des coûts abordables.
On évalue à 40 000 millions de km3/an, les ressources mondiales en eau continentale constituant la seule source d’eau douce renouvelable (pluie – évapotranspiration – évaporation) (source : ministère de l’écologie 2002). Ce qui équivaut à 5 700 m3 par habitant et par an. réalisés : depuis 1990, la proportion de personnes n’ayant pas accès à ce bien de première nécessité a baissé de 12 points, permettant ainsi à près de 6 milliards d’individus de bénéficier ‘un accès à l’eau potable en 2011, contre 4 milliards en 1990.
Selon les grandes régions du monde Tandis qu’on estime que l’ensemble de la population des pays développés a accès à l’eau potable, d’importantes disparités existent entre les différentes régions du monde. Parmi les pays les plus pauvres, certains connaissent une amélioration de leur situation même si dans certaines régions, elle reste alarmante. L’évolution est significative en Asie de l’Est où le pourcentage de personnes n’ayant pas accès à l’eau potable est passé de 32 % en 1990 à 8 en 2011, soit une dimnution de 73 millions de personnes touchées par ce fléau sur la période.
L’Afrique sub-saharienne a également connu une amélioration : le pourcentage des habitants sans eau potable était de 37 % en 2011 contre 51 % en 1990. Malgré cette nette avancée, cette région du monde est la plus touchée notamment en raison de la forte augmentation de sa population : 327 millions de personnes n’ont pas accès à l’eau en 2011 dans cette région, contre 264 millions en 1990. Et encore, l’échelle continentale masque elle aussi d’énormes dlsparités, notamment entre les zones rurales et les villes.