Dans ce poème engagé,composé de 34 vers en alexandrins tous en rimes plates Victor Hugo défends et dénonce le travail des enfants car en effet avec la révolution industrielle les enfants furent mis au travail dans les mines ou beaucoup dans les usines textiles. out d’abord on peut distinguer plusieurs parties dans ce poème d’abord l’auteur décrit les conditions de travail des enfants ce qui correspondrais aux 12 premiers vers puis du vers 13 au vers 22 1′ auteur parle à la place des enfants pour amener sa seconde artie qui constitue un réquisitoire contre le progrès et fait un bref éloge du « vrai travail » Dans la première partie l’ auteur commence habilement son Swpe to page poème par une sorte termine par un point n e ors tout de suite notre at nü-,:. o View d’enfants( comparé a on peut sup 3 premiers vers se permet d’attirer s dresse un portrait lutôt de « doux êtres pposition au travail répétitif « le même mouvement » et b te » qui ferait de Voltaire un crétin » peut aussi se traduire par « songeu « songeur » qui sous-entends qu’à cause du travail ces nfants auraient perdus de leur innocence) tristes maigres et affaiblis par un travail arrassant, accablant (vers 18 « travail dont le souffle étouffant » allitération du ‘f’ crée un rythme allongé qui mime la dureté du travail) et bête.
Le travail est comparé à « un « prison » et à uni’bagne » sans fin (« faire éternellement » qui renforce aussi la comparaison avec l’enfer) où les enfants sont « Innocents » dans le sens où ils sont pures et que leur labeur est une injustice ( prémisce du réquisitoire, annonce la plainte des « enfants » où plutôt de l’auteur devant Dieu).
A partir du vers 13, l’auteur prend la parole à travers celle des enfants et fait leur plaidoirie devant Dieu (: »notre père, voyez », apostrophe de Dieu) affirmant que ce travail répititif « servitude infâme imposée à l’enfant » détruit la pensée, la beauté et la créativité propre à l’enfance et même plus loin « retire liâme ? l’ homme » au profit de la machine. Cette plaidoirie devant Dieu constitue une transition vers la fin du poème où Victor Hugo dénonce explicitement le « Travail » et le « Progrès » tous deux personnifiés pour en fait désignés les gens ( en effet VH ecrit I