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corporel et de la taille selon la ormule suivante : IMC = Poids en kilo/ (Taille en mètre) 2 De plus, l’obésité est devenue la première maladie non infectieuse de l’Histoire. C’est une véritable épidémie qui frappe aussi bien les pays industrialisés que les pays en voie de développement. L’Organisation Mondiale de la Santé place actuellement sa prévention et sa prise en charge comme une priorité dans le domaine de la pathologie nutritionnelle. – Sur 6 milliards d’individus, 3 milliards sont sous-alimentés et les autres sont en train de devenir obèses. 0 % des américains sont en s Mps Doc Obesit Premium gy Clauze192 anpenq 12, 2015 9 pages Quelles sont les causes de l’obésité ? Introduction l’obésité résulte d’un déséquilibre énergétique dans lequel les entrées énergétiques sont supérieures aux sorties, conduisant ainsi à une accumulation de graisse dans l’organisme L’obésité résulte d’une accumulation progressive de graisses, ou de tissus adipeux, sous la peau et entre les viscères.

Il s’agit d’un excès de masse grasse qui peut entraîner des problèmes de santé à court et à long terme. L’obésité peut hypothéquer la santé de manière considérable. Certains experts affirment qu’elle est comparable, pour l’organisme, à un vieillissement approximatif Swpe to page de 20 ans. On doit di aussi une surcharge méthodes sont utilis adipeux : le calcul de méthode généralem org bonpolnt, qui est portante. Diverses asse du tissu elle (IMC) est la MC à partir du poids surpoids et 25 % franchement obèses. Dans certaines iles du Pacifique, l’obésité affecte près de deux tiers de la population. – L’Europe compte 30 % d’adultes en surpoids et le nombre d’enfants obèses a doublé en cinq ans. On dénombre en France 8 millions d’obèses, de 100 000 à 200 00 obésités massives (IMC > 40). Un tiers de ces patients sont hypertendus, un tiers diabétiques et un tiers hyperlipidémiques. – Sur le plan national, la prévalence de l’obésité a augmenté d’environ 45 % entre 1987 et 1996. D’un point de vue régional, il y a une répartition très inégale de ce phénomène sur le territoire français : les campagnes sont plus affectées que les villes, le pourtour méditerranéen sublt une évolution particulièrement rapide et défavorable… La Corse est la région où il y a la plus forte prévalence de France avec un maximum de 24 % d’obèses. Une progression inquiétante car elle porte sur des individus de plus en plus jeunes.

I Aes facteurs environnementaux Il/ les facteurs génétiques a)les jumeaux le patrimoine génétique de jumeaux monozygotes est identique, puisque lors de la fecondation il n’y a qu’un seul spermatozoide et un seul ovule où la cellule œuf ui en découle se sépare en deux ce qui va former deu e même patrimoine PAG » rif q toujours de la même famille. Des preuves plus convaincantes encore sont apportées par les études chez les jumeaux. – Si on donne à manger à différentes personnes 1000 calories de lus par jour pendant 3 mois, certaines vont grossir de 2 kg et d’autres de 12 kg.

En revanche, dans cette même situation, de vrais jumeaux prendront le même poids, ce qui confirme le rôle de la génétique dans la prise de poids. Les vrais jumeaux, même quand ils ont été abandonnés par leurs parents et ont été élevés par des familles d’accueil différentes, ont un poids très similaire à l’âge adulte. De même, la réponse à une allmentation très calorique est identique entre jumeaux mais très différente entre individus non apparentés. Les jumeaux présentent le même type d’obésité, ont les mêmes ndices de masse corporelle.

Le poids des enfants adoptés est souvent plus proche de celui de leurs parents biologiques que de celui de leurs parents adoptifs (4). De plus, le poids des frères et sœurs d’enfants adaptés augmente de la même maniere que celui de l’enfant adopté. Demi-frères et demi-sœurs grossissent également, mais leur poids augmente dans une moindre mesure. Cependant, puisque les études menées sur les jumeaux ont été réalisées dans des pays industrialisés où l’environnement est caractérisé par une abondance en nourriture et peu d’activité physique, peut-être ont-elles sous-estimé le rôle de ‘environnement.

Chez les jumeaux, l’héritabilité du poids corporel serait de l’ordre de 70 % à 80 Cependant, les études d’adoption indiquent un chiffre beaucoup plus bas de l’ordre de 30 % à 40 Les études de familles ra d’adoption indiquent un chiffre beaucoup plus bas de l’ordre de 30 % à 40 Les études de familles rapportent des chiffres intermédiaires de l’ordre de 40 b)Saute une génération Et si les problèmes de santé liés à l’obésité, comme les maladies cardiaques et le diabète sautaient une génération ?

Cette étude de l’Université d’Edimbourg le suggère, en constatant que es enfants de mères obèses peuvent être épargnés par ces comorbidités mais pas leurs enfants… Ces conclusions, publiées dans la revue Endocrinology, suggèrent de prendre en compte, en matière d’obésité, les antécédents familiaux, au sens large du terme et de chercher à évaluer l’impact de l »obésité induite par une alimentation trop riche, sur les générations futures.

L’étude montre en effet qu’une obésité même modérée (IMC entre 30 et 34,9) peut avoir un impact sur le poids de naissance et le risque de diabète des petits-enfants, et même en l’absence de symptômes apparents chez les enfants. Cela concerne toutes les comorbidités de l’obésité, en particulier les plus fréquentes, comme les cancers du sein et du côlon et l’AVC. L’étude a été menée sur des souris femelles. De telles études sur la programmation du développement pourraient être possibles, mais difficiles.

Cette étude sur des souris, donc, modérément obèses, nourries avec un régime riche en graisses et en sucre avant et pendant leur grossesse a regardé les effets de l’obésité induite par l’alimentation maternelle sur le gain de poids et le métabolisme du glucose et la résistance à l’insuline sur la remière génération puis la deuxième. L’obésité induite par l’aliment l’insuline sur la première génération puis la deuxième.

L’obésité induite par l’alimentation est associée, rappellent les auteurs, à la résistance à l’insuline, à l’hyperglycémie et à la dyslipidémie avant la grossesse. La seconde génération plus touchée que la première : Ils constatent que le poids de naissance est diminué de 6% chez la progéniture femelle des mères et l’absence de différences dans la tolérance au glucose, les lipides plasmatiques ou l’expression des gènes hépatiques à 6 mois. Donc une absence relative d’effets sur la première génération.

Sur la seconde génération, ils constatent un retard de croissance du fœtus, des changements métaboliques persistants, des effets sur le poids de naissance, le taux d’insuline et de l’expression des gènes hépatiques transmis par les deux parents. En synthèse, l’expérience suggère une transmission de risques liés à l’obésité à certains « descendants » de la seconde génération alors que pratiquement « aucun effet indésirable n’a été observé dans la première génération »-écrivent les auteurs. Mais pour quelles raisons ?

Les chercheurs suggèrent des différences dans le gain de poids ou une alimentation spécifique selon les souris, durant leur gestation. Mieux comprendre la transmission de l’obésité : Le Dr Amanda Drake, de l’Université d’Edimbourg et auteur de l’étude rappelle l’importance de mieux comprendre la transmission, sur les générations futures, de l’épidémie d’obésité, en prenant non seulement en compte les facteurs environnementaux, sociaux et culturels, mais également génétiques. Car son étude suggère clairement que les conséq