Accès sécurisé d’un local par reconnaissance d’empreintes

Le système doit être construit autour d’un microcontrôleur (au choix) ou d’un système de développement base de microprocesseur 68000 de Motorola. L’exploitation du cahier de charges avant conception révèle 6 principaux blocs fonctionnels : Cunité centrale qui est le cerveau du système composée en partie par le microprocesseur MC 68000 de Motorola et du PIA 6821 L’alimentation représente le sang du système. e lecteur d’empreinte digitale pour la capture et la mise en forme des empreintes digitales.

L’alarme : avertisseur sonore en cas de validité de l’authentification. es LEDS : signal visuel du bon fonctionnement et de la mise en marche du système. La gâche électrique : dispositif de l’ouverture et de fermeture de la porte. SCHEMA SYNOPTIQUE UNITE CENTRALE ALIMENTATION 20 digitale pouvait identifier de manière quasi-absolue un individu. Ce n’est pourtant qu’à partir de 1 870 que les empreintes digitales furent réellement utilisées à des fins d’identification par le docteur Henry Faulds, alors chirurgien dans un hôpital de Tokyo.

La biométrie permet l’identification ou rauthentification d’une personne sur les bases de données reconnaissables et vérifiables qui lui sont propres. on distingue trois catégories de technologies biométriques : 1. Analyses biologiques : odeur, sang, salive, urine, ADN… 2. Analyses comportementales : la dynamique de la signature . Analyses morphologiques : empreintes digitales, forme de la main, trait du visage, dessin du réseau veineux de l’œil…. Deux modes de fonctionnement 1. Authentification : dans ce mode, on pose la question : « suis- je bien MX ?

Techniquement, le dispositif vérifie par rapport un code (identifiant) saisi sur un clavier, ou lu par le passage d’un badge que l’échantillon biométrique fourni correspond bien au gabarit désigné par l’identifiant. 2. Identifiant : on pose la question : « qui suis-je ? A partir de l’échantillon biométrique fourni, le dispositif recherche le gabarit orrespondant dans sa base de données. Les caractéristiques collectées doivent être : Universelles (exister chez tous les individus), Unique (permettre de différencier un individu par rapport à un autre), Permanentes, enregistrables mesurables. hase de vérification, on compare les deux fichiers pour déterminer le taux de similitude et prendre la décision qui s’impose. CAPTURETRAITEMENT Transmission du résultat FICHIER une empreinte digitale est le dessin formé par les lignes de la peau des doigts, des paumes, des mains, des orteils ou de la plante des pieds. Ce dessin se forme durant la période fœtale. l existe deux types d’empreintes : l’empreinte directe qui laisse une marque visible et l’empreinte latente (saleté, sueur… elles sont uniques et immuables, elles ne se modifient donc pas au cours du temps (sauf par accident, une brulure). La probabilité de trouver deux empreintes similaires est de 1 sur 10 puissances 24. 0n classe les empreintes selon un système vieux d’une décennie : le système Henry. Dans ce système, le classement repose sur la topographie générale de l’empreinte digitale et permet de définir les familles telles que les boucles, les arches, et les tourbillons. s familles d’empreinte d 4 20 instructions.

Effectue les opérations arithmétiques et logiques commandées par les instructions. C’est dans le microprocesseur que s’effectue ressentiel des traitements des informations. Le microprocesseur 68000 est de la famille MOTOROLA qui est d’ailleurs le premier microprocesseur 16 bits. Il intègre 68000 transistors et est cadencé à 8MHz par une horloge. Il fonctionne généralement sous une tension continue de 5V et communique avec les autres circuits à l’aide des bus de commandes. Al- ce Brochage du MC 68000 Le MC 68000 est un circuit intégré de 64 broches.

Ce nombre de broches élevé est du au fait que d’une part, les bus de données et d’adresses sont séparés (il n’y a pas de multiplexage) et que d’autre part, ce processeur est doté d’un jeu de signaux complet. Le brochage est le suivant s 0 longueurs de 8 ou 16 bits. Le bus d’adresse Al – A23 C’est un bus de 23 bits directionnels, 3 états, capables d’adresser 8 M mots de données. Il ny a pas de bit AO car il est remplacé par deux signaux u DS (Upper Data Strobe) et L DS (Lower Data Strobe) qui sont générés par le MC 68000 en fonction du type de donnée et d’adresse.

