Synthèses des 6 Méditations de descartes

Synthèses des 6 Méditations pour cette synthèse sur l’œuvre de Renée Descartes, « Les méditations Métaphysique j’ai choisi de m’axer sur le thème des  » Sens tout aussi important, je pense, que les nombreux autres thèmes présents dans cet ouvrage. Montées comme une suite logique, dans la mesure ou chaque méditation de cet œuvre, est liée à la précédente mais aussi à celle qui suit, il ira de soi que ce thème suivra, se retrouvera dans chacune de ces 6 méditations et sera bel et bien liée à chacun des développements présents dans ces dernières.

Pour ce faire, je m’attellerai à rappeler pour commencer le moment où Descartes se met à argumenter Swp to page et à réfléchir sur ces sur les différentes int en compréhension sur s « sen dont ces derniers l’O et dans la perspectiv m’étendre or7 d arche de cette con re, sur la manière de la vérité absolue cette requête qui pourrait être, mais quelle est donc la place des sens, au final, dans cette œuvre de Descartes ?

La première fois où Descartes est amené à réfléchir sur ses sens a lieu très tôt dans son œuvre, à vrai dire dès le début, plus récisément au moment où, après s’être rendu compte qu’il avait reçu d’innombrables choses fausses lors de son enfance et qu’on lui avait fait retenir comme vraies -, il lui est venu à l’idée de déficeler toutes ces choses en vue de pouvoir atteindre des vérités incontestables…

En effet, il évoqua les sens, pour rappel que chacun d’entre nous les possède, et par lesquels nous avons appris, par liens plus ou moins directs, quantités de choses. Pourtant, il remarque que ces sens peuvent être parfois sources derreurs… Malgré le fait, qu’il ne puisse nier que ses bras sont el et bien les siens, que son corps, à nouveau, est bel et bien le sien et que le feu à coté duquel il se tient, est encore une fois ? lui, à moins bien sûr – il se compare d’ailleurs à ces individus -r qu’il ne soit totalement fou.

Ensuite, il insiste sur le fait que ses sens, sont également représentés et exploités d’une certaine manière lorsqu’il rêve – c’est un être humain, et comme tout être humain, il rêve – et que ses rêves sont d’une telle précision combinée à une telle réalité, qu’il a clairement du mal à croire que ce sont réellement des rêves, vu leurs vraisemblances. Quand bien même, il se souvient ainsi de s’être déjà trompé à cause de ceux-ci. Par ce fait, il est arrivé à l’idée qu’il devient alors très difficile de distinguer la réalité du rêve, vu leurs correspondances quelques fois trop flagrantes.

Tout ceci, l’emmenera à énoncer que dans nos rêves, même si nous sommes amenés à nous imaginer, à nous créer de quelconques individus dits fantastiques, nous pourrons le faire que grâce à bon nombres de principes préexistants sommeillant depuis le temps en nou PAG » rif 7 pourrons le faire que grâce à bon nombres de principes réexistants sommeillant depuis le temps en nous et que dès lors, nous ne ferons jamais preuve d’une inspiration ou d’une imagination – à proprement parler – réelle et sincère.

Grâce ? l’analyse de ses sens, il pourra affirmer que les sciences que nous considérons comme des sciences dépendantes de choses composées, comme l’astronomie, la physique et la médecine, seront par conséquent douteuses et donc non-certaines, par opposition, alors, à Varithmétique et la géométrie, qui sont pures et simples et qui par conséquent, ici, seront considérés comme indubitables et certaines. Mais encore, cette idée de sens resurgit au moment où, il lui est arrivé de remettre en doute tout ce qui concernait son corps mais aussi ce qui existait vraiment, et qui avait un corps.

C’est ici, que nous pouvons introduire cette dimension d’un Dieu, qui est ce grand génie qui emploie toute son industrie à le tromper – théorie du malin génie, qui sera par la suite déficelée et démantelée pour ensuite être réfutée en fin de course -. En effet, il n’y aura donc aucun doute sur le fait qu’il soit quelque chose, quelqu’un, si ce Dieu malicieux veut le tromper. Ceci dit, uand bien même il le tromperait encore, ce Dieu ne pourrait lui faire croire qu’il n’est pas tant que, lui, Descartes, pensera être.

C’est ainsi, que naît cette pensée : « Je suis, j’existe » (page 74). Toutefois, il ne connait pas réellement ce qu’il est, tout e PAGF3C,F7 Je suis, j’existe » (page 74). Toutefois, il ne connait pas réellement ce qu’il est, tout en sachant, pour rappel, très bien qu’il est. Après avoir fait en sorte de ne pas se tromper sur ce qu’il est réellement mais aussi de ne pas se confondre avec autrui, il vient donc à en déduire que c’est un homme. Il va se considérer ainsi omme ayant un visage, des mains, des bras, etc….

A l’égal d’un cadavre en fait mais dans la mesure où, ce qui le différencierait du cadavre serait son aptitude à se déplacer et à se nourrir, sans oublier le fait que lui possèderait une âme. Pour compléter son argumentation, il passera aux attributs aux attributs de l’âme, qui sont de se nourrir et de marcher mais s’il est vrai qu’il n’a pas de corps, il est vrai aussi qu’il n’a pas besoin de marcher ou encore de se nourrir…. La pensée est également un attribut qui est le sien. Son je suis, j’existe est forcément vrai mais dans quelle esure ?

Il n’est donc en fait qu’une chose pensante en définitive. Une chose pensante ne possédant ni corps, ni mains, ni jambes mais juste cette capacité à penser qu’il est et qui fait donc qu’il existe. In fine, il est quelqu’un qui possède des sens – la vue, l’odorat, le toucher, l’oui etc. – et qui vit de ceux-ci même si il avait démontré que ces derniers pouvaient être trompeurs. Pour continuer, l’interprétation de ses sens ont été remis à jour lorsqu’il lui est arrivé, en quelque sorte, de réfuter sa pensée – sa théorie – sur ses idées dan