Signaux de contrôle des bus en mode asynchrone : AS, R/W, UDS, LDS,DTACK Ce mode asynchrone signifie que le processeur après avoir fait une demande de transfert à un organe extérieur, attend une réponse de la part de celui-ci. Le processeur suit alors la vitesse du périphérique ou de la mémoire avec laquelle il dialogue. AS : Adresse Strobe (validation d’adresse) Ce qui indique qu’il y a une adresse valide sur le bus. R/W : Read – Write (lecture – écriture). Ce qui définit le type de transfert sur le bus de données comme étant une lecture ou une écriture.

UDS : UpperData Strobe (validation de la donnée supérieure) et CDS : Lower Data Strobe (validation de la donnée inférieure) Ces signaux sont générés de manière interne par le MC 68000 en fonction du type de donnée de transfert et de AO. En combinaison avec VW, ces signaux indiquent la lecture ou l’écriture d’un mot ou d’un octet. DTACK : Data Acknowledge (accusé de réception de transfert de données) ce signal apporte au processeur l’information suivante : En lecture : les données à lire sont disponibles sur le bus En écriture : les données ont été rises en compte par le curseur xterne. 0 processeur qu’une autre unité intelligente désire accéder au bus. BG : Bus Grand (cession des bus) Ce signal indique au circuit demandeur que le MC68000 a pris en compte sa demande BR et qu’il alerte son entourage et qu’il cédera les bus à la fin du cycle bus en cours. BGACK : Bus Grand Acknowledge (accusé de réception de BG) Confirmation de la part du circuit demandeur de la prise des bus et de leur contrôle.

LES SIGNAUX DE CONTROLE DES INTERRUPTIONS IPLO, IPLI, IPL2, (interrupt pending level) Ces trois signaux indiquent aux processeurs qu’un périphérique emande une interruption dont le niveau de priorité est Indiqué par le code placé sur ces entrées ; Niveau 7, niveau de priorité le plus haut Niveau O, aucune priorité. LES SIGNAUX DE CONTROLE DU SYSTEME : RESET, HALT, BERR Ces signaux sont utilisés pour initialiser, arrêter le processus ou indiquer que des erreurs sont sunrenues au cours d’un échange. BERR : Bus Error (erreur sur le bus) Cette entrée informe le processeur qu’un problème est survenu dans le cycle en cours.

Ce problème peut être par exemple : Un périphérique qui ne répond pas au processeur une adresse illégale a été générée Une faute s’est introduite dans l’acquisition du numéro de vecteur d’une interruption Le signal BERR est généré par une logique externe. RESET : (remise à zéro) Ce signal est bidirectionne LES SIGNAUX MODES SYNCHRONES Ce sont : E, VPA, VMA : Ces signaux permettent d’interfacer les périphériques synchrones de la famille 68000 avec le MC 68000 qui lui est un microprocesseur asynchrone. E .

Enable (validation) ce signal standard de validation des circuits MC 68000 VPA : ValidPériphéralAddress (adresse périphérique valide) Cette entrée indique que le transfert des données sera ynchronisé sur E car un périphérique désire dialoguer avec le processeur de manière synchrone. Elle indique également que le processeur sera en mode auto vectorisé en cas d’interruption. VMA : Valide MemoryAddress (adresse périphérique valide) Cette sortie est utilisée pour signaler au périphérique de la famille 68000 que cette adresse est valide et que désormais le processeur est synchronisé sur E. ont composées de : 3 lignes de validation du boîtier (CSO, CSI, CS2) : le PIA est autorisé à fonctionner si CSI est au niveau haut et CS2 au niveau bas , 2 lignes de sélection de registres (RSO, RSI) ; ligne de synchronisation du fonctionnement du PIA à celui du microprocesseur (E) ; 1 ligne d’indication du type d’accès : écriture ou lecture (R/W) ; 1 ligne de réinitialisation des registres du PIA (RESET) ; 8 lignes de données (DO à D7) reliées à la partie basse du bus de données du microprocesseur ; 2 lignes de demande d’interruption actives niveau bas (IRQA, IRQB). lignes d’alimentation (Vss = 5V et GND, la masse) ; Quant aux broches de liaison PIA-PERIPHERIQUE, elles sont organisées autour de deux grands ports : Port A et Port B dont les lignes homologues sont identiques.